lundi 1 mars 2021

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 1er au 15 mars)

روتانا كلاسيك

Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. 


Lundi 15 mars à 16h30

Tu le Mérites bien d’Issa Karama (Halal Alyek, 1952)
avec Ismail Yassin (Ismaïl, le neveu du défunt), Abdel Hamid Badawi (Hassan, le frère du défunt), Aziza Badr (la femme du défunt), Hoda Shams El Din (la maîtresse du secrétaire), Elias Moaadab (le neveu du défunt), Thoraya Helmy (Thoraya, la fille du défunt), Stephan Rosti (le secrétaire du défunt), Izzat Abdel Gawad (l’officier de police), Omar El Gizawy, Salah Kasin (Anayat, la sœur du défunt)
Scénario : Issa Karama
Inspiré de Fantôme en Vadrouille (Hold That Ghost), un film américain d’Arthur Lubin et John Rawlins avec Bud Abbott et Lou Costello (1941)
Dialogues : Gamal Hamdy
 

Comédie burlesque. Un homme très riche vient de mourir. Son secrétaire réunit tous les héritiers pour leur faire lecture du testament. Le défunt a dissimulé toute sa fortune dans un endroit secret, quelque part dans son château. Celui qui découvrira le premier la cachette deviendra l’unique détenteur de tout son argent. Toute la famille se lance à la recherche du pactole mais il faudra aussi compter avec le secrétaire du défunt et sa maîtresse : eux aussi ont bien l’intention d’accaparer le fabuleux héritage…
Musique : Mohamed Amine

Deux films à voir aujourd'hui :


-à 22h :  Sans un Adieu d'Ahmed Diaa Eddine (1951), un drame avec Imad Hamdi et Madiha Yousri


Dimanche 14 mars à 18h30

Comment t'oublier ? d’Ahmed Badrakhan (Izhay ansak, 1956)
avec Farid Al Atrache (Farid), Sabah (Zanouba), Karima (Zizi), Nadia Gamal (Louza), Soad Ahmed (Madame Louahz), Abdel Salam El Nabolsi (Adnan, le metteur en scène), Serag Mounir (Radwan, le propriétaire du théâtre), Abdel Moneim Basioni (le journaliste), Rushdy Abaza (Rushdy, l’ami de Zizi), Berlanti Abdel Hamid (Soraya, une amie de Zizi), Amal Wahid (Mervat, une amie de Zizi), Reyad El Kasabgy (Matwali, le beau-père de Zanouba et de Louza), Mimi Aziz (Madame Marica), George Yordanis (le maître d’hôtel du Semiramis)
Scénario : Ali El Zorkani
Musique : Farid Al Atrache, Abdel Aziz Salam, Anwar Abdallah, Mahmoud Fahmy Ibrahim, Ismaïl El Habrouk
Production : les films Farid Al Atrache


Comédie musicale. Louza et Zanouba sont deux sœurs. La première est danseuse, la seconde chanteuse. Elles ne supportent plus leur beau-père qui les exploite et leur prend tout leur argent. Elles décident de fuir le domicile familial. Elles se rendent au théâtre Kursaal où elles rencontrent Farid, un chanteur célèbre. Celui-ci les engage et leur donne une avance pour qu’elles puissent subvenir à leurs besoins. Les deux sœurs s’installent à la pension de Madame Marica. C’est le metteur en scène Adnan qui se chargera de les former. Malgré le scepticisme du propriétaire de la salle, Farid croit au talent de ses deux protégées et il est ravi du triomphe qu’elles remportent dès leur première prestation. Il est aussi de plus en plus attiré par Zanouba, la chanteuse, mais Zizi, une riche héritière qui a depuis longtemps des vues sur lui, n’a pas l’intention de se laisser évincer sans réagir…

Un autre film à voir aujourd'hui :

-à 16h30 : La Boulangère d'Hassan Al Imam (1953), un mélodrame adapté du roman de l’écrivain français Xavier de Montépin, La Porteuse de Pain (1884).


