vendredi 16 avril 2021

A la télé : les films du jour (Rotana Classic du 16 au 30 avril)

روتانا كلاسيك


Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.


Vendredi 30 avril à 19h30

Princesse Aziza de Tolba Radwan (El Safira Aziza, 1961)

avec Wedad Hamdy (la femme du boucher), Soad Hosny (Aziza), Abdel Moneim Ibrahim (le professeur de langue arabe), Chukry Sarhan (Ahmed), Adli Kasseb (Abbas), Kamal Anwar (Metwali), Abdel Monahem Saoudi (Khalil), Suzy Khairy (danseuse), Layla Yousri (danseuse), Mohamed Taha (chanteur), Eskandar Menassa (un habitant du quartier)
Une histoire d’Amin Youssef Ghorab
Scénario : Tolba Radwan
Musique : Ali Ismaïl
appréciation : 4/5


Comédie. Ahmed est professeur. Il emménage dans un appartement qui appartient à Abbas le boucher. Celui-ci vit avec sa femme enceinte et sa sœur, Aziza, dans l’appartement situé sur le même palier. Ahmed tombe très vite amoureux d’Aziza. Bien que son propriétaire soit un homme violent et un commerçant sans scrupules, le jeune professeur n’a de cesse de se faire bien voir de lui pour obtenir la main de sa sœur. Il finit par l’obtenir mais Aziza exige de lui qu’il réclame à son frère sa part d’héritage.


Un autre film à voir : 

-à 17h30 : Ashour, Coeur de Lion d'Hussein Fawzi (1961), une comédie dans laquelle l'immense Abdel Salam Al Nabulsi joue le rôle d'un jeune étudiant amoureux de la plus belle fille de son école alors qu'il a plus de 60 ans !


Jeudi 29 avril à 13h30

Train de Nuit d'Ezzel Dine Zulficar (Ketar el Lail, 1953)
avec Imad Hamdi (Adel), Samia Gamal (Samia), Stephan Rosti (Aboul Azz), Serag Mounir (Malaty), Soleiman Naguib (l’inspecteur de police), Aly Abd El Al (le directeur du cabaret), Abdel Moneim Ismail (membre du gang d’Aboul Azz), Reyad El Kasabgy (membre du gang d’Aboul Azz), Mohamed Reda (conducteur de train), Fakher Fakher (le second de l’inspecteur), Hussein Issa (membre du gang d’Aboul Azz), Salah Nazmi (membre du gang d’Aboul Azz), Zaki Ibrahim (le père de Samia), Tawfiq Ismaïl (directeur de la gare de Tanta)
Scénario : Stephan Rosti, Ezzel Dine Zulficar, Zaki Saleh
Musique : Ibrahim Saleh
Production : Abdel Hamid Zaki
appréciation : 4/5


Samia aime Adel mais celui-ci disparaît brusquement. Elle croit qu’il l’a abandonnée. Au même moment, son père est plongé dans des difficultés financières inextricables. Pour le sauver, Samia épouse Aboul Azz, un redoutable gangster qui l’oblige à danser dans son club. Mais Adel se manifeste à nouveau. Samia et lui se donnent rendez-vous dans un restaurant. On apprend que l’homme n’avait pas fui mais qu’il avait été blessé dans un accident de la route et qu’il est resté hospitalisé plus de deux mois. Leurs retrouvailles sont brèves car Samia doit retourner au club pour son numéro de danse. Malgré le danger, Adel se présente dans l’établissement. Il retrouve sa bien-aimée dans sa loge. Aboul Azz, caché (fort mal !) dans la penderie, se jette sur Adel et l’assomme. Il s’empare de l’argent que sa victime avait réuni pour venir en aide à Samia et à son père. Une fois le gangster parti, Adel recouvre ses esprits. Les deux amoureux peuvent se confier l’un à l’autre. Samia doit rejoindre ses danseuses sur scène. Dans la salle se trouve Malaty, un ami de son mari. Il est envoûté par la sensualité de Samia.


