dimanche 2 avril 2023

A la télé : les films du jour (Rotana Classic du 2 au 15 avril)

روتانا كلاسيك

Quels films peut-on voir sur la chaîne Rotana Classic ? Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.
Rotana Classic a remplacé Rotana Zaman en 2012. Cette chaine fait partie du groupe Rotana basé en Arabie Saoudite et spécialisé dans le divertissement (télévision et musique). Celui-ci a été créé par le prince Al-Walid ben Talal ben Abdelaziz Al Saoud, membre de la dynastie Al Saoud et petit-fils du fondateur de l'Arabie Saoudite. Comme son nom l’indique, Rotana Classic diffuse essentiellement les grands classiques du cinéma égyptien. Disponible en France.


Samedi 15 avril à 19h30

Les Filles d’Eve de Niazi Mustafa (Banat Hawa, 1954)

avec Mohamed Fawzi (Wahid), Madiha Yousri (Esmat), Shadia (Hekmat, la sœur d’Esmat), Ismail Yassin (Ananas, l’amoureux d’Hekmat), Zinat Sedki (le garde du corps d’Esmat), Abdel Moneim Ismail (l’infirmier), Edmond Tuema (le directeur de la galerie de peinture), Hind Rostom (l’une des secrétaires), Hassan Hamed (le professeur de judo), Mohamed Reda (le modèle en tenue de pêcheur), Thuriya Salem (une danseuse), Hamid Badawy (l’oncle d’Esmat), Fawzya Ibrahim (employée du magasin), Mounria Abdel Mohsen (la directrice du camp artistique)
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary, Niazi Mostafa
Musique : Mohamed Fawzi, Abd Al Aziz Salam, Fathy Qoura
Paroles des chansons : Saleh Gawdat, Abou Al Seoud Al Ebiary
Producteur : Mohamed Fawzi


Comédie musicale. Esmat est la propriétaire des magasins Jeunesse et Beauté. C’est une féministe convaincue : dans sa société, elle n’emploie que des femmes et elle a créé une association qui lutte pour l’égalité entre les deux sexes. Elle ne veut surtout pas entendre parler de mariage au grand désespoir de sa sœur cadette : celle-ci ne pourra épouser l’homme qu’elle aime qu’une fois Esmat mariée. Un jour, alors que la femme d'affaires se rend en voiture à une réunion de son association, elle renverse un cycliste. Plus de peur que de mal : l’homme se relève sans grande difficulté. Il s’appelle Wahid et c’est un artiste peintre. Il se rendait à une exposition pour y présenter une œuvre qui a été abîmée dans sa chute. Esmat veut le dédommager mais Wahid refuse : il est ébloui par la beauté de la jeune femme et souhaite faire immédiatement son portrait. Esmat accepte à contre-coeur. Ils s’installent au bord du Nil et en quelques minutes, Wahid réalise un portrait au crayon de sa belle inconnue. Cette dernière, exaspérée par cette situation finit par quitter Wahid en lui laissant un chèque. Grâce à ce chèque, le peintre parvient à retrouver la femme d’affaires. Il se présente au siège de sa société mais elle refuse de le recevoir…


Vendredi 14 avril à 23h

Lutte sur le Nil d'Atef Salem (Seraa fil Nil, 1959)
avec Hind Rostom (Nargis, la danseuse), Rushdy Abaza (Mujahed), Omar Sharif (Muhasab), Mohamed Kandil (le chanteur), Hassan El Baroudi (le maire du village et le père de Muhasab), Tahani Rashid (Warda, la fiancée de Muhasab), Fathia Ali (la tante de Warda), Nazim Sharawi (Abou Safaan), Hassan Hamed (Hicham), Ali Kamal (un voleur), Kamal Anwar (un voyou), Abdel Ghani El Nagdi (un membre d’équipage), Abdel Hamid Badawy (un villageois), Mahmoud Lotfi (un villageois), Mohsen Hassanein (un voyou)
Scénario : Ali El Zorkani
Musique : Morsi Gamil Aziz, Fouad El Zahry, Mohamed Al Mogi
Production : Les Films Gamal Leithi
appréciation : 5/5


