samedi 17 août 2019

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 17 au 31 août)

روتانا كلاسيك

Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.


Samedi 31 août à 19h30

Mademoiselle Diablesse d'Henry Barakat (Afrita Hanem, 1949)
avec Samia Gamal, Farid El Atrache, Lola Sedki, Ismail Yassin, Abdel Salam Al Nabulsi, Stephan Rosti, Zeinat Sedki, Salah Kasin, Zaki Ibrahim, Mohsen Hassanein
Scénario et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary et Henry Barakat
Musique : Farid Al Atrache
Production : les films Farid Al Atrache


Comédie musicale. Asfour est un chanteur sans le sou. Il est amoureux de Aliya, sa partenaire mais aussi la fille du directeur du théâtre où il se produit. Asfour fait sa demande en mariage mais le père de la jeune femme exige en dot une somme qu’il est incapable de réunir. Au bord du désespoir, il trouve sur son chemin une lampe d’où sort une petite diablesse du nom de Kahramana. Celle-ci peut exaucer tous ses vœux. Malheureusement, elle est tombée amoureuse d’Asfour et fera tout pour empêcher son mariage avec Aliya.


Vendredi 30 août à 23h

La Plus Chère à Mon Coeur de Youssef Maalouf (Aazz Al habayib, 1961)
avec Amina Rizk, Zaki Rostom, Sherifa Mahear, Chukry Sarhan, Soad Hosny, Samia Roshdi, Thuraya Fakhry, Hassan El Baroudi, Nour El Demerdash, Mary Ezz El Din, Abdel Moneim Basiony, Eskandar Menassa
D'après une histoire d'Henry Barakat
Scénario : Ibrahim Aboud et Youssef Issa
Production : les films Barakat


Ibrahim Effendi est un simple employé qui toute sa vie à travaillé pour que sa petite famille soit heureuse. Avec sa femme, il a eu trois enfants, deux garçons et une fille. Les années passent. Abdullah et Soad, les deux aînés, sont maintenant en âge de se marier. Mais Abdullah doit attendre que sa sœur ait trouvé un mari avant de pouvoir à son tour convoler avec la femme qu’il aime. Malheureusement, Soad ne parvient pas à attirer les prétendants : elle a un physique ingrat et la pauvreté de son père ne permet pas de compenser ce petit défaut par des atouts sonnants et trébuchants. La jeune fille ne supporte plus cette situation et sombre dans une grave dépression. Pour la guérir, il faut beaucoup d’argent et Ibrahim Effendi n’a pas d’économies. C’est à ce moment-là que le propriétaire d’un café lui fait une proposition. Pour arrondir ses fins de mois, ce commerçant s’est lancé dans le trafic de stupéfiants et il propose au petit employé de garder chez lui des sacs remplis de drogue contre un dédommagement qui mettra fin à tous ses soucis d’argent. Ibrahim Effendi accepte. A partir de là, tout change dans la famille : non seulement, Soad est soignée mais on finit par lui trouver un mari ; Abdullah de son côté peut enfin épouser sa bien-aimée. Comble de bonheur, le plus jeune de leurs enfants obtient son diplôme d’ingénieur. Ibrahim Effendi décide qu’il n’a plus besoin de continuer à travailler pour le trafiquant. Il veut mettre un terme à leur collaboration. Mais c’est trop tard : la police surgit dans la maison pour une perquisition. Afin de sauver l’honneur de son père, le plus jeune des fils s’accuse d’être le propriétaire des sacs de drogue. Il est condamné à 5 ans de prison. Ibrahim Effendi meurt peu après…


Jeudi 29 août à 17h30

La Petite Poupée d'Ahmed Badrakhan (El aroussa el saghira, 1956)
avec Saïd Mekawi, Saïd Abou Bakr, Yehia Chahine, Mahmoud El Meleigy, Wedad Hamdy, Salah Sarhan, Mariam Fakhr Eddine, Serag Mounir
Scénario et dialogue : Youssef Gohar
Musique : André Ryder
appréciation : 3/5