Un autre film à voir :

-à 19h30 : C’est arrivé une nuit d’Henry Barakat (1954), un drame avec Hoda Soltan et Mohsen Sarhan


Mercredi 28 avril à 23h

Sans un Adieu d'Ahmed Diaa Eddine (Min ghair wadaa, 1951)
avec Aqila Rateb (Samia, la seconde épouse de Magdi), Imad Hamdi (Magdi), Madiha Yousri (Fatima, la première femme de Magdi), Soheir Fakhry (Magda, enfant), Mohamed Fadel (Mounir Bey, le beau-père de Magdi), Awatef Ramadan (Aïcha, la femme de chambre), Ibrahim Hechmat (le premier mari de Samia), Abdel Aziz Al Ahmed (Abdel Aziz), Zinat Sedki (Ghandoura), Mahmoud El Sabaa (Tawfiq), Mohamed El Dib (Salim), Abbas El Daly (le juge), Tawfiq Ismaïl (le médecin)
Scénario : Mohamed Kamal Hassan Al Mouhamy


Drame. L’action se passe durant la seconde guerre mondiale dans la région d’Alexandrie. Magdi Abdel Hamid est un chef d’entreprise à qui tout réussit. Ses affaires sont florissantes, il a épousé la femme qu’il aime et ensemble ils ont eu une adorable petite fille. Malheureusement, la chance tourne soudain. A cause d’irrégularités commises dans le plus grand secret par son ami Tawfiq, Magdi est condamné à plusieurs années de prison pour retard de paiement. Lors de sa détention, il apprend que sa maison a été détruite par un raid allemand. Sa femme serait morte et sa fille a disparu. Quand Magdi sort de prison, il recherche partout sa fille, en vain. Il accepte un emploi dans un grand domaine agricole. La propriétaire est la sœur de Tawfiq. Elle est veuve et souffre de graves problèmes cardiaques. Grâce à l’arrivée de Magdi, elle retrouve goût à la vie et sa santé s’améliore. Ils finissent par tomber amoureux l’un de l’autre et ils se marient…


Un autre film à voir :

-à 17h30 : Les Filles d’Eve de Niazi Mustafa (1954), une comédie musicale avec Mohamed Fawzi et Shadia.


Mardi 27 avril à 19h30

Avec les Souvenirs de Saad Arafa (Mahal zekrayat,1961)
avec Ahmed Mazhar (Sharif), Nadia Lutfi (Amal), Mariam Fakhr Eddine (Ilham), Salah Mansour (Madbouli), Fattoh Nashaty (le médecin), Mokhtar El Sayed (l’assistant réalisateur), Saïd Khalil (le réalisateur), Ahmed Loxer (Hamdy)
Scénario : Saad Arafa
Musique : André Ryder
Production : les films Al Shams


Drame. Sharif est un acteur célèbre. Il file le parfait amour avec Ilham, une jeune actrice qui grâce à lui est devenue une vedette. Dans sa vie, il y a une autre jeune femme : Amal. Elle est orpheline et il l’a prise sous sa protection. Après ses études, elle est revenue vivre auprès de lui. Elle l’aime secrètement mais Sharif ne lui manifeste qu’une affection paternelle. Le bonheur de Sharif et d’Ilham serait complet si cette dernière n’était pas sans cesse importunée par Madbuli, un technicien du studio dans lequel ils tournent un nouveau film. L’homme est bossu, boiteux et sans doute simple d’esprit. Une nuit, il s’introduit dans la chambre d’Ilham et tente de la violer. Heureusement, Sharif, alerté par les cris, fait irruption dans la pièce et chasse l’agresseur.
 

