vendredi 17 décembre 2021

A la télé : les films du jour (Rotana Classic du 17 au 31 décembre)

روتانا كلاسيك

Quels films peut-on voir sur la chaîne Rotana Classic ? Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.

Rotana Classic a remplacé Rotana Zaman en 2012. Cette chaine  fait partie du groupe Rotana basé en Arabie Saoudite et spécialisé dans le divertissement (télévision et musique) . Il appartient au prince Al-Walid ben Talal ben Abdelaziz Al Saoud. Comme son nom l’indique, Rotana Classic diffuse essentiellement les grands classiques du cinéma égyptien. Accessible en France.


Vendredi 31 décembre à 18h30

Une Rumeur d'Amour de Fateen Abdel Wahab (Ishayat hub, 1960)
avec Omar Sharif (Hussein), Soad Hosny (Samia), Youssef Wahby (Abdel Kader), Abdel Moneim Ibrahim (Mahrous, un neveu d’Abdel Kader), Ehsan Sherif (la femme d’Abdel Kader), Wedad Hamdy (la femme de chambre), Hussein Ismaïl (le cuisinier), Gamal Ramsis (le cousin « rocker »), Zeinat Olwy (la danseuse), Hind Rostom, Ragaa Al Gedawy (Zizi), Oumnia (Lola)
Scénario et dialogues : Mohamed Abou Youssef, Ali El Zorkany
D’après la pièce de John Emerson et Anita Loos, The Whole Town Talking. Aux Etats-Unis, cette pièce avait fait l’objet d’une première adaptation cinématographique en 1926.
Musique : Ahmed Fouad Hassan


Abdel Kader, un riche entrepreneur de Port-Saïd, tente de marier son neveu Hussein, timide et sérieux, à sa fille, Samia, très moderne et dotée d'une forte personnalité. Celle-ci n'est pas du tout intéressée par Hussein. Elle est en revanche très attirée par son autre cousin qui sait chanter et danser. L'oncle va aider Hussein a conquérir le coeur de sa fille. Il est convaincu que Samia tombera amoureuse de son cousin maladroit si on parvient à la rendre jalouse. Il répand la rumeur que Hussein a une liaison avec l'actrice Hind Rostom...

 
Jeudi 30 décembre à 18h30

Jours et Nuits d'Henry Barakat (Ayyâm wa layâlî, 1955)
avec Abdel Halim Hafez (Yahia), Iman (Samia), Ahmed Ramzy (Raafat, l’ami de Yahia), Serag Mounir (Asim le père de Fathi et le beau-père de Yahia), Mahmoud El Meleigy (Kamal, le père de Yahia), Kamal Hussein (Fathi), Samia Roshdi (la mère de Samia), Thuraya Fakhry (la mère de Fatima), Abbas Rahmy (le procureur), Zeinat Olwi (la danseuse), Aqeila Rateb (Fatima, la mère de Yahia), Soheir El Barouni (Nawal, la sœur de Samia), Abdel Moneim Basioni, Adly Kasseb
Scénario et dialogues : Youssef Gohar et Henry Barakat
Musique : Mohamed Abdel Wahab
Production : Films Barakat/Films Abdel Wahab


Drame. La mère de Yahia a divorcé de son père car il était alcoolique. Elle s’est remariée avec un homme qui a un fils du même âge que Yahia. Les années passent et les enfants grandissent. Ils sont très différents l’un de l’autre. A l’université, Yahia est un étudiant modèle apprécié de tous : c’est un garçon raisonnable et généreux, d’humeur toujours égale. Avec son ami Raafat, il fait partie de l’équipe d’aviron du campus et les deux camarades s’entraînent régulièrement sur le Nil. Fathi est tout le contraire : il dort en cours et passe ses nuits à boire dans les cabarets. Yahia fait la connaissance de Samia et en tombe très vite amoureux. Ils sortent souvent ensemble, accompagnés de Raafat et de Nawal, la sœur de Samia. Fathi ne tarde pas à s’immiscer dans le groupe avec une intention bien précise : séduire Samia.
Un soir, lors d’une fête, ivre comme de coutume, il essaie d’embrasser de force la jeune fille mais Yahia intervient. Fathi, furieux, décide de rentrer. Il prend le volant de sa voiture, tandis que Yahia s’installe à ses côtés. Sur la route, le chauffard renverse un piéton mais, lâche et inconscient, il poursuit sa course folle dans la nuit. Raafat qui avec son propre véhicule suivait la voiture de Fathi s’arrête pour porter secours à la victime. La police apparaît. L’ami de Yahia est accusé d’être le responsable de l’accident…