Mélodrame. Kamel est un modeste employé. Il vit avec sa femme Siham et sa petite fille Nadia. Un jour, son directeur l’invite, lui et sa petite famille, à une soirée dans un cabaret. Après le dîner, le chef d’entreprise demande à Kamel de retourner au bureau pour y effectuer un travail urgent. Une fois son subordonné parti, il en profite pour courtiser Siham. En reconduisant la femme et sa fille chez elles, il a un geste déplacé à l’égard de Siham. Elle le repousse. Vexé, il dépose dans la rue ses deux passagères qui doivent continuer leur route sous une pluie battante. Quand elles regagnent enfin leur petit appartement, Siham raconte tout à son mari. Le lendemain matin, Kamel fou de rage veut corriger son patron. Il est maîtrisé par ses collègues et il est aussitôt licencié. Peu après, Nadia tombe malade...


Mercredi 28 août à 15h30

Jouer dans la Cour des Grands de Sherif Arafa (Allaeb ma'a alkebar, 1991)
avec Adel Imam, Hussein Fahmy, Mahmoud El Gendy, Abdulhadi Anwar, Saïd Al Saleh, Zayed Fouad, Ahmed El Boraei, Abu Al Futouh Om, Adel Khalaf, Hamdy Salem, Ezzat Al Mashad, Hassan Al Dib, Tawfiq Al Kurdi, Ahmad Kamali, Wahid Hamed, Hendeya, Abdel Jawad Metwalli, Hussein Arar, Adel Hilal, Sayed Hatem, Mustafa Metwalli, Abdel Hafiz El Tetawy, Ahmed Loxer
Scénario : Wahid Ahmed
Musique : Moudy Al Imam


Hassan Bahloul est un égyptien ordinaire. Il est au chômage et mène une existence morose. Sans ressources, il lui est impossible d’épouser la femme qu’il aime et il doit vivre chez son père qui est coiffeur. Hassan Bahloul est un fervent patriote et un matin, alors qu’il se trouve dans le café où il a ses habitudes, il téléphone au bureau de la sécurité civile pour annoncer un incendie qui aura lieu le lendemain dans une usine de la ville. Tous les clients de l’établissement sont ébahis par ce qu’ils entendent. Quelques instants après, deux agents viennent chercher Hassan. Il va être interrogé par un officier. Quand celui-ci lui demande comment il a appris une telle nouvelle, il prétend qu’il a tout vu dans un rêve. Et la prédiction d’Hassan va s’avérer exacte. C’est ainsi qu’entre les deux hommes va débuter une collaboration spéciale mais fructueuse… 


Mardi 27 août à 17h30

La Bande du Diable d’Houssam Al Din Mustafa (Esabat Al Shaytaan, 1971)
avec Farid Shawki, Nelly, Youssef Chaban, Ibrahim Khan, Mahmoud El Meleigy, Tawfik El Deken , Kamal Sarhan, Mohamed Sobeih
Scénario et dialogues : Faysal Nada
D’après le film américain Charade de Stanley Donen (1963) avec Gary Grant et Audrey Hepburn 
Musique : Mohamed Abdel Halim et Mohamed Halawa 


Thriller. Après la mort de son mari, une femme découvre que celui-ci était membre d’un gang de redoutables malfaiteurs. Sa vie devient un enfer car elle est sans cesse persécutée par ses anciens acolytes : ils veulent récupérer leur part du butin que son mari aurait caché quelque part sans en rien dire à personne. Heureusement, la jeune femme sera protégée sans le savoir par un officier de police dont elle ne découvrira la véritable identité qu’à la toute dernière scène du film. 


