vendredi 1 mars 2019

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 1er au 15 mars)

روتانا كلاسيك

Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.


Vendredi 15 mars à 18h30

Ma belle-mère est une bombe atomique d’Helmy Rafla ( hamati kombola zorria, 1951)
avec Taheya Carioca, Ismail Yassin, Abd El Fatah El Kosary, Aziza Helmy,Wedad Hamdy, Mohamed El Genedy, Shadia, Gamal Fares, Abdel Moneim Ismail, Abdel Moneim Basiony, Abbas El Daly, Nabawya Mostafa, Mary Moneib 
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary 
Musique : Mahmoud Al Sharif et Ahmed Sedky


Comédie musicale. Zaher est marié à la danseuse Batta. Il serait le plus heureux des hommes si sa belle-mère ne s’était pas installée dans leur foyer. Celle-ci se comporte en tyran domestique et la vie à la maison devient un enfer. La vieille femme a aussi un projet : elle veut que sa fille divorce de Zaher qu’elle considère comme un raté pour épouser un riche marchand de sa connaissance. Un jour, elle rencontre chez le coiffeur une ancienne voisine de Zaher. Cette dernière lui fait des confidences et lui apprend qu’elle a été mariée il y a très longtemps avec Zaher : l’homme qu’elle aimait avait déjà divorcé trois fois et elle devait impérativement se marier puis divorcer au moins une fois pour être autorisée à convoler avec l’élu de son cœur. Zaher avait accepté d’être ce premier époux de « convenance ». Evidemment, ils avaient divorcé le lendemain. Cette histoire enflamme l’imagination de la belle-mère : elle fait croire à son gendre qu’il a eu de cette première union, une fille et que celle-ci s’apprête à faire son apparition. Zaher est abasourdi…


Jeudi 14 mars à 18h30

Nos plus beaux jours de Helmy Halim (Ayyamine el helwa, 1955)
avec Omar Sharif, Faten Hamama et Abdel Halim Hafez, Ahmed Ramzy, Zahrat Al Oula, Zinat Sedky, Serag Mounir, Aziza Helmy, Saïd Khalil, Ibrahim Hechmat, Zaki Ibrahim
Scénario et dialogues : Ali El Zorkani
Musique : Morsi Gamil Aziz, Kamal Al Tawil, Mohamed Al Mogi


Houda est une jeune fille qui vient de sortir de l’orphelinat.Elle a trouvé un emploi de garde-malade et elle loue une chambre dans une grande maison tenue par madame Zenobia. Elle a comme voisins, trois étudiants qui sont immédiatement conquis par sa beauté et sa gentillesse. Mais Houda tombe gravement malade et son état nécessite une opération chirurgicale qu’elle est incapable de payer. Les trois garçons vont tout entreprendre pour réunir la somme exigée par l’hôpital…


Mercredi 13 mars à 22h

Tue-moi, s’il te plait d'Hassan El Seifi (Iktilny minfadlak, 1965)
avec Fouad El-Mohandes, Shweikar, Abdel Moneim Madbouly, Abu Bakr Ezzat, Abdel Salam Mohamed, Hassan Hamed, Sayed Al Arabi, Abdel Ghany El Nagdi, Soheir Magdi, Badr Nofal
Scénario : Ahmed Al Mula
D’après une histoire d’Hassan Hamed
Musique : Fathy Qora et Izzat Al Jahili


Comédie. Adel a appris qu’il n’avait plus que quelques semaines à vivre. Il rompt avec sa fiancée et décide de se suicider chez lui. Alors qu’il s’apprête à mettre à exécution son funeste projet, il est interrompu par un cambrioleur. Adel a une idée : il paie son visiteur pour que celui-ci le tue à une date et dans un lieu que lui seul aura choisi. Ainsi, notre héros passera de vie à trépas sans s’en apercevoir. Peu après, Adel est informé que le diagnostic était faux et qu’il est en excellente santé. Malheureusement, il ne sait pas comment joindre son cambrioleur pour lui signifier l’annulation du contrat.