Mercredi 29 décembre à 22h

Flirt de jeunes filles d'Anwar Wagdi (Ghazal Al-Banat, 1949)
avec Layla Mourad (Layla), Anwar Wagdi (Wahid, le pilote d’avion), Youssef Wahby (lui-même), Naguib Al Rihani (Hamam), Stephan Rosti (le directeur du cabaret), Ferdoos Mohamed (la gouvernante), Soliman Naguib (le père de Layla), Mahmoud El Meleigy (Anwar, le séducteur malhonnête), Abdel Wareth Asr (le secrétaire du père de Layla), Abdel Meguid Choukry (un domestique), Saïd Abou Bakr (le serviteur de Youssef Wahbi), Abdel Hamid Zaki (le directeur de l’école), Zinat Sedki (l’ex-petite amie d’Anwar), Mohamed Abdel Wahab (lui-même), Farid Shawki (un client du cabaret), Nabila El Sayed (une écolière)
Première apparition à l’écran d’Hind Rostom comme figurante. Elle joue dans la première scène du film, le retour d’une promenade à cheval, et elle se tient à la droite de Layla Mourad.
Scénario : Anwar Wagdi
Dialogues : Naguib Al Rihani, Badie Khairy
Musique : Mohamed Abdel Wahab, Layla Mourad, Naguib Al Rihani
Production : Anwar Wagdi
figure dans la liste des quinze meilleurs films égyptiens de tous les temps


Hamam, un modeste instituteur, vient d’être renvoyé de son école pour absence d’autorité. Son moral est au plus bas quand il est engagé par un homme richissime pour donner des leçons particulières d’arabe à sa fille, Layla. Cette dernière traite Hamam comme un ami et parvient à lui redonner goût à la vie. L’homme tombe amoureux de la jeune fille mais il se garde bien de manifester ses sentiments.
Le film sortira après la mort de Naguib Al Rihani.

 
Mardi 28 décembre à 18h30

L’histoire d’une vie de Helmy Halim (hikayet el omr kulluh, 1965)
avec Farid Al Atrache (Farid), Leila Fawzi (Layla), Faten Hamama (Nadia), Ahmed Ramzy (Mamdouh), Maha Sabry (Chouchou), Mohamed Idriss (le serviteur de Farid), Abdel Moneim Ibrahim (Moneim), Abdel Khalek Saleh (le médecin), Farhat Omar (Sami)
Scénario : Helmy Halim
Dialogues : Mohamed Abou Youssef
Musique : Farid Al Atrache et Johannes Brahms (3ème mouvement de la symphonie n°3)
Production : Ramsès Naguib


Farid est un musicien qui mène une vie intense et insouciante, entouré d’amis. Parmi eux, il y a Layla, une actrice. Elle l’aime en secret mais elle sait qu’il n’est pas disposé à renoncer à sa liberté pour le mariage. Un jour, une jeune femme se présente chez lui. Elle s’appelle Nadia et elle est la fille de son ancien professeur de musique qui vient de mourir. Farid invite l’orpheline à s’installer chez lui. Peu après, le musicien est victime d’un infarctus. Il s’en sort par miracle et c’est Nadia qui s’occupe de lui lors de sa convalescence. Progressivement, Farid tombe amoureux de sa belle infirmière. Il ne sait pas qu’elle est éprise de son jeune frère, Mamdouh, qui est rentré depuis peu de l’étranger…


Lundi 27 décembre à 18h30

Le Faux Millionnaire d’Hassan El Seifi (Al milioneer al mozayaf, 1968)

avec Fouad El Mohandes (l’ingénieur Hamdi/Sayed, le mexicain), Shwikar (Zahra, la femme d’Hamdi), Abdel Monem Madbouly (Hosny, l’avocat), Lebleba (Nifin, la fille du ferrailleur), Abbas Fares (le ferrailleur), Bader Eddin Jamgome (Afifi, le secrétaire), Nagwa Fouad (Samiha), Samir Sabri (Samir), Hassan Mostafa (le robot Mac Mac), Mohamed Shawky (l’huissier), Fifi Youssef (la belle-mère d’Hamdi), Abdel Ghani El Nagdi (l’assistant de l’avocat), Sayed Ibrahim (le policier), Anwar Madkor (le constructeur automobile)
Scénario : Abdel Monem Madbouly, Samir Khafagi, Nabil Gholam
Musique : Helmi Bakr
Paroles des chansons : Fathy Koura
Production : Hassan El Seifi, Société de production cinématographique du Caire


