mardi 1 juin 2021

A la télé : les films du jour (Rotana Classic du 1er au 15 juin)


روتانا كلاسيك


Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.

Rotana Classic modifie l'organisation de sa programmation. Ces derniers jours, la chaîne a donc peu communiqué sur les films qu'elle diffuse, d'où le caractère lacunaire de cette page. Je vous prie de m'excuser pour ce contretemps indépendant de ma volonté.


Mardi 15 juin à 15h

Ismaïl Yassin et le fantôme d’Hassan El Seifi (Afrita Ismaïl Yassin, 1954)
avec Ismail Yassin (Ismaïl), Kitty (Kitty, le fantôme), Farid Shawki (Hamido), Mohamed Kamal El Masry (le père de Zilabia), Zinat Sedki (Zilabia), Mary Moneib (la mère de Zilabia), Serag Mounir (Adel Kamal), Ferdoos Mohamed (la mère de Mohamed), Khristo Kladakis (le partenaire de Kittie), Liz et Lynn (danseuses)
Scénario : Hassan El Seifi et Abou Al seoud Al Ebiary , d’après la pièce du dramaturge britannique Noël Coward, L'esprit s'amuse (Blithe Spirit, 1941)
Musique : Munir Murad, Izzat Al Jahili, Mohamed Salman
Production : Films Masr Al Jadidat


Kitty travaille comme danseuse dans un nightclub dirigé par Adel Kamal. Celui-ci dépense tout son argent au jeu et cela fait des mois qu’il est incapable de payer ses employés et de régler son loyer. Il est au bord du gouffre. Hamido, son collaborateur, lui souffle une idée : pourquoi ne pas supprimer Kitty et ainsi récupérer son assurance vie ? Adel est prêt à tout pour échapper à la faillite. Il accepte la proposition de son conseiller diabolique. Après plusieurs tentatives infructueuses, Hamido parvient enfin à tuer Kitty mais le fantôme de celle-ci entre en communication avec Ismaïl et lui demande de l’aider à se venger. Ismaïl est un jeune homme un peu naïf que la danseuse avait rencontré dans des circonstances dramatiques : en raison d’un fâcheux concours de circonstances, il avait été la victime de la première tentative de meurtre d’Hamido et avait failli perdre la vie au volant de sa voiture. C’est ainsi qu’ils étaient devenus amis…


Lundi 14 juin à 23h

Sous le Ciel de la Ville d’Hussein Helmy El Mohandes (Tahta Samaa Almadina, 1961)
avec Iman (Soad), Samia Roshdi (la mère de Soad), Kamal El Shennawy (Ahmed Kamal), Hussein Riad (Amin Azmy), Zouzou Chakib (Fayqa), Sherin (Bassima), Fatheia Chahine (Sharifa), Nahed Sharif (Layla), Tawfiq El Deken (Wahid), Amira Amir (Mona Hassan), Abdel Hamid Badawy (le portier), Abdel Moneim Basiony (Hamed), Nagwa Fouad (la danseuse), Mohamed Abdel Moteleb (le chanteur), Dalal (la chanteuse)
Scénario : Hussein Helmy El Mohandes
Musique : Abdel Azim Abdelhaqq


Drame social. Histoires croisées de trois femmes. Soad a épousé un jeune avocat réputé pour son honnêteté, une qualité qu’elle considère comme un frein à son ambition. Elle finit par le quitter. Bassima a été chassée de chez elle par son beau-père. Elle est recueillie par un couple de proxénètes qui va la forcer à se prostituer. Et enfin, Mona qui a été abandonnée par son amant, un homme d’affaires corrompu. Elle se retrouve dans la maison de passe que dirige Bassima pour le compte de ses deux « employeurs ».


Vendredi 11 juin à 23h

Elle et les Démons (Heya wal Shayatin, 1969)
avec Ahmed Ramzy (Prince), Chams Al Baroudi (Warda), Adel Adham (Zizou), Nawal Abou El Foutouh (Hamida), Youssef Fakhr Eddin (Kamal), Alya Fawzy (la mère de Warda), Sally Wood (la touriste)
Scénario : Faysal Nada, Sabri Ezzat, Houssam Al Din Mustafa
Production : Abbas Helmy
appréciation : 2/5


Kamal est le petit ami de Warda qui travaille comme danseuse dans un cabaret. Il rêve de gagner beaucoup d’argent pour l’épouser et lui faire quitter son métier. Son meilleur ami est Prince. Celui-ci travaille dans la région des marais comme pêcheur. Pour accroître ses revenus, il promène les touristes à bord de sa petite barque. Comme Kamal, il est amoureux d’une jeune fille. Elle s’appelle Hamida et tient une petite épicerie tout près de sa cabane de pêcheur. Lui aussi rêve d’épouser sa bien-aimée mais il n’a pas le sou.
Zizou est une connaissance de Kamal. C’est un voleur spécialisé dans la contrebande. Il propose une affaire à l’amoureux de Warda : Petro, un chef de gang, l’a chargé de transmettre la somme de 250 000 dollars à Georges, un complice qui se trouve sur un bateau à 8 kilomètres des eaux territoriales. Pour ne pas attirer l’attention de la police, il faut parcourir la distance à la nage avec l’argent caché dans une ceinture. Malgré la difficulté de la mission, Kamal l’accepte aussitôt.