Lundi 26 août à 17h30

La Gloire et les Pleurs d’Ahmed Badrakhan (Majd wa demoue, 1946)
avec Nour Al Hoda, Mohamed Fawzi, Bishara Wakim, Zouzou Madi, Amina Sherif, Fouad Shafik, Hassan Fayek, Thuraya Fakhry, Abdel Aziz Khalil, Abd El Fatah El Kosary, Hassan Kamel, Mohamed Al Dib, Edmond Tuema
Scénario : Youssef Gohar et Ahmed Badrakhan
Musique : Kamel El Shinnawi, Ahmed Rami, Bayram El Tunsi, Saleh Gawdat, Mamoun Al Shinnawi, Abd Al Aziz Salam, Riad El Sonbati, Mohamed Al Qasabji, Mohamed Fawzi, Farid Al Atrache


Drame. Le puissant bey Mestakawi est tombé amoureux de la jeune chanteuse et danseuse Douria. Malheureusement pour lui, son cœur est déjà pris : elle aime un jeune employé du nom d’Hamdi. Tous les deux projettent de se marier mais Mestakawi parvient à faire muter le garçon à Assouan. Il a désormais la voie libre. Pour supporter cette séparation, Douria se jette dans le travail. Elle devient une chanteuse célèbre mais elle n’oublie pas celui qu’elle aime toujours…


Dimanche 25 août à 17h30

Je suis la Justice d’Hussein Sedky (Ana El Adala, 1961)
avec Hussein Sedky (l’avocat Ahmed Sami), Maha Sabry (Fathia Kamal), Abbas Fares (Maher Salem, un avocat à la retraite), Nagwa Fouad (Ilham Alawi, la danseuse), Mohamed Reda (Hassan Al Kharboutli, le trafiquant de drogue), Nazim Sharawy (Mounir Wahid), Ahmed Loxer (docteur Medhat Abdel Azim), Ali Roushdy Aziza Helmy (Amina, la femme de Maher), Nadia Al Sabei (Nafisia, la servante de Fathia), Shawky Baraka (le secrétaire Hassanein Abdel Tawab) Mohamed Shawky (le chauffeur), Salwa Ezz Eddine (la servante, épouse du secrétaire)
D’après les Dix Petits Nègres d’Agatha Christie (non créditée au générique !)
Scénario : Hussein Sedky 
Dialogue : Abdel Aziz Salam
Musique : Mohamed Dia Eddine
Production : Hussein Sedky 

 
Thriller. Pour le réveillon du nouvel an, Izzat Amin a invité dans sa maison de campagne un certain nombre de ses amis. : l’avocat Ahmed Sami, la veuve Fathia Kamal, le docteur Medhat Abdel Aziz, la danseuse Ilham Alawi, le commerçant Hassan Al Kharbouli, l’avocat à la retraite Maher Salem. Quand les invités arrivent ils sont accueillis par les deux serviteurs de la maison, engagés depuis peu. Ils sont surpris de découvrir que leur hôte est absent mais qu’il a laissé pour eux un discours enregistré sur un magnétophone. Les convives sont réunis dans le salon tandis que la voix d’Izzat Amin s’élève. Celui-ci a décidé de révéler les fautes et les crimes dont se sont rendus coupables tous les personnages présents. Ces derniers ne savent pas encore que pour la plupart ce sera leur dernière nuit…
Une petite devinette : sachant qu'Hussein Sedky est le scénariste, producteur, metteur en scène de ce film, quel est le seul personnage masculin qui échappera à la mort ? Un indice : Hussein Sedky s'est aussi octroyé le rôle principal, celui de l'avocat Ahmed Sami qui mène l'enquête afin de démasquer l'assassin.  


Samedi 24 août à 19h30

Ismaïl Yassin dans la maison des fantômes de Fateen Abdel Wahab (Ismail Yassin fi bayt al-ashbah, 1951)
avec Ismaïl Yassin, Kamal El Shennawy, Thoraya Helmy, Mimi Chakib, Serag Mounir, Abdel Fatah El Kosary, Ahmed El Beh, Reyad El Kasabgy, Mohsen Hassanein, Zaki Mohamed Hassan
Scénario : Ali El-Zorkani et Fateen Abdel Wahab
Musique : Ibrahim Haggag
Production : les films Gabriel Telhami


Le Pacha Farid Omar Saltah vient de mourir. Mourad Effendi, son notaire, a convoqué tous ses héritiers dans son manoir planté au milieu des montagnes pour leur faire la lecture du testament. Ils apprennent qu’ils hériteront de la fortune du défunt à une seule condition : ils doivent passer un mois ensemble dans cette maison afin d’apprendre à se connaître. La plupart des héritiers ne sont guère enchantés car l’endroit est sinistre mais ils acceptent de se plier aux dernières volontés de leur parent richissime. Très vite, des phénomènes étranges se produisent dans la maison. La terreur submerge les résidents quand ils constatent qu’un gorille mangeur d’hommes rôde dans les parages et tente de pénétrer à l’intérieur du manoir. On charge le cousin Morsi, chasseur professionnel, de l’éliminer mais celui-ci ne se montre pas plus courageux que les autres. Pendant ce temps-là, une idylle s’ébauche entre Sherif et Aziza, les deux plus jeunes membres de la famille…


Vendredi 23 août à 17h30

L’Histoire de mon Amour d’Henry Barakat (Kesat Hoby, 1955)
avec Farid Al Atrache, Iman, Serag Mounir, Abdel-Wareth Asar, Berlanti Abdel Hamid, Wedad Hamdy, Kawthar Shafik, Ehsan El Qalawy, Mary Ezz Eddin, Thuraya Fakhry, Nelly Mazlom, Ali Kamal
Scénario : Youssef Assi, Henry Barakat, Farid Al Atrache
Musique : Farid Al Atrache


Comédie musicale. Un chanteur célèbre tombe amoureux d’une jeune aristocrate qu’il rencontre dans une fête. Celle-ci est en fait amoureuse de lui depuis longtemps mais jamais elle n’avait osé se déclarer. Ils se fréquentent régulièrement et les parents de la jeune fille sont très heureux de cette relation. Mais le jour où l’artiste veut faire sa demande en mariage officielle il apprend que l’élue de son cœur est déjà fiancée au roi. Le chanteur est fou de chagrin. Il tombe malade…


Jeudi 22 août à 13h30

Parole d’Honneur d’Houssam El Din Mostafa (Kalima Sharaf, 1973)
avec Farid Shawki, Ahmed Mazhar, Nour Al Sherif, Rushdy Abaza, Hind Rostom, Nelly, Aziza Rached, Ibrahim Kadri, Samy El Adl, Magdi Wahba, Kanaan Wasfi, Moktar El Sayed, Ahmed Loxer
Scénario : Farid Shawki et Farouk Sabry


Drame. Des prisonniers particulièrement dangereux sont transférés dans la prison de Tora au sud du Caire. Parmi eux, il y a Salem Abu El Naga, un condamné qui s’est évadé cinq fois et qui purge une peine de trente ans de réclusion. Dès son arrivée, il est placé à l’isolement. Flashback : en fait, Salem Abu El Naga est un ancien avocat très réputé qui menait sa vie professionnelle comme sa vie privée selon des principes moraux très rigoureux. Il enseignait même le droit à l’école de police. Il avait épousé Nahed, une femme dont il était très épris. Nahed a un jeune frère que Salem considérait comme son fils. Il s’appelle Kamal et, à vingt ans, il menait l’existence un peu folle des jeunes de sa génération. Il flirtait avec une étudiante prénommée Mona et il insistait pour qu’elle consente à coucher avec lui. Une nuit, n’y tenant plus, il la viola. Comble de malheur, elle tomba enceinte et Kamal refusa de l’épouser. Alors Mona se confia à Salem. Pour lui éviter le déshonneur, l’avocat se fit passer pour son père et signa l’autorisation qui lui permit de se faire avorter. Elle mourut pendant l’opération. Salem et le médecin furent arrêtés…