Comédie musicale. Hamdi est professeur à l’Institut National de Recherche mais c’est avant tout un inventeur et sa spécialité ce sont les moteurs automobiles. Il s’apprête à rendre public sa dernière invention : le moteur Nafissa 2900. Pour ses travaux, il s’est endetté auprès d’un ferrailleur qui souhaiterait devenir son partenaire. Hamdi a toujours refusé cette association car il tient à garder son indépendance. Malheureusement, sa situation financière est de plus en plus critique et pour ne rien arranger, son épouse continue à dépenser sans compter. Enfin la présentation officielle de son nouveau moteur a lieu en présence de grands constructeurs internationaux mais la démonstration vire à la catastrophe : le prototype se casse en deux dès le démarrage. Peu après cet échec cuisant, un miracle a lieu : le frère d’Hamdi, exilé au Mexique, vient de mourir et lui lègue toute sa fortune…


Dimanche 26 décembre à 14h

Ismaël Yassin dans la Marine de Fateen Abdel Wahab (Ismaïl Yassin fil ustul, 1957)

avec Ismaël Yassin (Ragab), Zahra Al Oula (Nadia), Ahmed Ramzy (Mounir), Mahmoud El Meleigy (Abbas Al Zafer), Zinat Sedki (la mère de Nadia), Abdel Wareth Asr (le père de Nadia), Zeinat Olwi (la danseuse), Abdel Moneim Ibrahim (Abdul Bar), Reyad El Kasabgy (le sergent instructeur à bord du navire), Malak El Gamal (l’entremetteuse), Layla Karim (la petite amie de Mounir), Layla Hamdy (épouse d’Abbas Al Zafer), Mary Bay Bay (épouse d’Abbas Al Zafer)
Scénario : Hassan Tawfik et El Sayed Bedir
Musique : Mounir Mourad
Production : Films Memphis/Ramsès Naguib
appréciation : 3/5


Comédie navale. Ragab est un gentil garçon dont le seul défaut est la peur de la mer. Il aime sa cousine Nadia qui est infirmière à l’Hôpital de la marine. Hanfi, le père de Nadia, accepterait que sa fille épouse son neveu, en revanche la mère souhaite que sa fille épouse Maître Abbas Al Zafer, un homme d’âge mûr riche et puissant. Nadia exhorte son amoureux à surmonter sa peur de la mer et l’incite à s’engager dans la marine pour impressionner sa mère. Ragab se rend au centre de recrutement de la Marine. Là, il rencontre deux autres engagés, Abdul Bar et Mounir, avec qui il sympathise tout de suite. Après la visite médicale, les trois jeunes gens commencent leur formation.


Vendredi 24 décembre à 22h

Adieu mon amour de Houssam Al-Din Mustafa (wedan ya hob, 1960)
avec Mariam Fakhr Eddine (Amani), Nagwa Fouad (Ragah), Moharam Fouad (Sharif), Khalil Badr El Din (Ramzy), Amal Farid (Layla), Wedad Hamdy (l’admiratrice de Sharif), Hassan El Baroudi (Mustafa), Abdel Ghany Kamar (Abdel Sattar Effendi), Samir Shedid (Magid), Saleh Al-Eskandarani (l’épicier)
Scénario : Fathi Abou Fadal
Musique : Mounir Mourad, Baligh Hamdy, Mohamed Al Mogy, Mamoun Al Shinnawi, Attiah Sharara


Drame chanté. Sharif est un jeune musicien qui vient d’abandonner ses études. Un jour, il trouve une chaine d’or devant l’Opéra. Le bijou appartient à une jeune femme nommée Amani. Il l’apprend en découvrant l’annonce qu’elle a fait paraître dans le journal. Sharif se rend à l’adresse indiquée : c’est un immense domaine agricole. Il est reçu par Amani elle-même. Il découvre une blonde très élégante à la voix douce et au regard tendre. Elle est folle de joie de récupérer son collier mais Sharif refuse la récompense promise. Amani, impressionnée par son honnêteté, lui fait alors une proposition : prendre la direction de son exploitation agricole. Le jeune homme accepte mais son arrivée ne va pas faire que des heureux…