Jeudi 10 juin à 19h30

L’Amour de mon Cœur (ou l’Eternel Amour) d'Anwar Wagdi (Habib El Rouh, 1951)
avec Layla Mourad (Layla), Youssef Wahby (Youssef Fahmy), Anwar Wagdi (Wahid), Wedad Hamdy (Fatima), Ibrahim Omara (Cheikh Saber), Mimi Chakib (Sawsan Hanem), Samira Ahmed (Zouzou), Salah Mansour (un invité de la fête), Abdel Monem Basioni (un invité de la fête), Ferdoos Mohamed (la servante), Abdul Nabi Mohamed (le cuisinier), Abdelbadie El Arabi (le journaliste)
Scénario et dialogues : Abou Al Seoud Al Ibiary, Anwar Wagdi
Musique : Ahmed Sedky, Riad El Sonbati, Abdel Aziz Mahmoud
Production : Anwar Wagdi


Comédie sentimentale. Layla est une jolie femme, très élègante. Elle mène une existence heureuse et sans souci avec son mari, Wahid, qui est propriétaire d’un grand garage automobile en ville. Elle a aussi un talent qui fait l’admiration de tout son entourage : elle chante merveilleusement bien. Un jour, l’une de ses amies organise une réception chez elle. Evidemment, elle a demandé à Layla de chanter. Ce que cette dernière ne sait pas, c’est que parmi les invités, se trouve Youssef Fahmy, un musicien célèbre et quand celui-ci entend sa voix, il est tout de suite conquis.
Il est certain que la jeune femme peut devenir une grande chanteuse et il lui propose une collaboration artistique afin de réaliser ce projet. Wahid, le mari, ne goûte guère cette proposition mais Layla l’accepte…


Mercredi 9 juin à 23h

Adieu mon amour de Houssam Al-Din Mustafa (wedan ya hob, 1960)
avec Mariam Fakhr Eddine (Amani), Nagwa Fouad (Ragah), Moharam Fouad (Sharif), Khalil Badr El Din (Ramzy), Amal Farid (Layla), Wedad Hamdy (l’admiratrice de Sharif), Hassan El Baroudi (Mustafa), Abdel Ghany Kamar (Abdel Sattar Effendi), Samir Shedid (Magid), Saleh Al-Eskandarani (l’épicier)
Scénario : Fathi Abou Fadal
Musique : Mounir Mourad, Baligh Hamdy, Mohamed Al Mogy, Mamoun Al Shinnawi, Attiah Sharara


Drame chanté. Sharif est un jeune musicien qui vient d’abandonner ses études. Un jour, il trouve une chaine d’or devant l’Opéra. Le bijou appartient à une jeune femme nommée Amani. Il l’apprend en découvrant l’annonce qu’elle a fait paraître dans le journal. Sharif se rend à l’adresse indiquée : c’est un immense domaine agricole. Il est reçu par Amani elle-même. Il découvre une blonde très élégante à la voix douce et au regard tendre. Elle est folle de joie de récupérer son collier mais Sharif refuse la récompense promise. Amani, impressionnée par son honnêteté, lui fait alors une proposition : prendre la direction de son exploitation agricole. Le jeune homme accepte mais son arrivée ne va pas faire que des heureux…


Mardi 8 juin à 13h

Ma belle-mère est une bombe atomique d’Helmy Rafla (hamati kombola zorria, 1951)
avec Taheya Carioca (Batta), Ismail Yassin (Zaher), Abd El Fatah El Kosary (Maître Hassouna), Aziza Helmy (Soheir Hanim, la voisine), Wedad Hamdy (la servante), Mohamed El Genedy (Madbouly le chanteur), Shadia (Halawa, la belle-fille de Maître Hassouna), Gamal Fares (Kris, l’amoureux de Halawa), Abdel Moneim Ismail (l’agent de police), Nabawya Mostafa (danseuse), Mary Moneib (la mère de Batta)
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Mahmoud Al Sharif, Fathy Qoura et Ahmed Sedky


Comédie musicale. Zaher est marié à la danseuse Batta. Il serait le plus heureux des hommes si sa belle-mère ne s’était pas installée dans leur foyer. Celle-ci se comporte en tyran domestique et la vie à la maison devient un enfer. La vieille femme a aussi un projet : elle veut que sa fille divorce de Zaher qu’elle considère comme un raté pour épouser Maître Hassouna, un riche marchand de sa connaissance. Un jour, elle rencontre chez le coiffeur une ancienne voisine de Zaher. Cette dernière lui fait des confidences et lui apprend qu’elle a été mariée il y a très longtemps avec Zaher : l’homme qu’elle aimait avait déjà divorcé trois fois et elle devait impérativement se marier puis divorcer au moins une fois pour être autorisée à convoler avec l’élu de son cœur. Zaher avait accepté d’être ce premier époux de « convenance ». Evidemment, ils avaient divorcé le lendemain. Cette histoire enflamme l’imagination de la belle-mère : elle fait croire à son gendre qu’il a eu de cette première union, une fille et que celle-ci s’apprête à faire son apparition. Zaher est abasourdi…


Mardi 1er juin à 17h

Les Hommes ne vivent qu'une fois de Simon Saleh (El Ensan Yaaesh Mara Wahda, 1981)
avec Adel Imam (Hani), Yousra (Amel), Hatem Zoulfakar (le fiancé d’Amel), Ahmed Abaza (le directeur de l’école), Shawki Shamekh (le frère d’Hani), Ali Al Sherif (le gardien de l’école), Zein El Ashmawy (docteur Tariq), Badr Nofal (le directeur de la nouvelle école d’Hani), Samia Sami (la mère d’Amel)
Scénario : Wahid Hamed
Musique : Gamal Salamah


Hani Ali Soltan est professeur d’histoire. Sa vie lui semble vide et sans intérêt. Il passe son temps libre à jouer tout son argent aux cartes. Mais un jour, Hani est contraint de muter dans une localité qu’il ne connaît pas, loin de ses amis. Dans le train qui l’emmène vers sa nouvelle affectation, il fait la connaissance d’Amel. Cette jeune femme est médecin et elle quitte Le Caire pour refaire sa vie après la mort accidentelle de son fiancé.


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