jeudi 2 décembre 2021

A la télé : les films du jour (Rotana Classic du 2 au 15 décembre)

روتانا كلاسيك


Quels films peut-on voir sur la chaîne Rotana Classic ? Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.

Rotana Classic a remplacé Rotana Zaman en 2012. Cette chaine  fait partie du groupe Rotana basé en Arabie Saoudite et spécialisé dans le divertissement (télévision et musique) . Il appartient au prince Al-Walid ben Talal ben Abdelaziz Al Saoud. Comme son nom l’indique, Rotana Classic diffuse essentiellement les grands classiques du cinéma égyptien. Accessible en France.


Mercredi 15 décembre à 18h30

Amour et Vengeance de Youssef Wahby (Gharam wa Intiqam, 1944)
avec Asmahan (Sohair), Anwar Wagdi (Wahid Ezzat), Youssef Wahby (Gamal Hamdy), Mahmoud El Meleigy (Safwat, le cousin de Wahid), Zouzou Madi (Inayat, l’amie de Sohair), Amina Sherif (Mounira, la sœur de Gamal), Beshara Wakim (le docteur Beshara), Fouad El Rashidi (le procureur), Menassa Fahmy ( le médecin de Gamal Hamdy), Gina (la danseuse), Mohamed Kamel (Oncle Rajab), Fakher Fakher, Soad Ahmed (la mère de Gamal Hamdy), Rashad Hamed (le chauffeur), Abbas Rahmy (un admirateur), Ibrahim Hechmat (expert dans la police scientifique)
Scénario : Youssef Wahby
Une histoire inspirée du Cid, la célèbre tragédie du dramaturge français Pierre Corneille (1606-1684)
Musique : Mohamed Al Qasabji, Ryad Al Sunbati, Mohammad Hassan Al Shugai et Farid Al Atrache
Textes des chansons : Ahmed Rami, Bayram El Tunsi, Mahmoud Al Sinnawi
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien


Sohair, une chanteuse célèbre décide d’abandonner sa carrière pour épouser l’amour de sa vie, Wahid, un homme à la sulfureuse réputation, alcoolique et coureur de jupons. Malheureusement, celui-ci est tué la veille de la cérémonie. Le principal suspect est le compositeur Gamal Hamdy. Il est arrêté et interrogé par la police mais on ne trouve aucune preuve contre lui. Il est libéré. Sohair croise à nouveau la route du musicien lors d’une fête donnée par Inayat, l’une de ses amies. Elle décide de faire semblant de tomber amoureuse de lui pour connaître toute la vérité et se venger…
Asmahan meurt accidentellement avant la fin du tournage de ce film, ce qui contraint Youssef Wahby à modifier le dénouement de son scénario.


Mardi 14 décembre à 18h30

La Chanson de mon amour d’Ahmed Badrakhan (Lahn Hobbi, 1953)
avec Farid Al Atrache (Ali), Sabah (Banilia, la fille du professeur de musique), Hussein Riad (Ramzy, le vieux professeur de musique), Zouzou Chakib (Aroua, la femme du professeur de musique), Ismail Yassin (Manzoum), Abdel Salam Al Nabulsi (le peintre Abou Zayd), Mahmoud El Meleigy (Shawki, le propriétaire du théâtre et l’amant d’Aroua), Zaki Ibrahim (le propriétaire du casino), Abbas Rahmy (l’homme chez qui Ali et Banilia doivent chanter), Layla Al Jazarya (Nora, la danseuse), Abdel Hamid Zaki (le propriétaire de la boutique d’instruments de musique), Liz et Lynn (danseuses)
Scénario : Ahmed Badrakhan
Dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Farid Al Atrache. On peut aussi entendre des extraits de Carmen, l’opéra du compositeur français Georges Bizet.
Production : les films Farid Al Atrache