Drame. Muhasab est un jeune homme naïf qui réside en Haute Egypte. Son père, qui est aussi le maire du village, lui confie une mission : remonter le Nil jusqu’au Caire à bord de la vieille felouque municipale « La Fiancée du Nil », la revendre et, avec la somme obtenue complétée par les contributions des villageois, acheter une barge à moteur. Pour cette mission, il sera accompagné par un vieil ami de son père Mujahed qui pilotera le bateau et veillera sur l’argent.
« La Fiancée du Nil » lève l’ancre sous les acclamations de tous les habitants de la localité. Mais cette équipée ne fait pas que des heureux. Abu Safaan,possède des voiliers et il craint par-dessus tout la concurrence de ce nouveau bateau à moteur. Avec ses complices, il va tenter de faire capoter le projet des villageois. Parmi les membres d’équipage, il a placé Hicham, l’un de ses hommes. Lors d’une escale dans un village où a lieu la fête du Mouled, Muhasab est fasciné par le numéro de Nargis, une danseuse du ventre. Le lendemain la jeune femme fait son apparition sur le bateau. Elle demande à Muhasab et à Mujahed de l’aider à fuir un beau-père violent. Les deux hommes acceptent de la prendre à bord. Ils ne savent pas qu’elle a été chargée par Hicham de séduire Muhasab et de s’emparer du magot. Si le garçon est une proie facile, en revanche mettre la main sur l'argent des villageois s'avère une entreprise beaucoup plus ardue que prévu. En effet, c'est Mujahed qui l'a caché et il reste très méfiant à l'égard de la jeune femme. Celle-ci décide alors de le séduire. L'ombrageux capitaine succombe à son tour…


Mercredi 12 avril à 23h

Sept Jours au Paradis de Fateen Abdel Wahab (Sabaa Ayam fil Janna, 1968)
avec Nagat El Saghera (Karouan), Hassan Youssef (Hussein Mahmoud), Amin Elheneidy (oncle Amin), Adel Imam (Shukry, le journaliste), Salama Elias (le rédacteur en chef), Youssef Fakhr El Din (Youssef), Shahinaz Taha (Mervat), Nadia Seif El Nasr (Effat Qamar Dar), Tawfiq El Deken (le frère d’Effat Qamar Dar), Abdul Moneim Saudy (le mazoun)
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Musique : Mohamed Abdel Wahab, Fouad El Zahry, Saïd Mekawi, Mansour Rahbani, Asi Rahbani
Production : Ramses Naguib


Comédie musicale. Pour vivre, Karouan et son oncle Amin vendent du jasmin sur la plage à Alexandrie. Afin d’attirer les clients, la jeune femme chante et Amin l’accompagne à l’accordéon. Un jour, un journaliste assiste à  leur petit numéro et cela lui donne l’idée d’un nouveau reportage. Il propose au duo de vivre pendant sept jours l’existence des riches et lui relatera dans son journal cette expérience inédite. Karouan et Amin acceptent. Le journaliste conduit ses deux nouveaux amis au Caire et les installent dans un hôtel luxueux. L’oncle doit se faire passer pour un millionnaire de retour du Brésil avec sa fille Houda. Un article paraît dans le journal pour annoncer l’arrivée en Egypte de ces deux éminents personnages…


Mardi 11 avril à 23h

Le Chauffeur de Madame d’Hassan Ibrahim (Sawak el Hanem, 1994)

avec Ahmed Zaki (Hamada), Sanaa Jamil (Madame Latifa), Adel Adham (Hosny Bey, le mari de Madame Latifa), Sabrin (Fathia), Sherein Seif El Nasr (Afkar, la fille de Madame Latifa), Abla Kamel (Awatef), Mamdouh Wafi (Fayek, le fils aîné de Madame Latifa), Qadria Kamel (la mère d’Awatef), Nadia Rafiq (Madame Shweikar), Ahmed Samy Abdallah (le régisseur), Sabah Mahmoud (la servante), Mohamed Al Taji (l’ancien chauffeur), Yvette Antoine (l’amie de Madame Latifa), Othman Abdel Moneim (un ami d’Hosny)
Scénario : Youssef Gohar
Musique : Mokhtar El Sayed, Baha’ Jahin, Irahim Ragab, Entasar Abdel Fattah, Ahmed Zaki