Samedi 13 mars à 18h30

Une Rumeur d'Amour de Fateen Abdel Wahab (Ishayat hub, 1960)
avec Omar Sharif (Hussein), Soad Hosny (Samia), Youssef Wahby (Abdel Kader), Abdel Moneim Ibrahim (Mahrous, un neveu d’Abdel Kader), Ehsan Sherif (la femme d’Abdel Kader), Wedad Hamdy (la femme de chambre), Hussein Ismaïl (le cuisinier), Gamal Ramsis (le cousin « rocker »), Zeinat Olwy (la danseuse), Hind Rostom, Ragaa Al Gedawy (Zizi), Oumnia (Lola)
Scénario et dialogues : Mohamed Abou Youssef, Ali El Zorkany
D’après la pièce de John Emerson et Anita Loos, The Whole Town Talking. Aux Etats-Unis, cette pièce avait fait l’objet d’une première adaptation cinématographique en 1926.
Musique : Ahmed Fouad Hassan


Comédie. Abdel Kader, un riche entrepreneur de Port-Saïd, tente de marier son neveu Hussein, timide et sérieux, à sa fille, Samia, très moderne et dotée d'une forte personnalité. Celle-ci n'est pas du tout intéressée par Hussein. Elle est en revanche très attirée par son autre cousin qui sait chanter et danser. L'oncle va aider Hussein a conquérir le coeur de sa fille. Il est convaincu que Samia tombera amoureuse de son cousin maladroit si on parvient à la rendre jalouse. Il répand la rumeur que Hussein a une liaison avec l'actrice Hind Rostom...

Un autre film à voir aujourd'hui :

-à 16h30 : La Gloire et les Pleurs d’Ahmed Badrakhan (1946), un drame chanté qui réunit deux grandes voix, Nour Al Hoda et Mohamed Fawzi.
 

Vendredi 12 mars à 18h30

Le Voleur et les Chiens de Kamal El Sheikh (El less wal kilab, 1962)
avec Chukry Sarhan (Saïd Mohamed Mahran), Shadia (Noura), Kamal Al Shennawi (Rauf Alwan), Zein El Ashmawy (Alish Sidra, l’ancien complice de Saïd), Salwa Mahmoud (Naboui, la femme de Saïd), Adly Kasseb (Cheikh Alarah), Salah Gaheen (le marhand de vin), Ikram Izou (Sana, la fille de Saïd), Salah Mansour (le compagnon de cellule de Saïd), Samia Mohamed (la voisine de Noura), Fifi Youssef (une prostituée)
Scénario : Sabri Ezzat
D'après un roman de Naguib Mahfouz
Musique : André Ryder
appréciation :5/5


Adapté de l'un des chefs d'oeuvre de Naguib Mahfouz. Une adaptation réalisée à peine un an après la parution du roman.
Saïd est un voleur. Il est marié et a une petite fille. Il ne sait pas qu’Alish, son associé, entretient une liaison avec sa femme. Lors d’un cambriolage, Alish téléphone au commissariat pour dénoncer Saïd. Quand ce dernier sort de la maison, il est accueilli par la police. Les juges le condamnent à cinq années de prison.
Saïd est libéré avant la fin de sa peine pour bonne conduite. Il retourne dans son quartier et se présente au domicile d’Alish et de son ex-femme. Il souhaite revoir sa fille mais celle-ci ne le reconnaît pas et prend peur quand il tente de l’embrasser. Bouleversé, Saïd renonce à faire valoir ses droits paternels. Désormais, il n’a plus qu’une idée en tête : se venger…

Un autre grand film à voir aujourd'hui :

-à 22h : Dérive sur le Nil d'Hussein Kamal (1971), autre adaptation d'un roman de Naguib Mahfouz