Comédie musicale. Ali est un musicien sans le sou. Depuis des mois, il ne parvient plus à payer le loyer de la petite chambre qu’il loue au sous-sol d’une grande maison. Cette demeure appartient à Ramzy, un vieux professeur de musique très malade et à sa femme. Cette dernière ne porte pas Ali dans son cœur et souhaite l’expulser au plus vite. De son côté, le jeune musicien craint par-dessus tout de devoir quitter son logement : il s’entend très bien avec le professeur de musique et il est amoureux de sa fille, Banilia. Mais la mère de famille qui par ailleurs entretient une relation adultère avec un directeur de théâtre ne lui manifestera aucune indulgence. Alors qu’Ali passe la soirée à l’extérieur, sa chambre est louée à un peintre et quand il regagne son logis, passablement éméché, il tombe nez à nez avec le nouveau locataire. Le ton monte très vite mais les deux artistes finissent par s’entendre et conviennent de se partager la chambre. Peu après, Banalia, qui à l’occasion chante dans des fêtes privées, invite Ali à se joindre à elle pour animer une réception chez un particulier. Malheureusement, Ali a « emprunté » un smoking qui ne lui va pas du tout et dès qu’il apparaît, tous les invités s’esclaffent tandis que les musiciens de l’orchestre expriment leur indignation. Le propriétaire des lieux le chasse aussitôt…


Lundi 13 décembre à 18h30

La Mère de la Mariée d'Atef Salem (Oum el Aroussa, 1963)

avec Youssef Chaban (Galal), Madiha Salem (Nabila), Taheya Carioca (Zeinab), Imad Hamdi (Hussein), Abdel Rahman Al Arabi (Murad), Samira Ahmed (Ahlam, la fille aînée), Adly Kasseb (Mustafa, le père de Galal), Soleiman El Gendy (Sami), Inas Abdullah (Sawsan), Atef Makram (Munir), Khayria Ahmed (Fawzia, l'amie d'Ahlam), Ihsan Sherif (la mère de Jalal), Hassan Youssef (Shafiq)
Scénario : Abdel Hay Adib
Histoire : Abdel Hamid Gouda El Sahar
Musique du générique : Jungle Drums de Marty Gold
Production : Naguib Khoury
figure dans la liste des 100 films les plus importants du cinéma égyptien.


Comédie. Zeinab et Hussein sont les parents d’une famille nombreuse qui compte sept enfants. La vie quotidienne n'est pas toujours facile. La mère doit répondre aux incessantes sollicitations de tous ses enfants et n'a pas un instant à elle. Heureusement le père, toujours tendre et attentionné fait tout son possible pour l'aider. Hussein est agent comptable dans une entreprise nationalisée. Son petit salaire ne permet aucune folie. Dans cette famille, on vit modestement mais l'amour ne fait jamais défaut et cela suffit au bonheur de tous. Un événement va soudain tout bouleverser. Lors des fiançailles de l'une de ses amies, la fille aînée rencontre un jeune garçon de bonne famille. C’est le coup de foudre immédiat. Ils veulent se marier. Tout irait pour le mieux si les parents du futur époux ne formulaient pas des demandes extravagantes. Zeinab et Hussein sont embarrassés : il leur faut trouver au plus vite les fonds qui leur permettront d’organiser des noces dignes des deux familles.


Dimanche 12 décembre à 18h30

Le Tigre d’Hussein Fawzi (Al Nimr, 1952)
avec Naima Akef (la fille de Darwich), Anwar Wagdi (Salah), Zaki Rostom (Darwich), Lola Sedky (Houda), Farid Shawki (Afifi, un complice de Darwich), Elias Moadab (Naseh, un employé du casino), Said El Maghrabi (Faleh, un employé du casino), Kamal Hussein (Yahia, un homme ruiné que Darwich oblige à travailler pour lui), Aziza Helmy (la femme de Darwich), Reyad El Kasabgy (un gangster), Abdel Moneim Basiony (un inspecteur), Rashad Hamed (un inspecteur), Mary Bay Bay (un membre du gang), Lotfi El Hakim (le pharmacien)
Scénario : Ahmed Farouk, Hussein Fawzi, William Basile
Musique : Mohamed Abdel Wahab 
Production : les films Hussein Fawzi
C’est le neuvième film qu’Hussein Fawzi tourne avec l'actrice et danseuse Naima Akef. Cette même année, ils se marient malgré leur grande différence d'âge : elle a 23 ans, il en a 48.