Madame Latifa est une descendante de la famille royale. Elle reste nostalgique du temps passé et rêve d’un retour de la monarchie. Dans sa maison, elle exerce une autorité impitoyable sur son mari, ses deux enfants et tout son personnel. Pour toutes ses sorties, elle se déplace dans sa vieille Rolls Royce conduite par un chauffeur. Un jour, ce dernier, excédé par les remontrances continuelles dont il fait l’objet, quitte brusquement son service. Il est remplacé au pied levé par Hamada, un modeste chauffeur de taxi. Le premier essai est concluant : il devient le chauffeur attitré de la famille. Mais l’arrivée d’Hamada va provoquer de nombreux remous au sein du petit monde bien ordonné de Madame Latifa. Ainsi, Afkar, la fille de la maison, tombe amoureuse de lui. Situation bien embarrassante pour le jeune homme : il est déjà épris d’Awatef, une voisine à qui il a promis le mariage…


Lundi 10 avril à 15h

Ismaël Yassin dans la Marine de Fateen Abdel Wahab (Ismaïl Yassin fil ustul, 1957)
avec Ismaël Yassin (Ragab), Zahra Al Oula (Nadia), Ahmed Ramzy (Mounir), Mahmoud El Meleigy (Abbas Al Zafer), Zinat Sedki (la mère de Nadia), Abdel Wareth Asr (le père de Nadia), Zeinat Olwi (la danseuse), Abdel Moneim Ibrahim (Abdul Bar), Reyad El Kasabgy (le sergent instructeur à bord du navire), Malak El Gamal (l’entremetteuse), Layla Karim (la petite amie de Mounir), Layla Hamdy (épouse d’Abbas Al Zafer), Mary Bay Bay (épouse d’Abbas Al Zafer)
Scénario : Hassan Tawfik et El Sayed Bedir
Musique : Mounir Mourad
Production : Films Memphis/Ramsès Naguib
appréciation : 3/5


Comédie navale. Ragab est un gentil garçon dont le seul défaut est la peur de la mer. Il aime sa cousine Nadia qui est infirmière à l’Hôpital de la marine. Hanfi, le père de Nadia, accepterait que sa fille épouse son neveu, en revanche la mère souhaite que sa fille épouse Maître Abbas Al Zafer, un homme d’âge mûr riche et puissant. Nadia exhorte son amoureux à surmonter sa peur de la mer et l’incite à s’engager dans la marine pour impressionner sa mère. Ragab se rend au centre de recrutement de la Marine. Là, il rencontre deux autres engagés, Abdul Bar et Mounir, avec qui il sympathise tout de suite. Après la visite médicale, les trois jeunes gens commencent leur formation.


Dimanche 9 avril à 19h30

La Fille des Aristocrates d'Anwar Wagdi (Bint Al Akkabir, 1953)
avec Layla Mourad (Layla), Anwar Wagdi (Anwar), Ismail Yassin (Chafchaq, le collègue d’Anwar), Zaki Rostom (Shawkat, le grand-père de Layla), Soliman Naguib (l’oncle Toufiq), Zinat Sedki (Alawyat, sœur d’Anwar), Ibrahim Emara (l’avocat), Mohamed Abdel Moteleb (chanteur), Kitty (danseuse), Mohamed Kamel (Idriss le serviteur)
Scénario : Abou Al Saoud Al Ebiary et Anwar Wagdi
Musique : Ryad Al Sonbati et Hussein El Sayed
Production : Anwar Wagdi


Layla vit avec son grand-père dans un immense palais. Elle souffre de la solitude qui lui est imposée : les visites et les sorties sont rares. Un jour son grand-père lui annonce qu’il doit s’absenter pour faire le pèlerinage. Il la confie à l’un de ses oncles. Quand celui-ci s’installe au palais après le départ du pacha, il constate que le téléphone fonctionne mal. Il prévient la compagnie des télécommunications qui lui envoie deux réparateurs. Entre Layla et Anwar, l’un des deux ouvriers, c’est le coup de foudre instantané. Le jeune homme cache d’autant moins ses sentiments qu’il pense avoir affaire à l’une des domestiques de la maison.
Dernier film que Layla Mourad et Anwar Wagdi tournent ensemble. Ils divorcent la même année pour la troisième et dernière fois.