Jeudi 23 décembre à 18h30

Apprenez-moi l’amour d’Atef Salem (Alamuni el hub, 1957)
avec Iman (Nawal), Saad Abdel-Wahab (Sami), Ahmed Ramzy (Mamdouh), Cariman, Abdel Salam El Nabolsi (Ghourab), Serag Mounir, Mimi Chakib, Nelly Mazlom (Mimi, la directrice de l’école de danse), Thuraya Fakhry (la directrice de l’école), Cariman (camarade de classe de Nawal), Serag Mounir (le père de Nawal), Mimi Chakib (la mère de Nawal)
Histoire : Amin Youssef Ghorab (qui s’est inspiré de Cyrano de Bergerac du dramaturge français Edmond Rostand)
Scénario et dialogues : Youssef Issa
Musique : Mohamed Abdel Wahab et Saad Abdel Wahab


Comédie musicale. Sami s’installe au Caire pour devenir professeur de Physique et de Musique dans une institution pour jeunes filles. Il est hébergé par son ami Ghourab. Très vite, il est attiré par Nawal, l’une de ses étudiantes mais il n’ose se déclarer. Malheureusement, Mamdouh, un autre de ses amis, est aussi très intéressé par cette jeune personne depuis qu’il sait qu’elle est la fille d’un industriel fortuné. Pour la séduire, Mamdouh demande à Sami de lui écrire des lettres d’amour. Celui-ci accepte d’autant plus volontiers qu’il ne connaît pas l’identité de la destinataire…


Mercredi 22 décembre à 22h

La Fille du Voisin de Mahmoud Zulficar (Bint al-guiran, 1954)
avec George Yordanis (le père de Rita), Shadya (Layla), Zahrat Al Oula (Souad), Fouad El-Mohandes (Jamel), Omar El Gizawy (Antar Abdel Bassat), Abdelsalam El Nabolsi (Roushdy), Kittie (Rita), Thuraya Fakhry (la mère de Layla), Wedad Hamdy, Shafik Nour El Din (le père d’Esther), Gamalat Zayed (la mère d’Antar), Sumaya Tawfiq (Esther), Esther Shattah, Hussain Ismael,Khayria Ahmed, Abdelmonem Basiony, Abdelhamid Badawy (le père de Yousri) , Ibrahim Hechmat, Abdel Mona'em Saoudi, Khristo Kladakis (danseur), Wahba Hasab Allah, Elham Zaki, Aida Kamel (Zinat), Omar El-Hariri (Yousri)
Scénario : Mahmoud Zulficar, Abdel Aziz Salam, Rashad Hejazy
Musique : Ahmed Sedky


Comédie musicale. Jamel est resté un Dom Juan invétéré bien qu’il soit déjà marié avec Souad et qu’il soit père de famille. Il a hérité d’une entreprise et d’une grosse fortune, ce qui lui vaut un certain succès auprès des femmes. Il s’est d’ailleurs constitué un secrétariat exclusivement féminin dans lequel il puise pour ses amours extraconjugales. A la direction de son entreprise, Jamel manque singulièrement de rigueur. En fait, celui qui dirige la société, c’est l’ingénieur Yousri qui à ses moments perdus est aussi auteur de chansons. La passion de Jamel va lui attirer bien des déconvenues : Esther, une ancienne maîtresse le fait chanter en exigeant le mariage et un ancien camarade de classe avec la complicité d’une danseuse a conçu un plan machiavélique pour s’emparer de sa fortune. Malgré cela, Jamel reste incorrigible et il entreprend de séduire une jeune voisine du nom de Layla.