Comédie musicale. Darwich travaille dans un casino. En apparence, c’est un homme d’une grande gentillesse, toujours serviable. En fait, derrière cette apparence honorable, il est le chef d’un gang se livrant au trafic de drogue. Dans le monde du crime, il est devenu célèbre sous le nom du « Tigre » car il est d’une extrême férocité aussi bien à l’égard de ses hommes qu’à l’égard de ses adversaires. Salah est un policier qui est chargé d’enquêter sur le « Tigre ». Pour mener à bien sa mission, il se fait passer pour un journaliste. C’est ainsi qu’il se présente dans le casino où travaille Darwich. Il fait la connaissance de Faten, la fille de ce dernier. Elle est danseuse et se produit dans l’établissement. Il fait aussi la connaissance de Houda qui est l’une des serveuses. Celle-ci a un frère qui connaît la vraie identité de Darwich. Il s’apprête à tout révéler à la police mais malheureusement, il est tué avant d’avoir pu le faire…


Samedi 11 décembre à 14h

La Petite Poupée d'Ahmed Badrakhan (El aroussa el saghira, 1956)
avec Saïd Mekawi (le chanteur aveugle), Saïd Abou Bakr (le compagnon du chanteur aveugle), Yehia Chahine (Kamel), Mahmoud El Meleigy (Mahmoud Fahmy), Wedad Hamdy (Wedad), Salah Sarhan (le peintre), Mariam Fakhr Eddine (Siham), Nadia El Shennawi (Nadia), Serag Mounir (le patron), George Yordanis (le barman), Metawa Oweis (le vendeur de billets de loterie), Abbas Rahmy (le docteur)
Scénario et dialogue : Youssef Gohar
Musique : André Ryder
Production : les studios Misr
Appréciation : 3/5


Mélodrame. Kamel est un modeste employé. Il vit avec sa femme Siham et sa petite fille Nadia. Un jour, son directeur l’invite, lui et sa petite famille, à une soirée dans un cabaret. Après le dîner, le chef d’entreprise demande à Kamel de retourner au bureau pour y effectuer un travail urgent. Une fois son subordonné parti, il en profite pour courtiser Siham. En reconduisant la femme et sa fille chez elles, il a un geste déplacé à l’égard de Siham. Elle le repousse. Vexé, il dépose dans la rue ses deux passagères qui doivent continuer leur route sous une pluie battante. Quand elles regagnent enfin leur petit appartement, Siham raconte tout à son mari. Le lendemain matin, Kamel fou de rage veut corriger son patron. Il est maîtrisé par ses collègues et il est aussitôt licencié. Peu après, Nadia tombe malade...


Vendredi 10 décembre à 18h30

Le Voleur et les Chiens de Kamal El Sheikh (El less wal kilab, 1962)

avec Chukry Sarhan (Saïd Mohamed Mahran), Shadia (Noura), Kamal Al Shennawi (Rauf Alwan), Zein El Ashmawy (Alish Sidra, l’ancien complice de Saïd), Salwa Mahmoud (Naboui, la femme de Saïd), Adly Kasseb (Cheikh Alarah), Salah Gaheen (le marhand de vin), Ikram Izou (Sana, la fille de Saïd), Salah Mansour (le compagnon de cellule de Saïd), Samia Mohamed (la voisine de Noura), Fifi Youssef (une prostituée)
Scénario : Sabri Ezzat
D'après un roman de Naguib Mahfouz
Musique : André Ryder
Production : Gamal El Lithy
appréciation :5/5