Lundi 26 avril à 13h30

Fatma d'Ahmed Badrakhan (1947)
avec Oum Kalthoum (Fatma), Anwar Wagdi (Fathy, le plus jeune frère du pacha), Suleiman Naguib (le pacha), Hassan Fayek (Fatouh, le frère cadet du pacha), Zouzou Chakib (la petite amie de Fathy), Saneya Shawky (la danseuse), Abdel Fatah El Kosary (Maître Mustafa, le boulanger), Ferdoos Mohamed (la mère de Fatma), Nabil Khairy (le cousin de Fatma), Mohamed Al Dib (Munir), Mohamed Kamel, Hussein Asar (le cuisinier), Edmond Tuema (le réceptionniste de l’hôtel), Mohamed Kamel EL Masry (le professeur Fasih)
Scénario : Mustafa Amin, Badie Khairy
Musique et chansons : Abdul Hamid Abdel Rahman, Abdel Halim Noweira, Riad El Sonbati, Zakaria Ahmed, Mohammed Al-Qasabji, Ahmed Rami, Bayram Al-Tunsi
Dernière apparition d’Oum Kalthoum à l’écran.


Drame. Fatma est infirmière chez un pacha dont l’état nécessite un traitement lourd. Fathy, le frère cadet du maître de maison, est tombé amoureux de la jeune femme. Il multiplie les tentatives pour la séduire mais Fatma reste de marbre. Fou de désir, Fathy se résout à la demander en mariage. L’infirmière accepte. Après un voyage de noces qu’ils passent à Alexandrie, ils sont obligés de s’installer dans le modeste logement des parents de Fatma. En effet, le père de Fathy n’a pas accepté ce mariage et il est furieux contre son fils. Très vite, le jeune marié se lasse de cette existence austère dans un quartier populaire. Le luxe et les plaisirs de sa vie d'antan lui manquent. Il finit par abandonner Fatma pour retourner dans sa famille. Quelques mois plus tard, l’épouse délaissée donne naissance à un enfant. Fathy refuse de le reconnaître…


Un autre film à voir :

-à 23h : La Faute de Mon Bien-Aimé d'El Sayed Bedeir (1958) avec Shadia et Omar Sharif


Dimanche 25 avril à 17h30

Si j'étais riche d'Henry Barakat (Law kunt ghani, 1942)
avec Ehsane El Gazaerli (la femme de Mahrous), Abd El Fatah El Kosary (Younis, le cousin de Mahrous), Ibrahim Mostafa (le propriétaire de l’imprimerie), Beshara Wakim (Mahrous), Yehia Chahine (Kamal, l’amoureux de Wahiba), Samira Kamal (Wahiba, la fille de Mahrous), Mohamed Al Dib (Rachid, le fils de Mahrous), Thoraya Helmy (la chanteuse), Ibrahim Moheb (le serviteur)
Scénario et dialogues : Abou Al Saoud Al Ibiary
Musique et chansons : Izzat El Gahely et Ahmed Sabra
Production : les Films du Lotus (Assia Dagher)


Comédie. Mahrous est un modeste coiffeur qui vit dans un quartier populaire du Caire. Il a une femme et deux enfants. Son fils Rachid travaille comme ouvrier dans l’imprimerie du quartier, tout comme Younis son cousin. Sa fille Wahiba est en âge de se marier. Elle est tombée amoureuse d’un jeune homme qui se rend régulièrement dans le salon de Mahrous uniquement pour apercevoir sur son balcon l’élue de son cœur. Malheureusement, les parents de Wahiba refusent de les marier. Mahrous rêve de faire fortune et peste contre le destin qui l’oblige à vivre dans la pauvreté. Comme tous les habitants du quartier, il est révolté par l’égoïsme des riches. Si lui avait de l’argent, il n’hésiterait pas aider les nécessiteux. Un jour, ce rêve devient réalité. Un de ses cousins vient de mourir chez lui. L’homme vivait seul et Mahrous doit s’occuper de toutes les formalités. En entrant dans l'appartement, il découvre le corps sans vie de son parent et tout autour des liasses et des liasses de billets de banque. C’est ainsi que Mahrous devient un homme riche. Avec toute sa famille il s’installe dans une maison de maître à Zamalek…


Un autre film à voir :

-à 19h30 : Ismaïl Yassin dans l'aviation de Fateen Abdel Wahab (1959), une comédie dans laquelle le Fernandel égyptien a comme partenaire la pétulante Nagwa Fouad.