Samedi 8 avril à 17h

O Mon Pays ! d’Hussein Kamal (Ah ya bld.. ah, 1986)

avec Hussein Fahmy (Magdy), Farid Shawki (Ayoub), Layla Olwi (Farida), Anwar Ismail (Radwan), Ahmed Morsi (un paysan), Hassan El Yamany (Hassan Fadel), Hassan Mostafa (le paysan Abdel Ati), Taheya Carioca (une ancienne danseuse), Thuraya Ezz Elddin (la femme d’Ayoub), Mohamed Abou Hashish (l’épicier du village), Amir Shahin (le jeune fils d’Ayoub), Atef Makram (le voleur)
Scénario : Saad Eldin Wahba
Inspiré de Zorba le Grec, un film gréco-anglo-américain de Michael Cacoyannis (1964)
Musique : Ammar El Sheraiey
Production : Mohsen Alam El Din


Magdy, un jeune ingénieur, retourne en Egypte pour enterrer son père et il apprend qu’il a hérité d’un terrain à la campagne. Après les obsèques, il décide donc de se rendre dans la localité où se trouve ce terrain pour le mettre en vente. A peine sorti de la gare, Magdy est victime d’une tentative de vol. Heureusement, l’intervention d’un vieil homme lui permet de récupérer sa mallette. Cet homme s’appelle Ayoub, il a combattu l’occupant britannique et il a perdu sa femme et son jeune fils dans des circonstances tragiques. Ayoub conduit le jeune homme chez une amie, la Signora, qui fut autrefois une grande danseuse. Les deux villageois conseillent à Magdy la plus grande prudence dans ses démarches car la région est sous la coupe d’un homme très puissant qui achète à vil prix toutes les terres des environs et qui n’hésite pas à user de violence pour obtenir ce qu’il convoite…


Vendredi 7 avril à 19h30

Qui est l'assassin ? d'Hassan El Seifi (Man Alqatil, 1956)
avec Samira Ahmed (Samira, la jeune épouse de Saïd), Rafia Al Shal (la mère de Samira), Gamil Ezz Eddin (Magdy, le cousin de Samira), Wedad Hamdy (Zakia, la femme de Nabi), Mohsen Sarhan (Saïd, le directeur de l’entreprise de Souad), Hussein Riad (Suleiman, le père de la mariée), Mahmoud El Meleigy (Salim, le frère de Souad Hanem), Rushdy Abaza (Rushdy, l’enquêteur), Adli Kasseb (le procureur), Ismaïl Yassin (Nabi), Amina Nour Eddin (Souad Hanem, la victime)
Scénario et dialogues : Mohamed Kamal Hassan al Muhami
Production : les Films du Lotus


Film policier. A la mort de son mari, Souad Hanem a hérité de la société qu’il avait fondée. Elle en a confié la direction à Saïd, un jeune homme pour qui elle éprouve de tendres sentiments. Alors que la veuve séjourne à l’étranger, son frère lui apprend que Saïd s’apprête à épouser une autre femme. Souad rentre précipitamment en Egypte. Elle découvre qu’on lui a volé ses bijoux qui se trouvaient pourtant dans un coffre-fort. Le voleur ne peut être que Saïd. Au combe du désespoir, Souad brûle toutes les photos de son ex-protégé. Malgré cela, elle décide de se rendre au mariage de Saïd. C’est ainsi qu’elle apprend que le père de la mariée est dans une situation financière catastrophique et qu’il compte bien utiliser l’argent de son futur gendre pour éponger ses dettes. La petite enquête de Souad s’interrompt brusquement : on retrouve son corps sans vie dans le jardin de la propriété. Un inspecteur arrive sur place. Il devine qu'un certain nombre de présents ont de bonnes raisons d'en vouloir à la victime...


Jeudi 6 avril à 15h

Histoire d'Amour d'Helmy Halim (Hekayat hub, 1959)

avec Abd El Halim Hafez (Ahmed Sami), Mariam Fakhr Eddine (Nadia), Abdel Salam Al Nabulsi (Refaat, l’ami d’Ahmed Sami), Mahmoud El Meleigy (docteur Abdel Wahab), Ferdoos Mohamed (la mère d’Ahmed Sami), Ahmed Yehia (Samir, le petit frère d’Ahmed Sami), Saïd Khalil (docteur Fahim), Edmond Tuema (garçon de l’hôtel Mina House), Abbas Rahmy (le directeur de la maison de disques), Kamal Anwar (Mamdouh Bey, l’ivrogne de la soirée), Ibrahim Khan (Adel), Fathia Ali (la voisine de la mère d’Ahmed)
Scénario : Ali El-Zorkani et Helmy Halim
Musique : André Ryder, Kamal El Tawil, Mohamed Al Mogi, Mounir Mourad, Morsi Gamil Aziz
Production : Helmy Halim
Première apparition à l’écran de Samir Sabri. On l’aperçoit quelques secondes parmi d’autres figurants quand Abdel Halim Hafez interprète la chanson « Bahlam Bik ».