Jeudi 11 mars à 12h30

Je ne reviendrai pas d’Hassan Reda (Lan A'Oud, 1959)
avec Samira Ahmed (Nahed), Kamal Al Shennawi (Fathi), Abbas Fares (Shakar), Abdel Moneim Ibrahim (Mohsen), Taheya Carioca (Alya), Rhaireya Rhairy (la tante Zeinab), Shafik Nour El Din (l’oncle Radwan), Fayza Ibrahim (la chanteuse), Fifi Salama (la danseuse), Layla Yousri, Nadia Nour, Soheir El Bably, Abdel Hamid Badawi
Scénario : Hassan Reda et Kamal El Hafnawi
Musique : Abdel Aziz Salam et Baligh Hamdy
Production : Ahmed Kamal Hafnawi
appréciation : 4/5


Drame. Shakar est un industriel prospère. Il s’est pris d’affection pour un jeune ingénieur Fathi. Il lui a confié le poste de directeur général adjoint et l’a logé dans un appartement près du sien. Ce qu’il ne sait pas, c’est que le jeune ingénieur est aussi l’amant de sa femme, Alya. Fathi s’absente pendant trois mois afin d’acheter des machines ultra-modernes pour la nouvelle usine en construction. Durant son absence, un ami de son patron meurt laissant derrière lui une jeune fille, Nahed. Shakar décide de lui venir en aide. Il l’emploie chez lui comme intendante. Fathi est revenu de l’étranger et a repris son existence de jeune ingénieur brillant et séduisant. Outre sa relation avec la femme de Shakar, il se rend régulièrement avec l’un de ses collègues dans un cabaret où il se divertit entouré de danseuses aux mœurs légères.
La présence de Nahed ne laisse pas indifférent Fathi. Il entreprend de la séduire et un jour, croyant sa nouvelle proie prête à succomber, il tente de l’embrasser. Celle-ci se débat, le gifle violemment et s’enfuit. Fathi comprend qu’il est tombé amoureux de la jeune femme et qu’il a fait fausse route. Il tente par tous les moyens de se faire pardonner. Il invite régulièrement l’élue de son coeur à sortir avec lui et il parvient à la convaincre de la sincérité de ses sentiments. Malheureusement, un soir, de sa fenêtre, Nahed voit Alya se rendre en cachette chez Fathi. Celui-ci n’est jamais parvenu à rompre avec sa vieille maîtresse et il continue à la recevoir régulièrement dans son appartement.

Deux autres films à voir aujourd'hui :

-à 16h30 : Le Millionnaire d'Helmy Rafla (1950), une excellente comédie avec Camilia et Ismaïl Yassin

-à 18h30 : L'Appel du Courlis d'Henry Barakat (1959), un chef d'oeuvre d'après un récit de Taha Hussein


Mercredi 10 mars à 16h30

Un scandale à Zamalek de Niazi Mostafa (Fadiha fil Zamalek, 1959)
avec Omar Sharif (Ahmed), Berlanty Abdel Hamid (Afaf), Mariam Fakhr Eddine (Amina), Mahmoud El Meleigy (Mourad), Mohsen Sarhan (Kamal), Ahmed Louxer (le procureur), Camilia El Arabi (Camilia, la fille de Kamal et d’Amina), Wagdi El Arabi (Samir, le fils de Kamal et d’Amina)
Scénario et dialogues : Fathi Abou Al Fadl
Production : Les films Edward Khayyat


Drame. C'est l'histoire de deux sœurs, Afaf et Amina. La première rêve de vivre dans le luxe et l’aisance mais son mari Ahmed n’est qu’un petit employé avec un salaire de 30 guinées. Elle est très jalouse de sa sœur dont le mari gagne 500 guinées par mois. Amina vit dans une maison vaste et luxueuse tandis qu’Afaf doit se contenter d’un petit appartement délabré. Ahmed sent bien que cette situation rend sa femme très malheureuse. Pour pouvoir lui offrir des vacances à Alexandrie, il sollicite son ami, Mourad. C’est un homme d’âge mûr, très riche et très généreux. Il lui prête 50 guinées. Pour le remercier, Ahmed l’invite à dîner chez lui. C’est ainsi qu’Afaf fait la connaissance de Mourad. Ce dernier est tout de suite séduit par la jeune épouse de son ami. Et d’invitations en invitations, de cadeaux en cadeaux, ils deviennent amants. Leurs rencontres ont lieu dans l’appartement de Mourad tandis qu’Ahmed travaille à son bureau. Mais un jour, peu après avoir fait l’amour avec sa jeune maîtresse, l’homme d’âge mûr meurt d’une crise cardiaque…