Mardi 12 mars à 16h

Des Années d'Amour de Mahmoud Zulficar (Sanawat El Hob, 1963)
avec Nadia Lutfi (Nadia), Chukry Sarhan (Adel), Mohamed Awad (le cousin d’Adel), Layla Taher (amie de Nadia), Mahmoud Azmy (Fathy, le frère d’Adel), Zeinab Sedky (la mère d’Adel et Fathy), Fifi Saheid (la mère de Nadia), Abdel Azim Kamel (le père de Nadia), Soheir Zaky, Layla Yousry
Scénario : Amin Youssef Ghorab

 

Drame sentimental. Nadia et Adel se sont rencontrés dans le train. Ils s’apprécient beaucoup et ils décident de se revoir. Mais Adel ne se présente pas à leur rendez-vous. Il a subitement quitté Le Caire sans pouvoir prévenir Nadia. Il lui écrit une lettre dans laquelle il explique son absence. Malheureusement la jeune femme ne la reçoit pas. Par désespoir, elle accepte d'épouser le frère de celui qui semble vouloir la fuir. Quelque temps après le mariage, Adel refait son apparition…


Lundi 11 mars à 22h

Adieu mon amour de Houssam Al-Din Mustafa (wedan ya hob, 1960)
avec Mariam Fakhr Eddine, Nagwa Fouad, Moharam Fouad, Amal Farid, Wedad Hamdy, Hassan El Baroudi, Abbas Rahmy, Abdel Ghany Kamar, Samir Shedid
Scénario : Fathi Abou Fadal
Musique : Mounir Mourad, Baligh Hamdy, Mohamed Al Mogy, Mamoun Al Shinnawi, Attiah Sharara 


Drame chanté. Sharif est un jeune musicien qui vient d’abandonner ses études. Un jour, il trouve une chaine d’or devant l’Opéra. Le bijou appartient à une jeune femme nommée Amani. Il l’apprend en découvrant l’annonce qu’elle a fait paraître dans le journal. Sharif se rend à l’adresse indiquée : c’est une ferme. Il refuse la récompense mais accepte la proposition que lui fait la jeune femme : prendre la direction de l’exploitation agricole… 


Dimanche 10 mars à 22h

Gawaher de Mohamed Abdel Gawwad (1949)
avec Hagar Hamdy, Mohamed Kamel El Masry (Sharafantah), Mahmoud El Meleigy, Mary Moneib, Hassan Fayek, Ismaël Yassin, Abdel Aziz Al Ahmed, Sana Samih, Mohamed El Dib, Reyad El Kasabgy, Abdel Hamid Zaki, Hind Rostom
D’ après un récit du romancier et nouvelliste Moustapha Lutfi al-Manfaluti (1876-1924)
Scénario : Mohamed Abdel Gawad
Dialogues : Ahmed Shokry
Musique : Doria Galal, Abdel Halim Ali, Mohamed Zaki Nasr


Comédie. Abdel Ghani est un homme fortuné mais excessivement avare. Il impose à sa fille Gawaher une existence très austère. Un jour, elle rentre d’une fête chez des amis totalement ivre. Son père est tellement choqué de la voir dans cet état qu’il perd connaissance. Toute sa famille est persuadé qu’il est mort. On l’enterre mais il recouvre ses esprits dans la tombe. Il se redresse et voit face à lui deux voleurs déguisés en anges. Ils font croire au « défunt » qu’il doit leur donner toute sa fortune s’il souhaite retrouver le monde des vivants. 