Samedi 24 avril à 23h

Mission à Tel-Aviv de Nader Galal (Muhimat fi tal 'abib, 1992)
avec Nadia El Gendy (Amal Al Kayal), Sayed Abdel Ghani (Bouta, l’officier du Mossad),Kanan Wasafi (un officier du Mossad), Kamal Al Zeiny (l’ambassadeur d’Egypte en France), Mohamed Mokhtar (l’officier égyptien), Kamal El Shennawy (Bakar, directeur du service de renseignements égyptien), Youssef Fawzi (Hazem, officier égyptien), Hassan Hussein (Gabi, agent du Mossad), Adel Ammar (combattant palestinien) Othman Mohamed Ali (chef du renseignement égyptien)
Scénario : Bashir El Dik


L’histoire commence à l'hiver 1973. Amal Al Kayal qui a quitté l’Egypte après la défaite de 1967 et la mort de son mari vit à Paris et travaille pour le Mossad. Elle décide de se repentir et offre ses services à l’Egypte. Sa position d’agent double lui permet de se rendre à Tel-Aviv. Sa mission : récupérer toutes les informations concernant les préparatifs commandités par les autorités israéliennes dans la perspective d’une nouvelle guerre contre l’Egypte.


Vendredi 23 avril à 23h

Adieu mon amour de Houssam Al-Din Mustafa (wedan ya hob, 1960)
avec Mariam Fakhr Eddine (Amani), Nagwa Fouad (Ragah), Moharam Fouad (Sharif), Khalil Badr El Din (Ramzy), Amal Farid (Layla), Wedad Hamdy (l’admiratrice de Sharif), Hassan El Baroudi (Mustafa), Abdel Ghany Kamar (Abdel Sattar Effendi), Samir Shedid (Magid), Saleh Al-Eskandarani (l’épicier)
Scénario : Fathi Abou Fadal
Musique : Mounir Mourad, Baligh Hamdy, Mohamed Al Mogy, Mamoun Al Shinnawi, Attiah Sharara


Drame chanté. Sharif est un jeune musicien qui vient d’abandonner ses études. Un jour, il trouve une chaine d’or devant l’Opéra. Le bijou appartient à une jeune femme nommée Amani. Il l’apprend en découvrant l’annonce qu’elle a fait paraître dans le journal. Sharif se rend à l’adresse indiquée : c’est un immense domaine agricole. Il est reçu par Amani elle-même. Il découvre une blonde très élégante à la voix douce et au regard tendre. Elle est folle de joie de récupérer son collier mais Sharif refuse la récompense promise. Amani, impressionnée par son honnêteté, lui fait alors une proposition : prendre la direction de son exploitation agricole. Le jeune homme accepte mais son arrivée ne va pas faire que des heureux…


Jeudi 22 avril à 23h

Antar le valeureux ou Antar le prince noir de Niazi Mostafa (Antar Ibn Shaddad,1961)
avec Farid Shawki, Kouka, Said Abou Bakr, Abdel Alim Khattab, Samar Ateia, Ferdoos Mohamed, Hassan Hamed, Wedad Hamdy, Fakher Fakher, Nour El Demerdash, Layla Fahmy, Abdel Khalek Saleh
Scénario et dialogues : Niazi Mostafa, Abdel Aziz Salam, Bayram El Tunsi
D’après une histoire de Mohamed Farid Abu Hadid
Musique : Aly Ismaïl
Production : Aflam Misr Al Jadida


Epopée. D’après une légende qui évoque la vie d’un héros valeureux à l’époque antéislamique. Antar est le fils que le prince Shaddad a eu avec son noire africaine Zubaïda. Il n’a pas été reconnu par son père et il mène une vie d’esclave auprès de sa mère. Il aime sa cousine Abla sans espoir de la conquérir en raison de sa misérable condition. A deux reprises, il manifeste aux yeux de tous sa force et son courage en repoussant seul des groupes de cavaliers venus pour s’emparer des femmes. Malgré la haine que lui voue l’épouse légitime de son père, ses exploits lui permettent d’être affranchi et de rejoindre le peuple des hommes libres. Peut-être va-t-il pouvoir épouser Abla qui a été conquise par son courage et sa droiture. C’est sans compter le père de la jeune fille qui veut s’opposer à cette union par tous les moyens…