Deux autres films à voir aujourd'hui :

-à 12h30 : Dananir d'Ahmed Badrakhan (1939), avec Oum Kalthoum

-à 22h : Le Prince de la Vengeance d'Henry Barakat (1950), adaptation du roman Le Comte de Monte Cristo  d'Alexandre Dumas


Mardi 9 mars à 18h30

Illusions d’Amour de Salah Abou Seif (El Wesada Elkhalya, 1957)
avec Abdel Halim Hafez (Salah), Loubna Abdel Aziz (Samiha), Zahrat Al Oula (Douria), Ahmed Ramzy (Fayez), Omar El Hariri (le docteur Fouad), Abdel Moneim Ibrahim (Hassan), Abdel Wares Asr (le père de Salah), Kawthar Shafik (Sonia), Serag Mounir (le père de Douria), Rafia Al Shal (la mère de Salah)
D’après une histoire d’Ishan Abdul Quddus
Scénario et dialogues : El Sayed Bedeir
Musique : Kamal El Tawil, Mamoun Al Shinnawi, Mounir Mour ad, Mohamed Al Mogi, Ismaël El Habrouk


Film chanté. Alors qu’il arpente les rues du Caire avec ses deux meilleurs amis, Salah fait la connaissance de Samiha. Entre eux, c’est immédiatement le grand amour. Mais leur bonheur est de courte durée car Samiha doit épouser un médecin. L’étudiant pauvre ne peut rivaliser. Il essaie d’oublier celle qu’il aime en passant ses nuits à boire dans les cabarets. Il rencontre une jeune femme qui est éperdument amoureuse de lui mais cela ne suffit pas à lui redonner le goût de vivre. Une nuit, alors qu’il a bu plus que de raison, il a un malaise. Il est hospitalisé. Le médecin qui le soigne est le mari de Samiha…


Lundi 8 mars à 18h30

Le Fauve de la Nuit d'Hassan El Seifi (Sabah Al Leila, 1971)
avec Roshdy Abaza (Hassan), Mervat Amine (Salwa), Nagwa Fouad (la danseuse Shaza), Tawfik El Deken (le serviteur du père de Salwa), Ahmed Al Haddad (le chauffeur de Taxi), Salah Nazmi (le père de Salwa), Magdi Wahba (l’inspecteur), Mohamed Shawky (le propriétaire du café), Galal El Masry (le barman), Ahmed Abou Abya (le policier), Helmy Abdel Wahab, Ali Arabi (l’informateur), El-Toukhy Tawfiq (le directeur du casino)
Scénario : Adly Al Mouled
Production : Gomhouria Film