Samedi 9 mars à 22h

Sans un Adieu d'Ahmed Diaa Eddine (Min ghair wadaa, 1951)
avec Aqila Rateb, Imad Hamdi, Madiha Yousri, Soheir Fakhry, Abdel Aziz Al Ahmed, Zinat Sedki, Mohamed Tawfik, Mahmoud El Sabaa, Rashad Ahmed, Mohamed El Dib, Zaki Ibrahim, Abdel Moneim Basiony, Anwar Zaki, Gracia Kassin
Scénario : Mohamed Kamal Hassan Al Mouhamy


Drame. Magdi Abdel Hamid est un chef d’entreprise. Il est condamné à plusieurs années de prison pour retard de paiement. Lors de sa détention, il apprend que sa maison a été détruite par un raid allemand. Sa femme serait morte et sa fille a disparu. Quand Magdi sort de prison, il recherche partout sa fille, en vain. Il accepte un emploi dans un grand domaine agricole. La propriétaire tombe amoureuse de lui. Ils se marient… 


Vendredi 8 mars 22h

Terrorisme et Kebab de Shérif Arafa (Al-Irhab Wa Al-Kabab, 1992)
avec Adel Imam, Kamal Al Shennawi, Yousra, Ahmed Rateb, Mohamed Youssef, Ashraf Abdel Baky, Ahmed Akl, Alaa Wali El Din, Enam Salosa, Magda Zaki, Youssef Dawood, Aesha El Kilany, Sami Sarhan, Mohammed Alsoni, Abdelazim Abdelhaqq, Fouad Farghaly, Ahmed Abo Abeya
Scénario : Wahid Ahmed
Musique : Modi El Emam
appréciation : 4/5



Ahmed, un citoyen ordinaire souhaite que ses enfants change d’école. Pour cela, il doit se rendre au Mogamma, le bâtiment qui regroupe tous les services administratifs du Caire. Malheureusement, l’employé chargé des inscriptions scolaires est absent. Ahmed revient le lendemain mais le fonctionnaire n’est toujours pas à son poste. Prenant son mal en patience, le brave citoyen se présentera au bureau le jour suivant puis les autres jours. En vain. Les collègues de l’employé lui donnent à chaque fois une explication différente à ces absences répétées : tantôt, il est en vacances, tantôt il est aux toilettes. En errant dans les couloirs encombrés du Mogamma, Ahmed fait la connaissance d’un cireur de chaussures qui lui révèle que l’employé qu’il recherche est souvent absent car il a pris pour habitude de se rendre aux toilettes dans un autre établissement gouvernemental. Ahmed commence à avoir des soucis avec son patron qui lui reproche son manque d’assiduité. Ahmed essaie de lui expliquer la situation. L’homme ne veut rien savoir. Ahmed n’en peut plus. Il se rend encore une fois au Mogamma et constatant à nouveau l’absence de l’employé il s’en prend violemment à ses deux collègues. Les gardes interviennent. Dans la confusion, Ahmed s’est emparé de l’arme de l’un d’eux . Par inadvertance, un coup part. Personne n’est blessé mais la panique est générale. . A l’étage où se trouve notre héros, les personnes présentes sont convaincues que celui-ci est un terroriste et qu’il les a prises en otage. Tous les autres étages de l’établissement sont évacués et les gardes ont fui. Peu après, les forces de police encerclent le bâtiment. 


Jeudi 7 mars à 16h

Elle possède quelques sous d'Ezzel Dine Zulficar (Sahibat al Malalim, 1949)
avec Mohamed Fawzy, Camilia, Shadia,, Ismail Yassin, Thoraya Helmy, Salah Nazmi, Hind Rostom, Nelly Mazlom, Soad Ahmed, Abdel Hamid Zaki, Abdel Aziz Hamdy, Safya Tharwat
Scénario : Youssef Gohar, Ezzel Dine Zulficar
Musique : Mohamed Fawzy, Mamoun Al Shinnawi, Abdel Aziz Salam, Mostafa Al Sayed


Siham, Nabila et Sonia sont trois sœurs orphelines. Leur oncle décède et leur laisse pour tout héritage 500 piastres. Elles réfléchissent à comment utiliser au mieux cette somme pour obtenir ce dont elles rêvent : un mariage avec un jeune homme riche. Elles vont à Alexandrie et s’installent dans un hôtel luxueux fréquenté par des millionnaires. Siham se fait passer pour une riche héritière en villégiature qui est accompagnée de sa secrétaire, en fait Nabila, et de sa femme de chambre, en réalité Sonia. Siham ne tarde pas à rencontrer un homme comme elle le souhaite. Il s’appelle Samir. De son côté, Nabila a jeté son dévolu sur Kamal, le fils du Pacha Adham. Malheureusement, celui-ci ne porte aucune attention à la fausse secrétaire. Il est attiré par Siham et devient donc le rival de Samir… 