Mardi 21 décembre à 22h

Le Voyage des Jours d’Henry Barakat (Rehlet El Ayam, 1976)
avec Soheir Ramzy (Yasmine), Samir Sabri (Magdy), Mona Gabr (Mona), Hassan Mostafa (Abdo), Wahid Seif (le directeur de troupe), Imad Hamdi (le père de Magdy), Younes Shalaby (Sayed), Ahmed El Gazeiry (Basioni, l’oncle de Yasmine), Nabila El Sayed (Afiza, la femme de Basioni), Maryam Fakhr Eddine (Sonia, la mère de Yasmine), Kadreya Kadry (la tenancière de la maison close), Taghrid El Bishbishy (la femme d’Abdo), Tamer El Masry (le fils de Magdy et de Yasmine), Saleh Al Eskandarani (le portier), Aleia Abdel Moneim (la mère de Mona), Hala El Safi (la danseuse lors du mariage)
Scénario : Farouk Sabry
Musique : Ammar El Sheray et Baligh Hamdy


Comédie sentimentale. Magdy est le fils d’un très riche entrepreneur d’Alexandrie. Il revient d’Allemagne où il a passé plusieurs années pour ses études. Il doit épouser sa cousine Mona pour qui il a beaucoup de sympathie mais dont in n’est pas vraiment amoureux. Un jour, en sortant d’un magasin, il bouscule une jeune femme très séduisante et au fort tempérament. Après un échange de paroles peu aimables, le ton de la conversation se fait très vite plus enjoué, voire complice. On comprend que ce premier entretien est le prélude à une véritable histoire d’amour. La jeune femme s’appelle Yasmine et elle est comédienne dans une troupe de théâtre. Elle a prétendu être issue d’une famille de Pachas. En réalité, après la disparition de sa mère, elle a été élevée par son oncle et sa tante, un couple très modeste qu’elle a perdu de vue depuis des années. De son côté, Magdy n’a pas avoué à sa bien aimée qu’il était le fils d’un homme puissant. Il a prétendu qu’il travaillait comme chauffeur et que son père était un gangster. Ces mensonges ne sont pas un frein à leur amour, bien au contraire, et ils décident de se marier. Magdy veut faire sa demande en bonne et due forme à l’oncle de Yasmine. Cette dernière est obligée de reprendre contact avec son parent. Lui et sa femme travaillent comme domestiques dans une grande villa dont le propriétaire est la plupart du temps à l’étranger. Yasmine demande à son oncle de recevoir Magdy dans la villa et de prétendre qu’il en est le propriétaire. Le vieil homme refuse tout net de cautionner une telle imposture…


Dimanche 19 décembre à 18h30

Les Filles d’Eve de Niazi Mustafa (Banat Hawa, 1954)

avec Mohamed Fawzi (Wahid), Madiha Yousri (Esmat), Shadia (Hekmat, la sœur d’Esmat), Ismail Yassin (Ananas, l’amoureux d’Hekmat), Zinat Sedki (le garde du corps d’Esmat), Abdel Moneim Ismail (l’infirmier), Edmond Tuema (le directeur de la galerie de peinture), Hind Rostom (l’une des secrétaires), Hassan Hamed (le professeur de judo), Mohamed Reda (le modèle en tenue de pêcheur), Thuriya Salem (une danseuse), Hamid Badawy (l’oncle d’Esmat), Fawzya Ibrahim (employée du magasin), Mounria Abdel Mohsen (la directrice du camp artistique)
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary, Niazi Mostafa
Musique : Mohamed Fawzi, Abd Al Aziz Salam, Fathy Qoura
Paroles des chansons : Saleh Gawdat, Abou Al Seoud Al Ebiary
Producteur : Mohamed Fawzi


Comédie musicale. Esmat est la propriétaire des magasins Jeunesse et Beauté. C’est une féministe convaincue : dans sa société, elle n’emploie que des femmes et elle a créé une association qui lutte pour l’égalité entre les deux sexes. Elle ne veut surtout pas entendre parler de mariage au grand désespoir de sa sœur cadette : celle-ci ne pourra épouser l’homme qu’elle aime qu’une fois Esmat mariée. Un jour, alors que la femme d'affaires se rend en voiture à une réunion de son association, elle renverse un cycliste. Plus de peur que de mal : l’homme se relève sans grande difficulté. Il s’appelle Wahid et c’est un artiste peintre. Il se rendait à une exposition pour y présenter une œuvre qui a été abîmée dans sa chute. Esmat veut le dédommager mais Wahid refuse : il est ébloui par la beauté de la jeune femme et souhaite faire immédiatement son portrait. Esmat accepte à contre-coeur. Ils s’installent au bord du Nil et en quelques minutes, Wahid réalise un portrait au crayon de sa belle inconnue. Cette dernière, exaspérée par cette situation finit par quitter Wahid en lui laissant un chèque. Grâce à ce chèque, le peintre parvient à retrouver la femme d’affaires. Il se présente au siège de sa société mais elle refuse de le recevoir…