Thriller. La mère de Salwa a quitté son mari et s’est installée en France avec sa petite fille. Les années passent. La mère meurt laissant seule Salwa qui est devenue une jeune femme. L’orpheline décide de rentrer en Egypte pour rechercher son père. En attendant, elle trouve un emploi comme hôtesse dans un casino. Elle ne sait pas que celui-ci appartient à un redoutable trafiquant de drogue qu’on surnomme le Fauve de la Nuit. Personne ne connaît son identité, même pas les membres de son gang car il ne quitte jamais sa cagoule qui lui dissimule entièrement le visage. Un jour, Salwa décide de se rendre à Alexandrie. Son patron lui propose un de ses véhicules. En fait, lui et ses hommes ont dissimulé de la drogue dans la carrosserie de la voiture. Salwa prend la route d’Alexandrie suivie de près par le trafiquant qui a pris place dans un camion de chantier conduit par l’un de ses complices.
Au bout d’un certain temps, Salwa s’arrête à une station-service mais quand elle veut repartir, la voiture refuse de démarrer. Hassan, le mécanicien du garage fait un examen rapide du moteur et déclare qu’il faudra plus d’une journée de réparation. Salwa laisse donc le véhicule au bon soin de l’homme de l’art et s’en va. Le lendemain, Hassan découvre la drogue placée dans la roue de secours. Il décide de la mettre dans un sac et de dissimuler le tout dans un champ. A peine s’en est-il débarrassé qu’il tombe nez à nez avec trois des hommes du Fauve de la Nuit. Hassan refuse de leur laisser la voiture. Une bagarre s’ensuit qui tourne à la correction sévère pour le pauvre mécanicien. Les malfrats reprennent possession du véhicule et, croient-ils, de sa précieuse cargaison...


Dimanche 7 mars à 18h30

Samara de Hassan El-Seifi (Samara, 1956)
avec Taheya Carioca (Samara), Soad Ahmed (la mère de Samara), Mahmoud El-Meliguy (le chef du gang de Soltan), Stephan Rosty, Serag Mounir (chef du service de lutte contre la drogue), Mahmoud Ismaïl (Soltan), Mohsen Sarhan (l’indicateur de la police), El Sayed Bedeir (membre du gang de Soltan), Abdel Aziz Khalil (membre du gang de Soltan), Mohamed Tawfiq (membre du gang de Soltan), Awatef Youssef (la danseuse), Shafik Nour El Din (le père de Samara), George Yordanis (le barman du cabaret)
Scénario : Mahmoud Ismaïl
Musique : Attiah Sharara
Producteur : Hassan El Seifi
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien


Thriller. Soltan, un important trafiquant de drogue, épouse Samara, une danseuse dont l’enfance fut bouleversée par des événements dramatiques. Il l’initie à ses affaires et la jeune femme devient une pièce maîtresse du gang. Mais la police parvient à introduire dans le réseau un indicateur. Samara en tombe aussitôt amoureuse. La situation se complique encore quand le patron de Soltan s’éprend à son tour de la danseuse…


Samedi 6 mars à 18h30

Hassan et Marika d'Hassan El Seifi (Hassan wa Marika, 1959)
avec Ismaël Yassin, Thuraya Fakhry, Abdel Salam Al Nabulsi, Maha Sabry, Mohsen Hassanein, Dorrya Ahmed, George Yordanis, Stephan Rosti, Reyad El Kasabgy, Suzie Khairy, Thuraya Fakhry, Abdel Moneim Ismaël
Scénario : Aboul Seoud El Ebiary
Musique : Fathy Qoura, Mounir Mourad, Attiah Sharara, Saïd Mekawi, Mohamed Ali Ahmed
appréciation : 3/5


Hassan est amoureux de Marika, la fille d’un barbier grec du nom de Papadopoulos. Le jour, elle tient la caisse du salon de son père, le soir, elle chante dans un cabaret. Hassan se rend quotidiennement chez le barbier pour rencontrer l’élue de son cœur. Malheureusement, son ami Fahlawy, est aussi amoureux de la jeune femme. Les deux garçons rivalisent d’ingéniosité pour gagner les faveurs de Marika. Cette dernière finit par annoncer que son cœur penche pour Hassan. Mais notre héros n’a pas encore gagné la partie. En effet le père de Marika a déjà des projets de mariage pour sa fille : elle devra épouser Marco, un grec comme lui…