Mercredi 6 mars à 18h30

Elle vécut pour l'amour d'El Sayed Bedeir (Achat li al Hob, 1959)
avec Aziza Helmy, Zubaida Tharwat, Kamal Al Shennawi, Abdel Moneim Ibrahim, Wedad Hamdy, Mohamed Shawky, Hermine, Salwa Mahmoud
Scénario : El Sayed Bedeir
D’après un récit de l’écrivain Mohamed Abdel Halim Abdallah
Musique : Abdel Aziz Mahmoud
appréciation : 4/5


Drame sentimental. Hosny passe son enfance dans un petit village avec son père et la seconde femme de celui-ci. Un jour, il surprend sa belle-mère dans les bras d’un villageois. Dès lors, il considère toutes les femmes comme des créatures du diable qui n’ont de cesse de tromper leurs maris. Il fait le serment de ne jamais se marier. Les années ont passé. Hosny s’est installé au Caire pour suivre des études de médecine. Dans l’appartement au-dessous du sien vit une jeune fille avec sa sœur et sa mère. Elle s’appelle Zaynab. Malgré ses résolutions passées, Hosny ne peut plus se mentir : il est tombé amoureux.


Mardi 5 mars à 22h

La Vierge et les cheveux blancs d'Hussein Kamal (Al A'zraa wal Shaar Al Abyad, 1983)
avec Nabila Obeid, Mahmoud Abdel Aziz, Sherihan, Mariam Fakhr Eddine, Mamdouh Abdel Alim, Mahmoud El Qala'awy, Afaf Rashad, Mervat Kazem, Afaf Wagdi, Hamdy Youssef, Hanem Mohamed
d'après un roman d'Ihsan Abdul Quddus
Scénario : Kawthar Heikal
Musique : Tarek Sharara


Le premier mariage de Dawlat a été un échec en raison de son incapacité à avoir un enfant. Peu après son divorce, Dawlat fait la connaissance de Medhat, un jeune homme pauvre qui vit sur le toit d’un immeuble appartenant à sa mère. Ils sympathisent puis très vite l’amitié se transforme en amour. Ils se marient. Grâce à Dawlat, Medhat devient un homme d’affaires avisé. Pour que son bonheur soit complet, le couple adopte une petite fille. Les années passent. La petite fille devient une ravissante adolescente. La situation se complique quand elle tombe amoureuse de son père adoptif.


Lundi 4 mars à 16h

Je suis seule d'Henry Barakat (Ana wahdi, 1952)
avec Soad Mohamed, Magda Al Sabbahi, Omar El Hariri, Mimi Chakib, Mona, Zaki Ibrahim, Thuraya Fakhry, Salah Nazmi, Abdel Hamid Zaki, Fakher Fakher, Kittie, Abbas Rahmy, Victoria Hobeika, Lotfy El Hakim
Histoire : Youssef Issa
Dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Mamoun Al Shinnawi, Riad El Sonbati, Mahmoud El Sherif, Zakaria Ahmed


Comédie musicale. Nawal et Afaf sont deux sœurs. Elles se sont installées au Caire et travaillent comme couturières chez un tailleur. Afaf a une très belle voix. Elle souhaite faire une carrière de chanteuse mais maints obstacles se dressent sur sa route. Un jour les deux sœurs rencontrent deux garçons de la meilleure société. Ehsan tombe amoureux de Nawal et son camarade Atef s’éprend d’Afaf. Au début, tout se passe au mieux mais quand les deux amis apprennent que leurs deux amoureuses sont couturières, ils les abandonnent aussitôt. Nawal fait une tentative de suicide…


