mardi 16 février 2021

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 16 au 28 février)

روتانا كلاسيك

Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.


Dimanche 28 février à 18h30

Fleur de Henné de Hussein Fawzi (Tamr Henna, 1957)
avec Ahmed Ramzy (Ahmed), Rushdy Abaza (Hassan), Naima Akef (Tamr Henna), Fayza Ahmed (Maysa), Zeinat Sedki (amie de Tamr Henna), Serag Mounir (père d’Ahmed), Hafez Amin (Glambo Al Haram), Kamal Anwar (Aweys), Stephan Rosti (Rostom), Cariman (Kawther)
Scénario : Hussein Fawzi
Dialogues : Galil El Bendary
Musique : Mohamed Al Mungi, Hussein Ahmed Ali, Mohamed Fawzi, Ibrahim Haggag, Sayed Khalifa
Production : Hussein Fawzi


Comédie musicale. Tamr Henna est une bohémienne. Elle gagne sa vie comme danseuse du ventre. Elle travaille avec Hassan qui se produit en Hercule dans les foires. C’est un peu son fiancé et il est d’une jalousie féroce à l’encontre des spectateurs mâles qui manifestent leur intérêt pour sa belle de manière trop appuyée. Un jour, Ahmed, un jeune homme riche, assiste à leur numéro. Il tombe aussitôt amoureux de Tamr Henna. Ils se reverront et la jeune femme finira elle aussi par succomber au charme de son nouveau soupirant, au grand dam d’Hassan.


Samedi 27 février à 18h30

Le Rivage de la Gaieté de Houssam Al Din Mustafa (Chatei el Marah, 1967)
avec Nagat El Saghera (Norah), Hassan Youssef (Houssam), Youssef Fakhr El Din (Hamada), Samia Shokri (Riri), Samir Ghanem (ami d’Houssam), George Sedhom (ami d’Houssam), El Deif Ahmed (ami d’Houssam), Abdel Moneim Madbouly (le professeur Raafat), Nahed Yousri, Shahinaz Taha (Salli, la sœur de Norah), Nabil El Zakzouky, Mimi Chakib (Aziza, la femme du professeur), Adly Kasseb (le père d’Houssam)
Scénario et dialogues : Abdel Fattah El Sayed et Adli El Moled
Musique : Mohamed Abdel Wahab


Comédie musicale. Un professeur laisse ses deux grandes filles, Norah et Sally, partir seules pour quinze jours de vacances à Ismaïlia avec leur club. Craignant pour leur vertu, l’universitaire demande à Houssam, le fils de son meilleur ami, de les accompagner pour les surveiller discrètement. Le jeune homme qui est musicien accepte la mission et se rend à Ismaïlia avec les trois membres de son groupe. Les quatre garçons s’installent dans le même hôtel que Norah, Sally et leurs camarades. A peine arrivé, Houssam découvre que Norah est courtisée par Hamada, un pensionnaire de l’hôtel…


Vendredi 26 février à 22h

Chacun selon son rang d’Al Sayed Ziada (El naas makamat, 1954)
avec Dorya Ahmed (Hoda, la nièce d’Hamed Al Fliqi), Shukry Sarhan (Gamal, le fils de Riad), Olwya Gamil (la femme d’Hamed Al Fliqi), Hassan Fayek (Riad Pacha), Mahmoud El Meleigy (Hamed Al Fliqi), Samiha Tawfiq (Nana, la fille d’Hamed Al Fliqi), Hussein Issa (Khalifa Othman), Hind Rostom (Zadeh, la fille de Riad), Zeinat Elwy (la danseuse), Tawfik El Deken (l’inspecteur), Mohsen Hassanein (Abdo Othman)
Scénario : Al Sayed Ziada
Production : Al Sayed Ziada


Riad Pacha est un homme très riche qui vit dans une grande villa avec son fils Kamal, officier de police et sa fille Zadeh. Chez lui, il se comporte comme un chef de famille autoritaire et conservateur. En revanche, à l’extérieur, il présente un tout autre visage. Il fréquente assidûment une maison de jeu tenue par toute une famille peu fréquentable : le père, la mère et la fille. Riad Pacha y passe ses soirées à boire de l’alcool et à jouer aux cartes, entouré de jeunes femmes peu farouches. Mais celle qui l’intéresse vraiment, c’est la nièce de ses hôtes, la jeune Hoda. Elle est orpheline et son oncle est son tuteur. La maison où lui et sa femme reçoivent leurs invités lui appartient. Son oncle et sa tante aimeraient qu’Hoda se montre plus complaisante à l’égard d’un client si prestigieux qui souhaiterait l’épouser mais elle ne veut rien savoir. De son côté, Nana, la cousine d’Hoda, a fait la connaissance de Kamal, le fils de Riad Pacha. L’ayant surpris avec une grosse liasse de billets de banque, elle est persuadée qu’il est très riche. Elle entreprend de le séduire et elle le présente à ses parents. La rencontre a lieu dans le salon de la maison de jeu. La sonnette de l’entrée retentit. C’est Riad Pacha qui arrive à son tour…