Ahmed Sami est professeur de musique dans une école primaire d’Alexandrie. Grâce à son salaire, il peut subvenir aux besoins de sa mère aveugle et de son petit frère Samir. Ses moments de loisir, il les consacre à chanter et à composer. Son rêve serait de devenir un chanteur célèbre. La chance semble enfin lui sourire. Son voisin l’a conduit dans une soirée mondaine pour qu’il s’y produise. A peine commence-t-il à chanter qu’il est brusquement interrompu par un ivrogne. Profitant de cet incident, quelqu’un met un disque de jazz. Toute la petite société se lance dans une danse endiablée. Ahmed est humilié. Nadia, une jeune et belle aristocrate vient le consoler en lui prédisant un bel avenir dans la chanson. Les jours qui suivent sont occupés à retrouver cette belle inconnue. Ahmed la revoit sur la plage et ose lui adresser la parole. Ils ont une brève conversation et conviennent de se retrouver le lendemain au même endroit. Ahmed voudrait lui faire écouter une chanson qu’il est en train de composer. Mais le lendemain, plus de trace de Nadia. Elle est repartie subitement pour Le Caire…


Mercredi 5 avril à 23h

L’espoir de ma vie de Seif El Din Shawkat (Amany Al Omr, 1955)

avec Saad Abdel-Wahab (Sherif), Magda (Layla), Zahrat Al Oula (Mona), Abdel-Wareth Asr (le serviteur de Sherif), Mimi Chakib (la mère de Layla), Mohamed Tawfik (Gamal Mansour), Hussein Ismaël (le cuisinier), Soliman Naguib (Taher Masoud), Salah Nazmi (Salah), Abdul Ghani Qamar (Abdel Halim), Samia Roshdi (la femme d’Abdel Halim), Wedad Hamdy (Zeinab), Ferdoos Mohamed (la mère de Mona), Salah Sarhan (le fils d’Abdel Halim)
Scénario et dialogues : Seif El Din Shawkat, Abdel Wareth Asr, Hassan Tawfik
Musique : Saad Abdel Wahab et Mohamed Abdel Wahab
Production : Saad Abdel-Wahab, Ali Kamal Zaki, Ramsès Naguib


Drame sentimental. Sherif est un jeune avocat qui vit dans une maison appartenant à Taher Massoud, un riche homme d’affaires parti en voyage pour quelque temps. De son balcon, il peut voir la grande demeure qu’occupe son propriétaire. Ce dernier rentre enfin et Sherif découvre qu’il a une fille nommée Layla. Ils font très vite connaissance et ont souvent l’occasion de se rencontrer. Ils finissent par tomber éperdument amoureux l’un de l’autre. Alors que Sherif s’apprête à demander la main de Layla à son père, il découvre que la jeune fille est déjà promise à un autre homme. Fou de chagrin, Sherif trouve refuge à la campagne. Là, il fait la connaissance d’une jeune artiste peintre…


Mardi 4 avril à 17h

Abu Rabi' de Nader Galal (1973)

avec Farid Shawki (Abou Rabi), Naglaa Fathy (Yasmine, la nièce de Ragheb Fakhr Eddin), Salah Mansour (Othman Bey), Youssef Fakhr El Din (Mourad, le fils d’Othman Bey), Abdel Rahim El Zarakany (Ragheb Fakhr Eddin, le frère d’Ismaël Fakhr Eddin), Tawfiq El Deqen (le directeur des archives), Laila Gamal (Salma), Mohamed Sobeih (Raad, le bras droit d’Othman Bey), Ali Ezz Eddin (l’avocat), Mukhtar Al Aswad (le garde d’Othman Bey), Fathia Aly (la nourrice Fatima), Abdel Ghani El Nagdi (Haj Mahmoud), Mukhtar Al Aswad (le garde d’Othman Bey)
Scénario : Kamal Ismaël et Farid Shawki
Musique : Fouad El Zahiry, Farouk Salama
Production : Farid Shawki