Dimanche 3 mars à 22h

La Colère des Parents d'Hassan Al Imam ( ghadab el waldeen, 1952)
avec Shadia, Mohsen Sarhan, Amina Rizk, Hussein Riad, Samia Tawfik, Zouzou Hamdi El Hakim, Chukry Sarhan, Ahmed Allam, Fakher Fakher, Mohamed El Dib, Thuraya Fakhry, Abdel Hamid Zaki
Scénario : Hassan El Emam et Hassan Abdel Wahab 
Dialogues : Mohamed Mostafa Samy 
Musique : Mahmoud Al Sharif, Fathy Qora, Ibrahim Haggag


Mélodrame. Imam Mohamed est un homme vertueux et travailleur qui a tout sacrifié à la réussite de son fils unique. Lui et sa femme ont hypothéqué leur maison afin de financer ses études dans une école de commerce et un fois que le jeune homme a obtenu son diplôme, Imam lui a trouvé une place dans la société qui l'emploie. 
Mais le fils ne manifeste aucune gratitude à l’égard de ses parents. Il a toujours souffert d’appartenir à une famille modeste face à ses condisciples plus aisés. A son père et à sa mère, il réclame sans cesse davantage afin de mener une existence conforme à ses désirs. Et ses exigences se font encore plus pressantes depuis qu’il a pris pour maîtresse une danseuse. Contre l’avis de son père, il l’épouse. Erreur fatale : elle le conduira au crime… 
En 1976, Hassan El Imam réalisera un remake de ce film avec Farid Shawki dans le rôle du père et Samir Sabri dans celui du fils.


Samedi 2 mars à 18h30

La Porte Ouverte de Henry Barakat (Elbab Elmaftouh,1963)
avec Faten Hamama, Saleh Selim, Mahmoud Morsi, Hassan Youssef, Shweikar, Mimi Chakib, Mahmoud El Heddini, Seham Fathy, Layla Anwar, Nahed Samir, Nawal El Saghira, Gharib Mohy Eldin, Hussein Ismail, Khadiga Mahmoud, Baher Elsayed, Samir Shedid, Sherin
d'après un roman de Latifa Al Zayyat
Scénario : Youssef Issa, Henry Barakat, Latifa Al Zayyat
Musique : André Ryder


Nous sommes à la veille de la chute du roi Farouk. Layla est une jeune lycéenne qui prend une part active dans toutes les manifestations organisées pour réclamer le départ du monarque. Quand son père découvre son implication dans le mouvement révolutionnaire, il devient fou de rage et la corrige de manière brutale. Heureusement, Layla trouve du réconfort auprès de son cousin Isam qui vit avec sa mère dans l’appartement au-dessus de celui de ses parents. Une idylle naît entre eux mais le comportement du jeune homme va décevoir Layla et elle va renoncer à l’amour jusqu’à sa rencontre avec Hussein, un militant révolutionnaire, ami de son frère…


Vendredi 1er mars à 22h

La Bonne Terre de Mahmoud Zulficar (el ard el tayeba, 1954)
avec Mariam Fakhr Eddine, Kamal Al Shennawi, Hussein Riad, Zouzou Madi, Abdel Salam Al Nabulsi, Omar El-Hariri, Mohamed El Tokhy, Kittie, Hussein Ismaïl, Abdel Aziz Kamel, Mohsen Hassanein, Khayria Ahmed, Abdel Hamid Badawi, Fouad El Mohandes
Scénario et dialogues : Youssef Gohar
Musique : Ismaïl Shabana


Drame. Une jeune fille nommée Saadia vit avec sa tante et son oncle dans une ferme. Elle ne sait pas que son père est un homme fortuné qui avait contracté avec sa mère un mariage secret. L’homme meurt en laissant toute sa fortune à sa fille. Saadia se rend au Caire pour prendre possession de son héritage. Mais Bahiga, sa tante, échafaude avec son amant un plan machiavélique pour lui prendre tout son argent…


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