Mercredi 21 avril à 19h30

Des Bouches et des Lapins d’Henry Barakat (Afwah We Araneb, 1977)
avec Faten Hamama (Naema), Mahmoud Yassin (Mahmoud Bey), Farid Shawki (Abdel Maged), Magda El-Khatib (Raguia), Ali El Sherif (Maître Al Batawi), Ragaa Hussein (Gamalat), Abou Bakr Ezzat (Youssef), Hussein Asar (Oncle Mustafa), Wedad Hamdy (Fayza, l’amie de Naema), Hassan Mostafa (Fathy Al Faki), Mohamed Al Saqqa (Khalil), Ahmed Abaza (le marchand de fruits), Salah Nazmi (Ahmed), Enas El Dighade (Noha), Aleya Abdel Moneim (la mère de Noha)
Scénario : Samir Abdel Azim
Musique : Gamal Salamah
Production : Compagnie des Films Unis


Naema est une femme qui vit dans un petit village, près de Mansoura. Elle réside dans la même maison que sa sœur Gamalat, son beau-frère Abdel Maged, et leurs neuf enfants. Abdel Maged est sans emploi et passe toutes ses journées à boire. C’est donc Naema qui entretient toute la famille grâce à son travail dans une usine de glaces. Un jour, le plus âgés de ses neveux vole deux poulets chez le marchand de volailles du village. Il s’est fait prendre par le commerçant et Naema intervient pour obtenir sa libération. Le marchand accepte de retirer sa plainte mais, en échange, il souhaite épouser la jeune femme. Bien que l’homme ait déjà trois femmes et vingt-deux enfants, la sœur et le beau-frère de Naema voient d’un très bon œil cette union car elle permettrait de résoudre les difficultés financières de la famille. Pour échapper à ce mariage dont elle ne veut pas, Naema quitte le village. Elle devient la gouvernante d’un riche et séduisant propriétaire terrien. La servante et le maître tombent amoureux l’un de l’autre…


Un autre film à voir :

-à 23h : L’espoir de ma vie de Seif El Din Shawkat (1955), un drame sentimental avec Magda.


Mardi 20 avril à 17h30

Le Mariage Moderne de Salah Karim (Alzawaj a'ala altariqat alhaditha, 1968)
avec Soad Hosny (Noha), Hassan Youssef (Ahmed, le cousin de Noha), El Deif Ahmed (Atris), Samir Ghanem, (Samir), George Sedhom (Makhimar), Mohamed Reda (le père de Noha), Fatima Mostafa (la mère de Noha), Abdel Moneim Ibrahim (Kamal), Abbas Fares (le professeur Shafi), Hassan Mostafa (le cheikh Hassan), Alya Abdel Moneim (Aziza, la sœur de Noha), Atef Makram (un enfant), Inas Abdallah (la petite fille), Eskandar Menassa (Hussein, le mari de la mère d'Ahmed)
Scénario : Salah Karim
Musique : Saïd Salama, Mohamed Al Mogi, Fathy Qoura, Ali Ismail
Production : les films Shéhérazade
Le réalisateur Salah Karim est le premier mari de Soad Hosny.


Comédie musicale. Noha et son cousin Ahmed sont étudiants dans la même école d’ingénieur. Cet été, ils ont décidé de passer leurs vacances dans un camp près de la mer avec un petit groupe de leurs condisciples. Un jour, Ahmed part à la pêche sur un petit canot à moteur. Il tombe en panne en pleine mer et doit rejoindre le rivage à la nage. Noha est terriblement inquiète. Quand enfin Ahmed reparaît, elle comprend combien il lui est cher. C’est ainsi qu’entre les deux cousins va se nouer une tendre idylle. Ils ont décidé de se marier après les vacances mais les parents de Noha ne l’entendent pas ainsi. Un autre prétendant a leur faveur…