Vendredi 5 mars à 18h30

Je veux me marier d’Ahmed Badrakhan (Aiza atgawiz, 1952)

avec Nour Al Hoda (Farhana), Farid Al Atrache (Farid), Soliman Naguib (Wagdi Cristal), Abdel Salam Al Nabolsi (Wagy Cristal, le neveu de Wagdi), Zinat Sedki (la femme de chambre de Farhana), Serag Mounir (Taher Al-Anfoushi), Kawthar Shafiq (la fille de Taher), Saïd Abou Bakr (cousin de Farhana), Leila al Jazairia (la danseuse Leila), Sayed Suleiman (le domestique des Cristal), Abdel Nabi Mohamed (un soldat), Mohamed Zayed (chauffer de taxi), Abdel Ghani El Nagdi (cousin de Farhana), Thuraya Fakhry (la femme de Taher), Abbas Rahmi (le directeur de la salle de spectacles)
Leila Al Jazairia (photo) est une danseuse algérienne née en 1927. Farid Al Atrache l’avait choisie pour remplacer Samia Gamal dont il venait de se séparer.
Histoire et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Farid Al Atrache


Comédie musicale. Farhana quitte sa ville natale pour commencer une carrière de chanteuse au Caire. Elle a changé de nom et désormais elle se fait appeler Nour Al Ayin. Pour rassurer sa famille, il lui faut épouser au plus vite un homme fortuné. Elle rencontre un vieil industriel très riche qu’elle entreprend de séduire. Mais peu après, elle fait la connaissance du neveu de celui-ci, un neveu qui est aussi son seul héritier. Les deux hommes rivalisent d’attentions à son égard mais Nour finit par comprendre que ni l’un ni l’autre ne souhaite l’épouser avec un véritable contrat et en respectant toutes les conventions d’usage. Elle chasse l’oncle et le neveu de chez elle. Pour se venger, elle décide de se marier avec un homme pauvre. Le hasard fait bien les choses car le soir même, elle rencontre dans un jardin public un jeune inconnu qui chante divinement en s’accompagnant de son oud…


Jeudi 4 mars à 12h30

Le Chant de l’Espoir d'Ahmed Badrakhan (Nasheed Al-Amal, 1937)

avec Oum Kalthoum (Amal), Salwa (Salwa, la fille d’Amal), Hassan Fayek (l’assistant du réalisateur), Stephan Rosti (l’acteur Mourad), Fouad Shafik (le réalisateur, Mary Moneib (la mère d’Amal), Zaki Toleimat (Docteur Assem), Abbas Fares (Ismaïl, l’ex-mari d’Amal), Abdel Aziz Khalil (le chef de gang), Abdel Meguid Choukry (le professeur de musique), Mahmoud Reda (Docteur Mahboub)
D’après un roman d’Edmond Tuema
Scénario et dialogues : Ahmed Badrakhan et Ahmed Rami
Musique : Aziz Sadek, Mohamed El Qasabji et Riad El Sonbati
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien


C’est le premier film réalisé par Ahmed Badrakhan et c’est le second interprété par la chanteuse Oum Kalthoum.
Amal a été abandonnée par son mari. Elle vit pauvrement avec sa mère et sa fille, Salwa. Cette dernière tombe malade et Amal consulte le docteur Assem. Tout en soignant la fille, le médecin découvre le talent de chanteuse de la mère. Il décide de l’aider à se lancer dans la carrière artistique. Les premières prestations publiques de la jeune femme provoquent l’enthousiasme des spectateurs. Très vite, un réalisateur des studios Misr lui propose de tourner un premier film. Comble de bonheur : le docteur Assem est tombé amoureux d’Amal et il manifeste une grande affection pour sa fille. C’est à ce moment-là que son ex-mari reparaît…


Mercredi 3 mars à 12h30

Bonnes Nouvelles d’Abbas Kamel (khabar abyad, 1951)
avec Leila Fawzi (Leila), Karem Mahmoud (Mohsen), Adel Abbas (Hassan, le petit frère de Mohsen), Soad Mekawy (Bilia, la servante de Leila), Aziz Othman (l’hypnotiseur), Hagar Hamdy (l’assistante de l’hypnotiseur), Ferdoos Mohamed (la mère de Mohsen et d’Hassan), Abd El Fatah El Kosary (le père de Mohsen et d’Hassan), Fouad Shafik (le père de Leila), Mohamed Kamal El Masry (Shabana, le chauffeur), Mohamed El Tabei (le créancier du père de Leila), El Sayed Bedeir (le fils du créancier)
Scénario : Abbas Kamel
Musique et chansons : Mounir Mourad, Mahmoud Sharif, Karem Mahmoud, Mohamed El Bakkar, Fathi Koura, Mohamed Abdel Moteleb