Mercredi 21 août à 17h30

La Photo de Mariage de Hassan Amar (Soreat al zefaf, 1952)
Fayrouz (Hoda), Mohsen Sarhan (Salah), Zahrat Al Oula (Tuha), Mahmoud El Meleigy (Abou Al Dahab, le riche marchand), Mary Moneib (la belle-mère), Wedad Hamdy, Ismail Yassin, Naima Wasfi, Abdel Moneim Basiony, Soheir Fakhry, Abde Moneim, Ismail Khayria, Samira Ahmed, Riad El Kasabgy
Scénario : Galil El Bendary, Docteur Hakim, Hassan Amar
Musique : Ahmed Sedky


Salah, un jeune ingénieur, est marié à Tuha. Les deux époux mènent une existence modeste mais ils seraient parfaitement heureux si avec eux ne vivait pas la mère de la jeune femme. Le comportement déplaisant de la vieille dame finit par conduire le couple au bord de la rupture. Un jour, on propose à Salah un poste au Soudan avec un très gros salaire. La belle-mère exige que sa fille reste avec elle en Egypte. Malgré l’insistance de Salah pour que sa femme l’accompagne, rien n’y fait. Ils divorcent et le jeune ingénieur se rend seul au Soudan. Tuha découvre peu après qu’elle est enceinte. Elle envoie aussitôt un message à son ex-mari mais elle ne reçoit aucune réponse. Elle met au monde une petite fille qu’elle prénomme Hoda. Les années passent. Malgré ses lettres, la jeune mère n’a plus eu aucune nouvelle de Salah. Quand ce dernier revient enfin en Egypte, il ne sait toujours pas qu’il est le père d’une enfant. Il se rend à son ancien domicile pensant y trouver Tuha mais celle-ci a déménagé sans laisser d’adresse. En fait, elle réside dans une maison qui appartient à un riche commerçant, Abou Al Dahab. Ce dernier souhaiterait épouser la jeune femme mais elle a constamment repoussé ses avances, espérant toujours retrouver un jour le père de sa petite fille. Pour son malheur, elle va découvrir qu’Abou Al Dahab n’est pas un homme qui renonce facilement…


Mardi 20 août à 19h30

A la Porte du Ministre de Mohamed Abdel Aziz (Ala bab el wazir,1982)
avec Adel Imam (Kamal), Youssra (Nora), Tawfik El Deken (le père de Kamal), Salah Nazmi (le père de Nora), Saïd Saleh (Khamis, le meilleur ami de Kamal), Safia El Emary (la voisine)
Scénario : Samir Abdel Aziz
Musique : Ezzat Abou Houf et Mohamed Sultan


Kamal et Noura sont deux étudiants en médecine. Bien qu’ils n’appartiennent pas à la même classe sociale, ils sont tombés amoureux l’un de l’autre et ils projettent de se marier, une fois obtenu leur doctorat. Mais c’est sans compter le père de Noura. Ce dernier dirige une importante boucherie et quand il apprend que Kamal est le fils du contrôleur qui lui a infligé plusieurs amendes, il refuse toute idée de mariage. Pour empêcher cette union, il va jusqu’à faire accuser le père de Kamal de corruption, ce qui conduit celui-ci en prison. L’étudiant en médecine et ses amis vont se battre pour prouver l’innocence du vieux fonctionnaire intègre…