Adapté de l'un des chefs d'oeuvre de Naguib Mahfouz. Une adaptation réalisée à peine un an après la parution du roman.
Saïd est un voleur. Il est marié et a une petite fille. Il ne sait pas qu’Alish, son associé, entretient une liaison avec sa femme. Lors d’un cambriolage, Alish téléphone au commissariat pour dénoncer Saïd. Quand ce dernier sort de la maison, il est accueilli par la police. Les juges le condamnent à cinq années de prison.
Saïd est libéré avant la fin de sa peine pour bonne conduite. Il retourne dans son quartier et se présente au domicile d’Alish et de son ex-femme. Il souhaite revoir sa fille mais celle-ci ne le reconnaît pas et prend peur quand il tente de l’embrasser. Bouleversé, Saïd renonce à faire valoir ses droits paternels. Désormais, il n’a plus qu’une idée en tête : se venger…


Jeudi 9 décembre à 22h

Antar le valeureux ou Antar le prince noir de Niazi Mostafa (Antar Ibn Shaddad,1961)
avec Farid Shawki (Antar), Kouka (Abla), Said Abou Bakr (Chiboub), Abdel Halim Khattab (le père d’Antar), Ferdoos Mohamed (Zabida, la mère d’Antar), Mohamed Abaza (le roi Al Numan), Wedad Hamdy (l’amie d’Abla), Fakher Fakher (le père d’Abla), Ahmed Khamis (le frère d’Abla), Nour El Demerdash (Emara Ibn Zyad), Badr Nofal (le frère d’Emara), Abdel Khalek Saleh (le prince Zohair), Yasmine (la danseuse)
Scénario et dialogues : Niazi Mostafa, Abdel Aziz Salam, Bayram El Tunsi
D’après une histoire de Mohamed Farid Abu Hadid
Musique : Aly IsmaïlProduction : Aflam Misr Al Jadida


Epopée. D’après une légende qui évoque la vie d’un héros valeureux à l’époque antéislamique. Antar est le fils que le prince Shaddad a eu avec son noire africaine Zubaïda. Il n’a pas été reconnu par son père et il mène une vie d’esclave auprès de sa mère. Il aime sa cousine Abla sans espoir de la conquérir en raison de sa misérable condition. A deux reprises, il manifeste aux yeux de tous sa force et son courage en repoussant seul des groupes de cavaliers venus pour s’emparer des femmes. Malgré la haine que lui voue l’épouse légitime de son père, ses exploits lui permettent d’être affranchi et de rejoindre le peuple des hommes libres. Peut-être va-t-il pouvoir épouser Abla qui a été conquise par son courage et sa droiture. C’est sans compter le père de la jeune fille qui veut s’opposer à cette union par tous les moyens…
 
 
Mercredi 8 décembre à midi

Un Jour sans Lendemain d’Henry Barakat (Youm bela ghad, 1962)
avec Farid El Atrache (Mamdouh), Maryam Fakhr Eddin (Layla), Zizi El Badraoui (Souad), Youssef Fakhr El Din (Adel), Mohamed Sultan (Hussein, l’amoureux de Souad), Nahed Sabry (la danseuse), Zaki Rostom (Taher), Ahmed Loxer (Saleh), Abdel Khalek Saleh (le médecin)
Scénario : Henry Barakat
Dialogues : Youssef Issa
D’après la pièce du dramaturge germano-britannique Rudolf Wilhelm Besier (1878-1942), The Barretts Of Winpoile Street. Cette pièce qui raconte la vie de la poétesse et essayiste Elizabeth Barrett Browning (1806-1861) a été adaptée à deux reprises par le réalisateur américain Sidney Franklin, la première fois en 1934, la seconde en 1957.
Musique : Farid Al Atrache
Paroles des chansons : Fathy Qoura, Kamel Al Shennawi, Morsi Gamil Aziz
Production : Les films Farid Al Atrache