Comédie musicale. Mohsen est un modeste vendeur de journaux et de magazines. Un jour, une revue organise une grande loterie dont le premier prix est une Cadillac. En ville, c’est l’effervescence. Tout le monde veut gagner la limousine. Notamment, Leila, la fille d’un commerçant dont les affaires ne sont plus très florissantes. En fait, c’est Mohsen qui remporte le gros lot. Malheureusement, il ne sait pas conduire. Leila qui est parvenue à entrer en contact avec le héros du jour lui propose son aide…


Mardi 2 mars à 18h30

Filles d'aujourd'hui d'Henry Barakat (Banat Al Youm, 1956)
avec Ahmed Ramzy (Fathi), Abdel Halim Hafez (Khaled), Magda Al Sabahi (Salwa), Serag Mounir (le docteur Lotfi), Amal Farid (Layla), Cariman (Buthaïna, la meilleure amie de Layla), Thuraya Fakhry (la mère de Buthaïna), Nawal Mustafa (Najwa)
Scénario : Henry Barakat et Youssef Issa
Musique : Mohamed Abdel Wahab
Production : les Films Mohamed Abdel Wahab


Comédie musicale. Suleiman Lotfi est un gynécologue qui a trois filles. Salwa est l’aînée, c’est une fille affectueuse et raisonnable qui depuis la mort de leur mère s’occupe de ses deux sœurs plus jeunes, Layla et Najwa. Fathi, un artiste peintre, est tombé amoureux de Salwa et son ami Khaled veut l’aider à conquérir la jeune fille. Celui-ci est d’autant mieux placé pour le faire qu’il connaît personnellement le docteur et que tous les deux fréquentent le même club. Mais Fathi va progressivement comprendre que Khaled et Salwa sont irrésistiblement attirés l’un vers l’autre…


Lundi 1er mars à 18h30

Les Rois du Mal d’Houssam Al Din Mostafa (Muluk al shari, 1972) 
avec Farid Shawki (Shafiq), Mahmoud El Meleigy (Al Hout), Tawfik El Deken (Kabaka, le bras droit d’Al Hout), Nelly (Docteur Samiha), Samia Shokri (Wafa, la femme de Shafiq), Hala El Shawarby (Lola, la maîtresse d’Al Hout puis de Kabaka mais aussi l’ancienne maîtresse de Shafiq), Khaled Abo El Saoud (Hamed, le fils de Farid), Ahmed Loxer (le procureur), Alya Abdel Moneim (la mère du docteur Samiha)
Scénario : Mahmoud Abou Zeid


Thriller. Shafiq dirige un gang spécialisé dans le trafic de drogue. Pour ne pas compromettre l’avenir de son fils, il a décidé de cesser ses activités illégales. Il lui reste une dernière opération à accomplir : prendre en charge toute une cargaison de drogue arrivée par la mer. Al Hout, l’un de ses rivaux, va tenter de faire capoter cette dernière mission. Il prévient la police en lui communiquant tous les éléments nécessaires à l’arrestation de Shafiq et de sa bande. Mais c’’est sans compter Lola. Lola est la maîtresse de AL Hout mais elle fut aussi celle de Shafiq. Elle a informé ce dernier de ce qui l’attendait. C’est ainsi que le trafiquant de drogue échappe à l’arrestation. A Hout ne s’avoue pas vaincu. Lui et ses hommes déguisés en policiers font irruption chez Shafiq pour s’emparer de sa précieuse cargaison. Une fusillade éclate. Shafiq est blessé…





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