Lundi 19 août à 23h

Je veux me marier d’Ahmed Badrakhan (Aiza atgawiz, 1952)
Nour Al Hoda, Farid Al Atrache, Soliman Naguib, Abdel Salam Al Nabolsi, Zinat Sedki, Serag Mounir, Saïd Abou Bakr, Leila al Jazairia, Sayed Suleiman, Abdel Nabi Mohamed, Mohamed Zayed, Abdel Ghani El Nagdi, Thuraya Fakhry, Abdel Hamid Zaki
Leila Al Jazairia (photo) est une danseuse algérienne née en 1927. Farid Al Atrache l’avait choisie pour remplacer Samia Gamal dont il venait de se séparer.
Histoire et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Farid Al Atrache


Comédie musicale. Farhana quitte sa ville natale pour commencer une carrière de chanteuse au Caire. Elle a changé de nom et désormais elle se fait appeler Nour Al Ayin. Pour rassurer sa famille, il lui faut épouser au plus vite un homme fortuné. Elle rencontre un vieil industriel très riche qu’elle entreprend de séduire. Mais peu après, elle fait la connaissance du neveu de celui-ci, un neveu qui est aussi son seul héritier. Les deux hommes rivalisent d’attentions à son égard mais Nour finit par comprendre que ni l’un ni l’autre ne souhaite l’épouser avec un véritable contrat et en respectant toutes les conventions d’usage. Elle chasse l’oncle et le neveu de chez elle. Pour se venger, elle décide de se marier avec un homme pauvre. Le hasard fait bien les choses car le soir même, elle rencontre dans un jardin public un jeune inconnu qui chante divinement en s’accompagnant de son oud…


Dimanche 18 août à 17h30

Le Grand Bouffon de Youssef Chahine (Al Moharrag al Kabir, 1952)
avec Youssef Wahbi, Faten Hamama, Nabil Al Alfi, Hassan Fayek, Ferdoos Mohamed, Serag Mounir, Wedad Hamdy, Samia Roshdi, Mohamed Shawkiy, Ragaa Youssef
Scénario : Mohamed Abou Youssef, Mahmoud Ismaïl, Youssef Chahine
D’après un roman de l’auteur britannique Shelley Smith


Comédie musicale. Shihata est employé dans une grande entreprise dirigée par une femme. Celle-ci pour pouvoir épouser à nouveau son précédent mari dont elle a été divorcée déjà trois fois, demande à Shihata de se marier avec elle (le Coran, sourate de la vache : « S’il divorce d’avec elle (la troisième fois), alors elle ne lui sera plus licite tant qu’elle n’en aura pas épousé un autre »). Il accepte. A peine sont-ils mariés que la femme décède. Shihata hérite de sa fortune…


Samedi 17 août à 23h

Monsieur Kishta d’Ibrahim Afify (El Sayyed-Qeshta, 1985)
avec Adel Adham, Soheir El Bably, Mohsen Mohy Eddin, Elham Chahine, Sayed Zayan, Neima El Soghaiar, Ahmed Bedir, Mohamed Reda, Amel Ibrahim, Mona Darwish, Hassan El Deib, Wahid Hamdy, Youssef Dawood, Nasr Hammad, Abdel Moneim El Marsfy, Zizi Fared, Sayyed el Arabi 
Scénario : Ahmed Abdel Salam et Ibrahim Afify 
Musique : Sami Noseir


Monsieur Kishta est un commerçant prospère. Lui et sa femme Shukry sont mariés depuis plus de 25 ans. Leur drame : ils n’ont jamais pu avoir d’enfant et Monsieur Kishta veut absolument un héritier. Dans sa parfumerie, travaille Ahmed, un garçon sérieux et honnête. En plus de son emploi, il suit des cours à l’université. Il est amoureux de Gamalat, une jeune fille pauvre qui vit avec sa mère et son beau-père au chômage. Par l’intermédiaire d’Ahmed, Gamalat entre en contact avec Monsieur Kishta et elle parvient à le séduire. Le commerçant divorce et commence une nouvelle vie avec Gamalat dans l’espoir de devenir père très rapidement. Il n’a pas compris que sa jeune compagne n’en veut qu’à son argent et n’a nulle intention de devenir mère…


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