Samedi 18 décembre à 18h30

Coiffeur pour Dames de Fateen Abdel Wahab (Hallak El Sayedat, 1960)
avec Ismail Yassin (Termos), Abdel Salam El Nabolsi (Zizou), Karima (Ahlam), Zinat Sedki (Ashgan, la femme très riche), Stephan Rosti (Rachid, le mari d’Ashgan), Layla Karim (Hoda, l’amie d’Ashgan), Imthethal Zaki (danseuse), Layla Yousry (danseuse), Abdel Ghani El Nagdi (Oukal), Khayria Ahmed (Amina), Mahmoud Lotfi (le père de Zizou), Gamal Zayed (la fiancé d’Oukal et la servante d’Ashgan)
Scénario : Abdel Salam El Nabolsi et Abou Al Seoud Al Ebiary
Production : les films Abdel Salam El Nabolsi


Comédie. Zizou, Termos et Oukal viennent de terminer leur service militaire. Ils reprennent la vie civile. Zizou travaille dans le salon de coiffure de son père et Oukal a repris son métier de vendeur ambulant. Termos reste sans emploi. Pour lui venir en aide, Zizou a l’idée de créer une nouvelle division dans son salon et c’est son ami qui en aura la responsabilité : il s’occupera des animaux. Un jour, une femme très riche contacte Zizou et Termos sur les conseils de sa servante qui est aussi la fiancée d’Oukal. Elle souhaite faire coiffer son petit chien de compagnie. Quand les deux amis pénètrent dans le palais de la dame, ils sont impressionnés par le luxe du lieu. Mais ils comprennent très vite qu’ils sont tombés en pleine crise conjugale. Le mari souhaite épouser une très une jeune femme et la dame enrage de devoir s’effacer devant celle qu’elle considère comme une petite intrigante. Zizou lui propose de changer sa coiffure afin que son mari la trouve à nouveau désirable et oublie les autres femmes. Mais c’est un échec. La dame alors a une idée : elle invite à une soirée Zizou et le fait passer pour un richissime propriétaire de puits de pétrole. Et cette fois-ci, ça marche : la maîtresse de son mari se jette dans les bras du faux millionnaire…


Vendredi 17 décembre à 18h30

La Maison n°13 de Kamal El Sheikh (Al-Manzel Raqam 13, 1952)
Faten Hamama (Nadia, la fiancée de Sharif Kamal), Imad Hamdy (Sharif Kamal), Lola Sedky (Sonia Chahine, la maîtresse du docteur Assim Ibrahim), Mahmoud El Meleigy (le docteur Assim Ibrahim), Tawfik Ismail (Saber Amin), Serag Mounir (l’enquêteur), Ferdoos Mohamed (la mère de Sharif Kamal), Wedad Hamdy (la femme de chambre de Nadia), Zaki Ibrahim (le père de Nadia), Fawzia Mostafa (l’infirmière), Alia Ali (la danseuse)
Une histoire de Kamel Attya et de Kamal El Sheikh
Scénario et dialogues : Ali El Zorkani
Production : les Studios Misr


Thriller. Un homme arrive en voiture près d’une villa isolée. Il se gare devant le portail et sort de son véhicule. Il gravit les marches qui mène jusqu’à la porte d’entrée. Il sort une clé de sa poche et l’introduit dans la serrure. La porte s’ouvre, il entre. L’individu se retrouve face à un autre homme qui lit son journal. Il l’abat de plusieurs coups de revolver. On retrouve dans son lit le meurtrier qui vient de se réveiller. Il s’appelle Sharif Kamal et il vit avec sa mère dans un grand appartement. On comprend que la scène du meurtre était un rêve. Mais Sharif reste troublé par ce rêve étrange dont les moindres détails lui sont restés en mémoire. Son malaise grandit encore quand il constate qu’il a une blessure à la main et que dans sa poche, il y a une clé qui ne lui appartient pas. Il se précipite à la clinique du docteur Assim Ibrahim, un psychiatre qui le soigne pour troubles nerveux. Il ne sait pas que c’est ce dernier qui par hypnose lui a ordonné de commettre ce crime car en effet, il a bien tué cet inconnu, ce n’était pas un rêve…



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