Un autre film à voir :

-à 19h30 : Les Jolies Belles-Mères d’Helmy Rafla (1953), une comédie avec Kamal el-Shennawi, Cariman et Ismaïl Yassin


Lundi 19 avril à 19h30

L’Horreur de Mahmoud Farid (Al Roub, 1969)
avec Farid Shawqy (Hassan), Mahmoud El Meleigy (le colonel Khalil), Tawfiq El Deken (Tawfiq), Mohamed Reda (Bayoumi), Youssef Shabaan (le journalise Samir Ezzat), Soheir Zaky (Soheir, la danseuse), Nazim Sharawy (Ibrahim, membre du gang de Tawfiq), Wasila Hussein (première épouse de Bayoumi), Hafez Amin (Oncle Hafez, le propriétaire du magasin), Saïd Khalil (membre du gang de Tawfiq), Samiha Mohamed (la mère de la seconde épouse de Bayoumi), El-Toukhy Tawfiq (membre du gang de Tawfiq), Anwar Madkor (le directeur de l’enquête policière), Hussein Orabi (un inspecteur), Angel Aram (la seconde épouse de Bayoumi), Abu Al Futouh Amara (Salem), Sayed Abdallah Hafez (le directeur du centre de recherche atomique), Abdallah Mourad (membre du gang de Tawfiq)
Scénario : Mohamed Ismael Radwan, Kamal Abdel Salam, Farouk Sabry
Production : Silver Star Films, Mahmoud El Meleigy


Grâce à la complicité d’un employé du Centre de Recherche Atomique, Tawfiq, chef de gang et propriétaire d’un cabaret, parvient à mettre la main sur une boîte de radium qu’il veut revendre à une puissance étrangère. Pour échapper aux recherches, lui et ses hommes cachent leur précieuse cargaison dans un entrepôt commercial situé dans un village reculé. Par tout un enchaînement de circonstances, un villageois s’introduit dans l’entrepôt et découvre la boîte. Il la rapporte chez lui et la cache sous le lit de sa première femme. Sa seconde épouse a tout vu. Avec l’aide de sa mère, elle s’empare du paquet et le fait disparaitre dans l’intention de mettre en difficulté sa rivale auprès de son mari. La tâche des enquêteurs pour retrouver la trace du produit hautement radioactif va se révéler d’une très grande complexité…


Dimanche 18 avril à 13h30

Le Cinquième Prétendant d’Ahmed Galal (El-arris el-khamis, 1942)
avec Assia Dagher (Bahira Hanem, la riche veuve), Hussein Sedky (Ahmed Effendi/Jafar Bey), Abbas Fares (le premier prétendant), Beshara Wakim (le deuxième prétendant), Fouad Shafik (le troisième prétendant), Mohsen Sarhan (le quatrième prétendant), Samia Sami (Amina, une amie de Bahira Hanem), Lotfya Nazmy (la femme du deuxième prétendant), Thuraya Fakhry (la femme de chambre de Bahira Hanem), Zouzou Chams Eddin (chanteuse), Thuraya Elmy (Soso, chanteuse)
Scénario : Ahmed Galal
Production : Les Films du Lotus (Assia)


Après la mort de son mari dans un naufrage, Bahira hérite d’une fortune colossale. Elle est courtisée par quatre hommes qui rêvent de l’épouser. Ne supportant plus leurs tendres sollicitations qui ne lui laissent aucun répit, elle décide de partir en voyage. Elle annonce qu’elle reviendra dans un mois, le jour de son anniversaire. Lors de la fête qu’elle donnera à cette occasion, elle révélera le nom de celui qu’elle aura choisi comme deuxième mari.

 
Samedi 17 avril à 17h30

Adham El Sharkawy d’Houssam Al Din Mostafa (1964)
avec Abdullah Gheith (Adham), Loubna Abdel Aziz (Salma), Shwikar (Al Hanim, la fille du ministre de l’intérieur), Samiha Ayoub (la femme de Shalabi), Salah Mansour (Shalabi, le sheikh de la mosquée),Tawfik El Deken (Maghawari), Zein El Ashmawy (Abdul Ghaffar), Abdel-Wareth Asr (le professeur d’histoire), Mohamed Reda (le maire du village), Aziza Helmy (la mère d’Adham), Hussein Asar (Cheikh Abdul Halim, le père d’Adham), Abdul Aziz Khorshid (Al Haj Ismaël), Zeinat Elwy (danseuse), Abdel Halim Hafez (chanteur)
Scénario : Saad Eddin Wahba, Zakaria Hijjawi
Musique : Aly Ismail, Abdel Halim Hafez, Morsi Gamil Aziz, Mohammed Al Mogi
Production : Ramses Naguib


Biographie d’Adham El Sharkawy (1898-1921) : Adham El-Sharkawy a été dès sa jeunesse un opposant à l’occupation anglaise et sa participation aux manifestations pour l’indépendance lui ont valu d’être renvoyé de son école. Il est donc retourné dans son village et c’est là qu’il a constaté combien les paysans étaient exploités par les notables et les riches propriétaires de la région. Adham El Sharkawy décide d’inciter les paysans à se battre pour faire valoir leurs droits. Mais face à eux, il y a une adversaire redoutable : Al Hanim, la fille du ministre de l’Intérieur qui est prête à tout pour défendre ses privilèges. Elle a un plan : elle sait qu’Adham est amoureux de Salma et elle décide de proposer à la jeune femme un emploi de femme de chambre pour approcher le chef de la rébellion et peut-être le soumettre…


Un autre film à voir :

-à 19h30 : Le Secret du Bonnet Invisible de Niazi Mostafa (1959), une comédie fantastique avec Berlanti Abdel Hamid et Abdel Moneim Ibrahim


Vendredi 16 avril à 23h

Un Américain de Tanta d'Ahmed Kamal Morsi (Americani min Tanta, 1955)
avec Hussein Riad (Ibrahim Effendi), Soliman Naguib (Mahrous, le millionnaire), Chukry Sarhan (Ali, le fils d’Ibrahim Effendi), Cariman (Lola, la fille de Mahrous), Zouzou Madi (la femme de Mahrous), Ferdoos Mohamed (Amina, la femme d’Ibrahim Effendi), Wedad Hamdy (Aziza), Abdel Salam El Nabolsi (Irfan, le millionnaire ruiné), Saïd Abou Bakr (Saïd Effendi, le collègue d’Ibrahim), Adly Kasseb (l’épicier), Abdel Moneim Ibrahim (le serviteur d’Irfan), Houda Shams Eddin (la danseuse de cabaret)
Scénario : Mohamed Ali Nasif
Musique : Ibrahim Haggaïg et Toufik Al Laïli
Production : les studios Misr

Ibrahim Effendi est un petit employé qui vit avec sa femme et son fils dans une ville ouvrière. Un jour, il lit dans le journal qu’un millionnaire américain d’origine égyptienne du nom de Mahrous Al Tantawi souhaite visiter l’Egypte pour rencontrer les membres de sa famille. Ibrahim envoie à ce riche personnage un télégramme dans lequel il prétend qu’ils sont parents et qu’il l’invite à s’installer chez lui le temps de son séjour. L’Américain accepte l’invitation. Ibrahim loue un appartement confortable pour recevoir cet hôte de marque. Mahrous arrive enfin à Tanta. Il est accompagné de sa femme et de sa fille Lola. Comme prévu, la petite famille américaine est hébergée par leur prétendu cousin. Ali, le fils d’Ibrahim s’entend immédiatement avec Lola. L’un comme l’autre désapprouvent la comédie jouée par leurs pères respectifs : Ibrahim voulant se faire passer pour un parent d’un éminent homme d’affaires et Mahrous affirmant être à la tête d’une fortune alors qu’il n’a pas un sou…



Un autre film à voir :

-à 19h30 : Une Ville se déchaîne d’Helmy Rafla (1955), un mélodrame musical avec Sabah et Mohamed Fawzi




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