Layla est une jeune femme handicapée qui a perdu sa mère alors qu’elle était enfant. Son beau-père lui a toujours manifesté une grande affection. Il veille sans relâche sur sa santé et son bien-être. Layla est passionnée par l’écriture et elle compose des poèmes. Elle a envoyé certains d’entre eux à Mamdouh, un célèbre chanteur qui, impressionné par la beauté de ces textes, décide de les mettre en musique. Malgré les réticences de Layla, les deux artistes finissent par se rencontrer et ils tombent aussitôt amoureux l’un de l’autre. Cet amour a des effets bénéfiques sur l’état physique de Layla : elle commence à retrouver l’usage de ses jambes. Mais cette situation déplait fortement à son beau-père. On comprend que celui-ci est secrètement amoureux de Layla et qu’il entend repousser sans ménagement tout prétendant qui se présentera à son domicile…


Mardi 7 décembre à 22h

Battement de Cœur de Mohamed Abdel Aziz (Daqet Qalb, 1976)

avec Mahmoud Yassin (Imad Abdel Aziz), Mervat Amine (Mona Fahmy), Samir Sabri (Kamal Abdel Fattah), Hassan Mostafa (le supérieur hiérarchique de Mahmoud et Kamal), Samir Aziz (le docteur Fawzy), Imad Hamdi (docteur Fahmy), Mariam Fakhr Eddine (la mère de Mona), Azza Sherif (danseuse)
Scénario : Farouk Sabry
Remake du film américain Deux Minets pour Juliette de Norman Panama (Not with My Wife You Don't, 1966)
Musique : Tarek Sharara


Kamal et Imad sont deux amis qui travaillent comme ingénieur dans le même organisme. Ils consacrent tout leur temps libre à séduire les jolies femmes . Leur existence de joyeux célibataires leur vaut une réputation sulfureuse auprès de leurs chefs et de leurs collègues. Un jour, dans le club de loisirs qu’ils fréquentent arrive une belle inconnue qui éveille aussitôt leur intérêt. L’un et l’autre tentent d’établir un contact avec elle mais sans succès : la jeune femme les traite comme des importuns venus troubler sa quiétude. Elle leur répond sans ménagement et s’enfuit. Le lendemain, à l’occasion d’une soirée dansante organisée par le club, Imad retrouve la jeune femme assise à la table de l’un de ses amis, le docteur Fawzy. Il les rejoint et s’installe à leurs côtés. C’est ainsi qu’il apprend le nom de la belle inconnue, Mona Fahmy. Elle est la fille du docteur Fahmy, le nouveau directeur de l’hôpital, et elle travaille comme institutrice. Le bonheur d’Imad est de courte durée car Kamal arrive à son tour et invite Mona à danser. Dès lors les deux amis deviennent d’impitoyables rivaux. Le temps passe. Imad et Kamal sont devenus des intimes de Mona et de sa famille. La jeune fille sort régulièrement avec les deux garçons mais elle ne parvient pas à choisir lequel des deux sera son futur époux. Soudain, tout se précipite : les deux ingénieurs sont envoyés en Allemagne par leur patron pour une mission de longue durée. Alors qu’ils montent dans l’avion, Imad rebrousse chemin à l’insu de son camarade. Il retrouve Mona et lui demande de l’épouser. Elle accepte…


Lundi 6 décembre à 14h 

Les Trois Fous d’Hassan El Seifi (El Maganeen el Talata, 1970)
avec Nagla Fathy (Samira, la belle-sœur du docteur Tawfiq)), Zahrat Al Oula (Sonia, la femme du docteur Tawfiq), Samir Ghanem (le docteur Tawfiq), George Sedhom (le journaliste), El Deif Ahmed (le fiancé de Samira), Tawfik El Deken (officier de police), Ibrahim Saafan (le médecin), Kawthar Shafik (une journaliste), Seif Allah Mokhtar (l’unique patient du psychiatre), Zakaria Mowafy (un policier), Adel Nassif (le propriétaire des lapins), Abdel Ghani El Nagdi (Mahmoud), Abdel Moneim Basiony (le voisin), Ahmed Nabil (l’assistant du psychiatre), Soheir Zaky (la danseuse), Mahmoud El Meleigy (le rédacteur en chef)
Scénario : Ali Salem
Musique : Baligh Hamdy, Helmy Bakr, Fathy Qoura
Production : Hassan El Seifi
L’un des derniers films d’El Deif Ahmed qui meurt le 6 avril 1970, à l’âge de 34 ans.


Comédie musicale. Le docteur Tawfiq est vétérinaire. Il a décidé de quitter son emploi au ministère de la santé pour se consacrer à des recherches personnelles dans le laboratoire qu’il a aménagé à son domicile. Il a construit une machine capable de prolonger l’existence des êtres vivants. Pour tester son invention, il fait des essais sur des animaux qu’il vole dans le quartier. Les activités de l’ancien vétérinaire ne plaisent pas beaucoup à sa femme Sonia et elle s’en plaint à sa sœur Samira. Cette dernière demande à son fiancé qui est psychiatre d’intervenir. Dans le même temps, le directeur d’un magazine envoie un reporter enquêter sur le mystérieux docteur…


Dimanche 5 décembre à 14h

Ma belle-mère est une bombe atomique d’Helmy Rafla (hamati kombola zorria, 1951)
avec Taheya Carioca (Batta), Ismail Yassin (Zaher), Abd El Fatah El Kosary (Maître Hassouna), Aziza Helmy (Soheir Hanim, la voisine), Wedad Hamdy (la servante), Mohamed El Genedy (Madbouly le chanteur), Shadia (Halawa, la belle-fille de Maître Hassouna), Gamal Fares (Kris, l’amoureux de Halawa), Abdel Moneim Ismail (l’agent de police), Nabawya Mostafa (danseuse), Mary Moneib (la mère de Batta)
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Mahmoud Al Sharif, Fathy Qoura et Ahmed Sedky


Comédie musicale. Zaher est marié à la danseuse Batta. Il serait le plus heureux des hommes si sa belle-mère ne s’était pas installée dans leur foyer. Celle-ci se comporte en tyran domestique et la vie à la maison devient un enfer. La vieille femme a aussi un projet : elle veut que sa fille divorce de Zaher qu’elle considère comme un raté pour épouser Maître Hassouna, un riche marchand de sa connaissance. Un jour, elle rencontre chez le coiffeur une ancienne voisine de Zaher. Cette dernière lui fait des confidences et lui apprend qu’elle a été mariée il y a très longtemps avec Zaher : l’homme qu’elle aimait avait déjà divorcé trois fois et elle devait impérativement se marier puis divorcer au moins une fois pour être autorisée à convoler avec l’élu de son cœur. Zaher avait accepté d’être ce premier époux de « convenance ». Evidemment, ils avaient divorcé le lendemain. Cette histoire enflamme l’imagination de la belle-mère : elle fait croire à son gendre qu’il a eu de cette première union, une fille et que celle-ci s’apprête à faire son apparition. Zaher est abasourdi…


Samedi 4 décembre à 18h30

Le Fantôme de ma femme de Fateen Abdel Wahab (Ifrit meraty, 1968)
avec Shadia (Aïda), Salah Zulficar (Salah, un employé de banque, mari d’Aïda), Imad Hamdy (Raef), Adel Imam (un collègue de Salah), Hassan Hussein (un collègue de Salah), Amal Zayed (la mère d’Aïda), Hassan Mostafa (le directeur de la banque), Hala Fakher (Inayat, la sœur de Salah), Hussein Ismaïl (le serviteur de Raef), Nabila El Sayed (Anisa), Soheir Reda (la femme du directeur de banque), Ibrahim Safaan (un client d’Irma la Douce), Sayed Abdallah Hafez (Docteur Sami)
D’après une histoire de Lucien Lambert
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Musique : Mounir Mourad, Michel Youssef, Hussein El Sayed


