jeudi 22 août 2019

Le Pardon (Al Ghofran, 1971)

الغفران
ﺇﺧﺮاﺝ: عبدالرحمن شريف



Le Pardon a été réalisé par Abdel Rahman Sherif en 1971.
Distribution : Ahmed Ramzy, Mervat Amine, Salah Kabil, Tawfik El Deken, Mona Ibrahim, Wafiq Fahmi, Mohsena Tawfik, Khalid Macheal, Nayra Wali
Une histoire de Wali El Sayed 
Scénario : Ahmad Abdel Wahab 
Musique : Baligh Hamdy


Mohsena Tawfik

Salah Kabil

Mona Ibrahim

Tawfik El Deken

Mona Ibrahim et Ahmed Ramzy

Wafiq Fahmy et Salah Kabil

Tawfik El Deken et Ahmed Ramzy

Khalid Macheal et Nayra Wali

Mervat Amine et Salah Kabil

Ahmed Ramzy et Mervat Amine


Résumé

Abdul Rahman meurt laissant toute sa fortune à sa femme Inahyat et à son fils unique Mohsen. Inahyat voue un amour sans borne à son fils. Elle ne peut rien lui refuser et le garçonnet en profite. Ses plus proches compagnons sont ses cousins Samira et Magdy. Ce sont les deux enfants d’Abdel Gawad et ils sont en tous points opposés à Mohsen : ils vivent modestement avec leur père mais ce sont des élèves très studieux. Et puis, Mohsen tombe gravement malade. Le médecin lui annonce qu’il n’y a plus d’espoir. Alors, Inahyat accuse Dieu de l’avoir abandonnée puis elle s’effondre, inanimée. Quand elle se réveille, elle apprend que son fils est à l’hôpital et qu’il est sorti d’affaire. Elle se précipité hors de chez elle pour rejoindre Mohsen. Dans sa chambre, elle retrouve Abdel Gawad et ses deux enfants. Tout le monde a bien changé : Samira, Magdy et Mohsen sont devenus des jeunes gens. Samira est médecin tandis que Magdy est devenu officier de police. Mohsen a eu un accident de voiture. C’est la troisième automobile qu’il casse à cause de son imprudence. Il demande aussitôt à Inahyat de lui en racheter une autre en lui promettant d’être plus sage au volant. Samira est effarée par le comportement de Mohsen. Elle l’aime, ils doivent se marier et lui continue à se comporter comme un enfant gâté. Il ne travaille pas mais préfère passer ses jours et ses nuits à jouer aux cartes et à boire de l’alcool. Evidemment, dès qu’il est sur pied, il reprend sa vie de noceur, dépensant sans compter. C’est ainsi que tout son héritage s’est volatilisé et il commence à entamer les économies de sa mère. Dans le cabaret qu’il fréquente, il est en relation avec Layla, une danseuse. Cette dernière lui présente son frère, un escroc. Tandis que la sœur joue de ses charmes pour séduire Mohsen, le frère lui propose d’investir son argent dans une affaire qui, selon ses dires, peut rapporter très gros. Le garçon ne comprend pas qu’on veut lui ravir tout ce qu’il possède. Il n’hésite pas à engager le nom et les économies de sa mère dans le projet de ses nouveaux amis. Les conséquences seront dramatiques : Inahyat est ruinée et doit vendre sa villa. Elle trouve refuge chez Abdel Gawad. Mohsen réalise enfin l’étendue du désastre pour lui et sa mère. Fou de rage, il se rend chez le frère de Layla et l’étrangle puis il se précipite au domicile de la danseuse pour la tuer elle aussi mais les cris de la domestique et l’arrivée d’un groupe de personnes le contraignent à fuir. Mohsen rejoint sa mère chez Abdel Gawad. Le lendemain matin Layla se rend à la police pour dénoncer son agresseur qui est aussi le meurtrier de son frère. C’est Magdy lui-même qui a ordre d’arrêter Mohsen. Quand il arrive avec ses hommes chez son père, Mohsen s’est enfermé dans la maison avec sa mère. Cette dernière le supplie de se rendre. Il refuse et sort un revolver. Quelqu’un entre. Il tire. C’et Samira. Elle s’effondre. C’est à cet instant qu’on retrouve Inahyat dans son fauteuil. Toute cette histoire n’était qu’un rêve. Son enfant est bien mort. Mais maintenant, elle accepte les décrets divins.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire