mercredi 1 janvier 2020

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 1er au 15 janvier)

روتانا كلاسيك

Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.


Mercredi 15 janvier à 18h30

Les Hommes ne vivent qu'une fois de Simon Saleh (El Ensan Yaaesh Mara Wahda, 1981)
avec Adel Imam (Hani), Yousra (Amel), Hatem Zoulfakar (le fiancé d’Amel), Ahmed Abaza (le directeur de l’école), Shawki Shamekh (le frère d’Hani), Ali Al Sherif (le gardien de l’école), Zein El Ashmawy (docteur Tariq), Badr Nofal (le directeur de la nouvelle école d’Hani), Samia Sami (la mère d’Amel)
Scénario : Wahid Hamed
Musique : Gamal Salamah


Hani Ali Soltan est professeur d’histoire. Sa vie lui semble vide et sans intérêt. Il passe son temps libre à jouer tout son argent aux cartes. Mais un jour, Hani est contraint de muter dans une localité qu’il ne connaît pas, loin de ses amis. Dans le train qui l’emmène vers sa nouvelle affectation, il fait la connaissance d’Amel. Cette jeune femme est médecin et elle quitte Le Caire pour refaire sa vie après la mort accidentelle de son fiancé.

Mardi 14 janvier à 22h

Mon amour pour toujours de Hussein Kamal (Habibi da'iman, 1980) 
avec Nour al Sherif, Poussi, Saïd Abdel Ghani, Naïma Wasfi, Sawsan Badr, Sabri Abdul Aziz, Mariam Fakhr Eddine, Magda El Khatib, Ibrahim Kadri, Mervat Kazem, Ahmed Maher, Mohamed Kamel, Nadia Shams Eddine, Qadria Kamel
Une histoire de Youssef El Sebai
Scénario : Rafik El Saban
Dialogues : Kawthar Heikal
Musique : Gamal Salamah
Production : Nour al Sherif


Mélodrame. Farida doit épouser l’homme d’affaires fortuné Ossama bien qu’elle soit amoureuse d'Ibrahim, un garçon modeste. Le couple s’installe à Paris. Farida n’est pas heureuse et elle finit par divorcer. Peu après elle découvre qu’elle est atteinte d’un cancer. Elle retrouve Ibrahim qui l’aime toujours. Malgré la maladie, ils se marient et s’installent à Londres...


Lundi 13 janvier à 22h

L’Homme le plus courageux du monde d’Hassan El Seifi (Ashgaa ragel fil alam, 1968)
avec Tawfik El Deken, Amin El-Heinedy, Abbas Fares, Shweikar, Zinat Sedky, Nagwa Fouad, Mohamed Reda, Mohamed Shawky, Fifi Youssef, Khadiga Mahmoud, Zahrat Al Oula
Scénario : Anwar Abdallah et Hassan El Seifi
Musique : Saïd Mekawi et Mohamed Almogy


Comédie. Sankar est un modeste professeur, peu courageux et mal voyant. Il est amoureux de Shakshouka et il a le bonheur d'être aimé en retour. Malheureusement, le père de la jeune fille rejette toute idée de mariage. Un jour, Sankar perd ses lunettes dans la rue et il se retrouve nez à nez avec un lion qui vient de s'échapper du zoo. Sa vue est si basse que l'enseignant confond le fauve avec un mouton. Inconscient du danger, il enferme l’animal dans l’échoppe d’un boucher. Il ne sait pas qu'il vient ainsi de rendre un service inestimable à la police locale. Désormais, il passe aux yeux de tous pour un héros...


Samedi 11 janvier à 18h30

Méfie-toi de Hawa de Fateen Abdel Wahab (Ah min Hawwa, 1962)
avec Rushdy Abaza (docteur Hassan), Madiha Salem (Nadia, la sœur d’Amira), Abdel Moneim Ibrahim (Limaï), Aziza Helmy, Awatif Tikla (Fatia, la servante), Hussein Riad (le grand-père d’Amira), Loubna Abdel Aziz (Amira), Hussein Ismaïl (l’assistant du docteur Hassan), Nahed Sabri (danseuse)
Scénario et dialogues : Mohamed Abou Youssef
Musique : Ali Ismaïl
Production : Ramses Naguib


Une adaptation moderne de la Mégère Apprivoisée de William Shakespeare. Docteur Hassan Shukri est un vétérinaire qui doit s’installer chez un riche propriétaire terrien pour soigner les animaux du domaine. Sur la route, il porte secours à une jeune femme dont la grosse voiture est tombée en panne. La conductrice se montre agressive, traitant le docteur Hassan comme un domestique. Celui-ci découvre peu après que cette charmante personne est Amira, la petite-fille de son employeur. Le vétérinaire fait aussi la connaissance de Nadia, la jeune sœur du dragon qui, contrairement à Amira, est une fille douce et agréable. Nadia a un petit ami mais son grand-père refuse qu’elle se marie tant qu’Amira n’a pas trouvé un époux. Malheureusement, le mauvais caractère d’Amira décourage tous les prétendants qui se présentent. Le docteur Hassan promet au grand-père de l’aider à dresser sa petite-fille… 


Vendredi 10 janvier à 22h

Une Lettre d’une Femme Inconnue de Salah Abou Seif (Resalah min emraa maghoula, 1962)
avec Farid Al Atrache (Ahmed), Lobna Abdel Aziz (Amal), Amina Rizk (la tante d’Amal), Marie Munib (la mère d’Amal), Abdel Moneim Ibrahim (Menem, l’ami d’Ahmed), Layla Karim (Nifin), Fakher Fakher (Ibrahim, le serviteur d’Ahmed), Ezzat Al Alali (le médecin), Abdel Ghani El Nagdi (le gardien), Yacoub Mikhaïl (le beau-père d’Amal), Nawal Abul Foutouh, Mary Ezz Eddin, Awatef Ramadan
Scénario : Fathi Zaki et El Sayed Bedeir
Musique : Farid Al Atrache et André Ryder
Production : Ramsès Naguib
D’après la nouvelle de l’écrivain autrichien Stefan Zweig publiée en 1922, Lettre d’une inconnue.
Cette nouvelle a fait l’objet d’une première adaptation réalisée en 1948 par Max Ophuls avec Joan Fontaine et Louis Jourdan.



Ahmed Sameh est un chanteur célèbre. C’est le jour de son anniversaire. Tous ses amis l’attendent chez lui pour fêter l’événement. Les heures passent et Ahmed n’est toujours pas arrivé. Lassés, les convives décident de rentrer chez eux. C’est après leur départ qu’Ahmed rentre enfin. Son moral est au plus bas. Son domestique lui remet une grande enveloppe qu’on a déposée plus tôt dans la journée. Elle contient une longue lettre. L’auteur en est une femme qu’il ne connaît pas. Elle s’appelle Amal et elle lui raconte son histoire. Elle habitait en face de chez lui et l’aimait à la folie. Ils passeront une nuit ensemble puis Ahmed la quittera pour d’autres aventures. Il ne saura jamais que suite à cette brève liaison, Amal donnera naissance à un petit garçon… 


Jeudi 9 janvier à 16h30

Bonnes Nouvelles d’ Abbas Kamel (khabar abyad, 1951)
avec Leila Fawzi, Karem Mahmoud, Soad Mekawy, Aziz Othman, Ferdoos Mohamed, Abd El Fatah El Kosary, El Sayed Bedeir, Fouad Shafik, Mohamed Kamal El Masry, Gamalat Zayed, Fawzia Ibrahim
Scénario : Abbas Kamel
Musique et chansons : Mounir Mourad, Mahmoud Sharif, Karem Mahmoud, Mohamed El Bakkar, Fathi Koura, Mohamed Abdel Moteleb


Comédie musicale. Mohsen est un modeste vendeur de journaux et de magazines. Un jour, une revue organise une grande loterie dont le premier prix est une Cadillac. En ville, c’est l’effervescence. Tout le monde veut gagner la voiture de rêve. Notamment, Layla, la fille d’un commerçant dont les affaires ne sont plus très florissantes. En fait, c’est Mohsen qui remporte le gros lot. Malheureusement, il ne sait pas conduire. Layla qui est parvenue à entrer en contact avec le héros du jour lui propose son aide…


Mercredi 8 janvier à 18h30

Agent n°13 de Medhat El Sebaie (El Ameel Raqam 13, 1989)
avec Mohamed Sobhy, Eman, Sabreen, Nabil El Halafawi, Shaaban Hussein, Afaf Rashad, Samir Wahid, Zouzou Nabil, Ali El Gandour, Hussein El Sherif, Saïd Mostafa
Scénario : Mahmoud Fahmy
Musique : Hany Shenouda


Thriller. Charif est un agent des douanes très expérimenté qui suscite la jalousie de bon nombre de ses collègues. Un jour, il est approché par la police. On souhaiterait qu’il infiltre une bande de trafiquants de drogue. Charif est très réticent au début mais il finit par accepter la mission. Il doit se faire passer pour un malfaiteur proposant ses services et on lui loue un appartement de luxe pour qu’il puisse recevoir les membres du gang. Son premier contact est Basma, une blonde très séduisante…


Mardi 7 janvier à 16h30

Seconde Rencontre d’Hassan El Seifi (Alliqa' alththani, 1967)
avec Ahmad Mazhar (docteur Raafat), Soad Hosny (Hoda), Zahrat Al Oula (la mère de Hoda), Hassan Youssef (Hassan, l’officier de marine), Kamal Yassin, Khadiga Mahmoud, Soheir Magdy (la danseuse)
Une histoire de Youssef El Sebai
Scénario : Mohamed Othman
Musique : André Ryder et Mohamed Abdel Wahab


Le docteur Raafat aime Hoda mais celle-ci est tombée amoureuse d’Hassan, un jeune officier de marine. La mère de la jeune fille s’oppose à cette liaison. Elle souhaite qu’Hoda épouse le médecin qui l’a soignée après la mort de son mari et qui lui a permis de recouvrer la vue. Mais se fille ne l’entend pas ainsi. Certes, elle a beaucoup d’affection pour le docteur Raafat mais c’est avec Hassan qu’elle veut faire sa vie. Devant partir en mission pour un certain temps, l’officier de marine se présente au domicile de sa bien-aimée pour faire sa demande en mariage. La mère d’Hoda le reçoit dans son salon et la conversation s’engage…


Lundi 6 janvier à 22h

Illusions d’Amour de Salah Abou Seif (El Wesada Elkhalya, 1957)
avec Abdel Halim Hafez, Zahrat Al Oula, Ahmed Ramzy, Omar El Hariri, Abdel Moneim Ibrahim, Abdel Wares Asr, Kawthar Shafik
D’après une histoire d’Ishan Abdul Quddus
Scénario et dialogues d’El Sayed Bedeir
Musique : Kamal El Tawil, Mamoun Al Shinnawi, Mounir Mour ad, Mohamed Al Mogi, Ismaël El Habrouk


Film chanté. Alors qu’il arpente les rues du Caire avec ses deux meilleurs amis, Salah fait la connaissance de Samiha. Entre eux, c’est immédiatement le grand amour. Mais leur bonheur est de courte durée car Samiha doit épouser un médecin. L’étudiant pauvre ne peut rivaliser. Il essaie d’oublier celle qu’il aime en passant ses nuits à boire dans les cabarets. Il rencontre une jeune femme qui est éperdument amoureuse de lui mais cela ne suffit pas à lui redonner le goût de vivre. Une nuit, alors qu’il a bu plus que de raison, il a un malaise. Il est hospitalisé. Le médecin qui le soigne est le mari de Samiha…


Dimanche 5 janvier à 22h

Les Hommes les Plus Forts d’Ahmed Al Sabawi (Aqwaa alrijal, 1993)
avec Nour El Sherif (Zaki), Soheir Ramzy (Alia, la femme de Zaki), Gamal Ismail (Oncle Saïd), Emad Moharam (le vendeur de voitures, propriétaire de l’appartement), Ahlam Helmy (Danseuse), Mahmoud Gawish (l’enfant), Mohamad Nagi (Abou Shanab), Khalil Morsy (le monstre), Ahmed Halawa (le chauffeur de bus), Soheir Shalaby (la journaliste de télévision), Mostafa Al-Shamy, Atia Eweiss, Sayed Sadek, Othman Abdel Moneim, Hagag Abdel Azim, Kamal El Zeiny, Hosny Abdul Jalil, Abdel Razek Fawzi
Scénario : Aziz Nisin et Bassiony Othman
Musique : Gamal Salamah


Zaki est un honnête travailleur qui vit heureux avec sa femme et son fils. Dans son quartier, il est célèbre pour sa gentillesse. Mais depuis quelque temps, un criminel terrifie la ville et tous ceux qui l’ont croisé font de lui un portrait qui ressemble trait pour trait à Zaki. Ce dernier est arrêté par la police. Désormais, pour tout le monde, il est le « monstre »…


Samedi 4 janvier à 18h30

Mademoiselle Hanafi de Fateen Abdel Wahab (Anissa Hanafi, 1954)
avec Ismail Yassin (Hanafi), Magda (Nawam), Soliman Naguib (Hassouna Bey), Zinat Sedki (la belle-mère d’Hanafi), Abd El Fatah El Kosary (le père d’Hanafi), Omar El-Hariri (Hassan), Reyad El Kasabgy (Al Wady, le boucher), Wedad Hamdy (Zakia, l’ex-femme d’Al Wady), Gamalat Zayed (Oum Al Saïd), Abdel Ghani El Nagdi (le policier), Mohamed Shawky, Shafik Galal, Nemat Mokhtar, Samiha Mohamed, Motawa Oweis, Tousoun Motamad
Scénario : Galil El Bendary
Musique : Ibrahim Haggag, Mohamed El Kahlawy, Kamal Ahmed Ali


Hanafi est un jeune garçon très conservateur. Il vit avec son père, un patron boucher, sa belle-mère et la fille de celle-ci, Nawam. Hanafi exerce sur ces deux femmes une autorité sans faille, leur interdisant de sortir et même de regarder par les fenêtres. Nawam aime un jeune homme qui réside sur le toit de leur immeuble. Il s’appelle Hassan et est étudiant à l’école vétérinaire. Le père d'Hanafi l'a chargé de s'occuper des nombreux pigeons voyageurs qu'il possède. Nawam rejoint souvent Hassan sur la terrasse et ils n’imaginent pas l’avenir l’un sans l’autre. Malheureusement, selon les volontés de son beau-père et de sa mère, Nawam doit épouser Hanafi. Ce dernier ne souhaite pas non plus ce mariage mais lui aussi est obligé de se plier à la décision paternelle. Le jour des noces, le jeune marié est pris de violents maux de ventre. Il est hospitalisé et subit une intervention chirurgicale. Le médecin qui l’a opéré a commis une erreur : il l’a transformé en femme. Hanafi est devenu Fifi…


Vendredi 3 janvier à 15h30

C'était le crime de mon père d’Henry Barakat ( haza ganahu abi, 1945)
avec Sabah (Samia), Zaki Rostom (Adel, le père de Samia), Ferdoos Mohamed (la femme d’Hassanein et la mère adoptive de Samia), Abdel Aziz Ahmed (Hassanein, le père adoptif de Samia),  Serag Mounir (Waji Bey, le père de Samir), Zouzou Nabil (Ilham, la mère de Samia), Salah Nazmi (Samir), Mona (Mona, la fiancée de Samir), Violet Sidawi (la directrice de l’atelier de couture)
Scénario : Youssef Gohar et Henry Barakat
Musique : Saleh Gawdat, Mamoun Al Shinnawi, Mahmoud Al Sherif, Farid Ghosn


Mélodrame chanté. Adel est avocat à Tanta. Il entretient une relation amoureuse avec une jeune femme, Ilham. Quand il a commencé à s’engager en politique et à devenir une personnalité en vue, il a souhaité rompre de peur que cette liaison ternisse sa réputation. Mais Ilham lui annonce qu’elle est enceinte et qu’elle souhaite le mariage. Pour Adel, hors de question de l’épouser. En revanche, il lui propose de l’entretenir elle et son enfant tout en exigeant de garder secret sa paternité. Ilham refuse cet arrangement. Elle quitte Tanta et rejoint Le Caire où elle est accueillie par une amie, Madame Adela. Elle met au monde une petite fille qu’elle prénomme Samia mais elle meurt subitement des suites de son accouchement. C’est Hassanein, le mari de Madame Adela qui reconnaît l’enfant auprès des services de l’état-civil. Samia grandit. C’est devenue une jeune femme. Elle est couturière et quand son père adoptif a été licencié suite à la perte accidentelle de son bras droit, c’est elle qui s’est chargée de l’entretien de toute la famille. Un jour, Samia doit remettre une robe chez un riche notable. Quand la jeune couturière entre dans la grande demeure, on s’apprête à fêter l’anniversaire de Samir, le jeune fils de la maison. Bien que déjà fiancé, Samir tombe immédiatement amoureux de Samia… 


Jeudi 2 janvier à 12h30

Le Géant de Mahmoud Zulficar (Al Imlaq, 1960)
avec Mariam Fakhr Eddine (Nahed), Farid Shawki (Fatouh), Imad Hamdi (Raafat), Mahmoud El Meleigy (Al Esawi), Samia Ayoub (Tahyah), Salah Nazmi (Izzat Abdel Sami), Shafik Nour El Din (Zaki Effendi), Khayria Ahmed (Sanaa), Said Khalil (Haroun), Ahmed Loxer (le procureur), Hussein Riad (apparaît en photo, le père de Fatouh), Mohamed Reda, Muhammed Abaza (le directeur de la prison), Ikram Ezzo (Nadia, la fille de Nahed), Wedad Hamdy (une secrétaire), Mohsen Hassanein, Mohamed Sobeih (un prisonnier)
Scénario : Mahmoud Zulficar, Abdel Haye Adib, Kamal Zulficar
Dialogues : Mohamed Abou Youssef
Musique : Ibrahim Haggag


Après le décès de son père, Fatouh est à la tête de l’entreprise familiale qui se trouve dans une situation financière très délicate. Les créanciers se font de plus en plus pressants. Par miracle, un ancien camarade de classe de Fatouh fait son apparition dans les locaux de la compagnie. Il s’appelle Raafat et c’est un homme très riche. Il est venu présenter à son ancien condisciple ses condoléances pour la mort de son père. Fatouh a une idée : il veut faire croire à Raafat que sa société est florissante pour l’inciter à y investir une partie de sa fortune. Raafat n’est pas dupe : il sait que Fatouh ment et qu’il est à deux doigts de la faillite. Il lui propose néanmoins un accord : il accepte de mettre une grosse somme d’argent dans l’entreprise à condition qu’il en prenne la direction financière. Fatouh est aux anges : il est sauvé ! Très vite la compagnie « Fatouh et Raafat » devient un poids lourd dans les travaux publics. Fatouh travaille jour et nuit et n’a qu’une idée en tête : écraser ses concurrents. Parmi eux, il y a notamment Al Esawi. Ce dernier propose à Fatouh et à Raafat de s’associer sur un gros projet. Fatouh refuse catégoriquement : il reproche à Al Esawi de s’être mal comporté avec son père. Cela, Raafat ne le sait pas et il ne comprend pas l’intransigeance de son associé. Dans le même temps, Nahed, l’une des secrétaires décide de quitter l’entreprise : elle ne supporte plus la brutalité de Fatouh dont elle est secrètement amoureuse. Raafat qui est épris de la jeune femme, comprend que c’est une chance pour lui. Quelque temps plus tard, Fatouh découvre que Nahed et son associé sont fiancés…


Mercredi 1er janvier à 22h

Le Rivage de la Gaieté de Houssam Al Din Mustafa (Chatei el Marah, 1967)
avec Nagat El Saghera (Norah), Hassan Youssef (Houssam), Youssef Fakhr El Din (Hamada), Samia Shokri (Riri), Samir Ghanem (ami d’Houssam), George Sedhom (ami d’Houssam), El Deif Ahmed (ami d’Houssam), Abdel Moneim Madbouly (le professeur Raafat), Nahed Yousri, Shahinaz Taha (Salli, la sœur de Norah), Nabil El Zakzouky, Mimi Chakib (Aziza, la femme du professeur), Adly Kasseb (le père d’Houssam)
Scénario et dialogues : Abdel Fattah El Sayed
Musique : Mohamed Abdel Wahab


Comédie musicale. Un professeur laisse ses deux grandes filles, Norah et Sally, partir seules pour quinze jours de vacances à Ismaïlia avec leur club. Craignant pour leur vertu, l’universitaire demande à Houssam, le fils de son meilleur ami, de les accompagner pour les surveiller discrètement. Le jeune homme qui est musicien accepte la mission et se rend à Ismaïlia avec les trois membres de son groupe. Les quatre garçons s’installent dans le même hôtel que Norah, Sally et leurs camarades. A peine arrivé, Houssam découvre que Norah est courtisée par Hamada, un pensionnaire de l’hôtel…



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