Ismaël et Ragheb Fakhr Eddin sont deux propriétaires terriens qui ont dû lutter contre l’avidité de leur voisin, le puissant Othman Bey qui veut s’emparer de leurs terres. Ismaël a fini par céder : il a vendu son domaine à Othman et il est parti vivre à l’étranger avec sa petite fille Yasmine. En revanche, Ragheb a toujours résisté. Pour cela, il peut compter sur l’aide de son régisseur, Abou Rabi, un homme droit et courageux, estimé de tous. Mais un jour, les sbires d’Othman mettent le feu à des bâtiments appartenant à Ragheb. Ce dernier meurt asphyxié en voulant éteindre l’incendie. Dans son testament, il a désigné sa nièce Yasmine comme seule héritière de son domaine mais il confie à Abou Rabi la charge d’exécuteur testamentaire : la jeune femme ne pourra vendre aucune des terres sans son autorisation. Yasmine arrive peu après. Le régisseur venu l’accueillir à l’aéroport est un peu embarrassé par la tenue très légère de sa nouvelle patronne. Il comprend très vite que la jeune femme n’est absolument pas intéressée par le domaine que son oncle lui a légué. Elle veut au plus vite vendre et retourner chez elle…


Lundi 3 avril à 23h

Serment d’amour de Ahmed Badrakhan (ahdil hawa, 1955)

avec Farid Al Atrache (Wahid), Mariam Fakhr Eddine (Nadia), Eman (Lily, la sœur de Wahid), Serag Mounir (Bahjat, l’amant de Nadia), Youssef Wahby (le père de Wahid), Mimi Chakib (la mère maquerelle), Zeinab Sedky (la mère de Nadia), Abbas Rahmi (le médecin), Ehsan El Qalaawy (la femme de chambre), Nadia Gamal (danseuse), Lola Abdo (danseuse), Kawthar Shafik (la fleuriste), Abdel Salam El Nabolsi (Ezzat), Abdel Ghani El Nagdi (le serviteur de Wahid), Zaki Ibrahim (Cheikh Saleh)
Scénario : Ali Al Rozqani
D’après la Dame aux Camélias d’Alexandre Dumas
Musique : Farid Al Atrache (pour le générique, l’Ouverture de La Traviata de Verdi)
Production : les films Farid Al Atrache


Wahid a passé plusieurs années en Italie pour ses études. En plus de ses cours dans une école d’agriculture pour plaire à son père, il a poursuivi sa formation dans ce qui constitue sa vraie passion : la musique. Il est enfin revenu en Egypte et après un court séjour au domaine familial, il s’est rendu au Caire pour prendre un poste dans une compagnie agricole. Chez un vendeur d’instruments de musique, il fait la rencontre de Nadia, une jeune femme dont la beauté l’éblouit. Il l’invite à une soirée où il doit chanter. A son tour, Nadia est sous le charme. Les deux jeunes gens se retrouvent régulièrement pour de courtes excursions. Wahid pense déjà au mariage mais il apprend la terrible vérité sur Nadia : elle est sous la coupe d’une mère maquerelle qui vend les charmes de sa protégée aux plus offrants et l’homme qu’il avait pris pour son père est en fait l’un de ses riches amants…


Dimanche 2 avril à 19h30

L’Amour de mon Cœur (ou l’Eternel Amour) d'Anwar Wagdi (Habib El Rouh, 1951)
avec Layla Mourad (Layla), Youssef Wahby (Youssef Fahmy), Anwar Wagdi (Wahid), Wedad Hamdy (Fatima), Ibrahim Omara (Cheikh Taha), Mimi Chakib (Sawsan Hanem), Samira Ahmed (Zouzou), Salah Mansour (un invité de la fête), Abdel Monem Basioni (un invité de la fête), Ferdoos Mohamed (la servante), Abdul Nabi Mohamed (le cuisinier), Abdelbadie El Arabi (le journaliste)
Scénario et dialogues : Abou Al Seoud Al Ibiary, Anwar Wagdi
Musique : Ahmed Sedky, Riad El Sonbati, Abdel Aziz Mahmoud
Production : Anwar Wagdi


Comédie sentimentale. Layla est une jolie femme, très élégante. Elle mène une existence heureuse et sans souci avec son mari, Wahid, qui est propriétaire d’un grand garage automobile en ville. Elle a aussi un talent qui fait l’admiration de tout son entourage : elle chante merveilleusement bien. Un jour, l’une de ses amies organise une réception chez elle. Evidemment, elle a demandé à Layla de chanter. Ce que cette dernière ne sait pas, c’est que parmi les invités, se trouve Youssef Fahmy, un musicien célèbre et quand celui-ci entend sa voix, il est tout de suite conquis. Il est certain que la jeune femme peut devenir une grande chanteuse et il lui propose une collaboration artistique afin de réaliser ce projet. Wahid, le mari, ne goûte guère cette proposition mais Layla l’accepte…


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