Comédie. Le bonheur conjugal d’un jeune couple est mis à rude épreuve à cause d’une étrange maladie qu’a contractée la femme. A chaque fois qu’elle va au cinéma voir un film, elle rentre chez elle convaincue d’être l’incarnation de l’un des personnages dont elle vient de suivre les aventures. Les médecins ont averti le mari qu’il ne doit en aucun cas s’opposer au comportement délirant de sa compagne. Au contraire, il lui faut collaborer en jouant les rôles que dans ses divagations elle lui aura attribués. Tout se gâte quand elle se prend pour Irma la douce (célèbre personnage de prostituée) alors qu’elle et son mari reçoivent des invités…


Vendredi 3 décembre à 22h

Zanuba d'Hassan El Seifi (1956)
avec Samia Gamal (Zanuba), Chukry Sarhan (Hosny), Mahmoud Ismail (Attya), Mohsen Sarhan (le cousin d’Hosny et de Nana’a), Stephan Rosti (le second d’Attya), Abdel Wareth Asr (Abdel Rahman), Samira Ahmed (Nana’a), Mohamed Tawfik (un membre du gang d’Attya), Reyad El Kasabgy (un membre du gang d’Attya), Abdel Moneim Ismaïl (un membre du gang d’Attya), Ferdoos Mohamed (la mère d’Hosny et de Nana’a), Hassan Fayek (le chauffeur de taxi), Anwar Madkour (le chef de la police)
Scénario : Mahmoud Ismaïl
Musique : Attiah Sharara


Thriller. Attya est le chef d’un gang spécialisé dans le cambriolage et le trafic de drogue. Dans la bande, il y a Zanuba, une danseuse qui a été sa maîtresse mais depuis quelque temps, il la délaisse car il est tombé amoureux d’une jeune fille de son quartier, Nana’a. Celle-ci est fiancée à son cousin, un soldat qui part avec son régiment sur le front en Palestine. Ce départ arrange bien les affaires d’Attya. Pour conquérir la jeune fille, lui et ses complices mettent à exécution un plan diabolique. Ils approchent le frère de Nana’a et Zanuba est chargée de le séduire. Le garçon offre peu de résistance aux charmes de la danseuse. Il ne sait pas qu’il est tombé dans un piège…


Un autre film à voir :

-à 18h30 : Lutte sur le Nil (1959), l'un des plus grands films d'Atef Salem, avec Hind Rostom, Rushdy Abaza et Omar Sherif. 


Jeudi 2 décembre à 14h

Tue-moi, s’il te plait d'Hassan El Seifi (Iktilny minfadlak, 1965)
avec Fouad El-Mohandes (Adel), Shweikar (Amina, la fiancée d’Adel), Abdel Moneim Madbouly (le père d’Amina), Abu Bakr Ezzat (docteur Nabih, le frère d’Adel), Abdel Salam Mohamed (le jeune domestique), Hassan Hamed (le voleur), Salama Elias (le docteur Lewis), Hussein Ismaïl (le client ivre du cabaret), Abdel Ghany El Nagdi (le portier), Soheir Magdi (la danseuse), Mukhtar Al Sayed (le procureur), Galal El Masry (le chauve)
Scénario : Ahmed Al Mula
D’après une histoire d’Hassan Hamed
Musique : Fathy Qora et Izzat Al Jahili


Comédie. Adel croit qu’il est atteint d’une maladie incurable et qu’il ne lui reste que quelques semaines à vivre. Il devait se marier prochainement avec Amina. Pour ne pas faire subir à la jeune femme un inutile calvaire, il décide se suicider chez lui. Alors qu’il s’apprête à mettre à exécution son funeste projet, il est interrompu par un cambrioleur. Adel a une idée : il paie son visiteur pour que celui-ci le tue à une date et dans un lieu que lui seul aura choisi. Ainsi, notre héros passera de vie à trépas sans s’en apercevoir. Peu après, Adel apprend que le diagnostic était une plaisanterie et qu’en réalité, il est en excellente santé. Malheureusement, il ne sait pas comment joindre son cambrioleur pour lui signifier l’annulation du contrat.




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