Jeudi 25 février à 16h30

Les Femmes ne savent pas mentir de Mohamed Abdel Gawwad (El Settat Mayea'rafoush Yekdebo, 1954)
avec Shadia (Layla), Ismaël Yassin (Noah, huissier et ami de Kamal), Chukry Sarhan (Kamal), Alya Fawzy (la femme de chambre), Zinat Sedki (la cousine de Layla et la femme de Noah), Stephan Rosti (Benayoti), Tawfik El Deken (le psychiatre), Hind Rostom (Nabouhia), Thuraya Fakhry (Oum Yani), Gamalat Zayed (la nourrice), Abdel Ghani El Nagdi (le militaire)
Scénario et dialogues : Badie' Khairy et Ali Reda
Musique : Hussein El Sayed, Ibrahim Ragab, Mahmoud El Sherif


Comédie. Kamal et Layla viennent de se marier. Ils s’aiment passionnément mais le mari découvre très vite que sa femme ment en permanence. Il finit même par croire qu’elle le trompe avec un homme de leur connaissance. Cela le met tellement en colère qu’il décide de s’éloigner. Il s’installe à Paris pour travailler dans la succursale française de son entreprise. Pour faire revenir son mari, Layla a une idée : elle lui envoie une lettre dans laquelle elle annonce qu’elle est enceinte et qu’elle s’apprête à accoucher. Kamal qui a toujours rêvé d’avoir des enfants retourne aussitôt en Egypte. Avec l’aide de sa cousine et de son mari, Layla a fait en sorte qu’à son arrivée, son mari trouve près du lit conjugal un berceau avec dedans un adorable petit bébé…

 
Mercredi 24 février à 22h

Les Rivages de l'Amour d'Henry Barakat (Shatie El Hub, 1961)
avec Farid Al Atrache (Mamdouh), Gomaha Edriss (le serviteur de Mamdouh), Samira Ahmed (Lily), Hussein Asr (Docteur Ibrahim, le père de Lily), Kariman (Soheir, la cousine de Mamdouh), Zaki Ibrahim (un médecin), Taheya Carioca (la mère de Lily), Fakher Fakher (le réalisateur), Nahed Samir (la mère de Soheir), Salah Nazmi (l’amant de la mère de Lily), Katkota (une danseuse), Ali Abd El Al (le père de Soheir), Esmat Mahmoud (une amie de Soheir), Kawthar Ramzy (la servante de la mère de Lily)
Scénario : Henry Barakat, Abdel Aziz Salam, Youssef Issa
Musique : Farid Al Atrache
Production : les films Farid Al Atrache
A ne pas confondre avec Le Rivage de l'Amour (Shati' el-gharam), un film qu’Henry Barakat réalisa en 1950.


Comédie musicale. Lily a grandi seule avec son père, le docteur Ibrahim. Celui-ci a toujours prétendu que sa mère était morte alors qu’elle était bébé. Lily est devenue une ravissante jeune fille. Un jour, elle fait la connaissance de Mamdouh, un célèbre chanteur, alors que celui-ci est en train de tourner un film. Ils tombent amoureux l’un de l’autre. Mamdouh fait sa demande en mariage auprès du père de Lily mais celui-ci manifeste une certaine réticence. La jeune fille finit par apprendre que sa mère n’est pas morte mais qu’elle est danseuse dans un cabaret. Son père tente de convaincre son ancienne épouse de renoncer à son activité pour ne pas mettre en péril le projet de mariage de leur fille mais le propriétaire du cabaret qui est aussi l’amant de la mère s’y oppose. Pendant ce temps-là, Mamdouh est déçu par la soudaine froideur de sa bien-aimée. Pour se consoler, il s’est rapproché de sa cousine Soheir qui a toujours rêvé de devenir sa femme…


Mardi 23 février à 12h30

Mon Père m’a Trompée de Mahmoud Zulficar (Khada'ani Aby, 1951)
avec Sabah (Kawthar), Taheyya Kariokka (la danseuse Taheya), Mahmoud Zulficar (Mamdouh), Zahrat Al Oula (Naïma, la fille de Shaban), Negma Ibrahim (Fatma, la première femme de Shaban), Mahmoud Shoukoko (Caruso, l’ami de Mamdouh), Mohamed El Bakkar (le chanteur Bakar), Hermine (une danseuse), Mohamed Sobeih (le barman), Abdel Ghani El Nagdi (le marchand), Sanaa Samih (la tante de Kawthar), Stephan Rosty (Shaban Bey, le mari de Kawthar), Mohsen Hassanein (un bandit), Abdel Aziz Al Ahmed (le père de Kawthar)
Scénario et dialogues : Mahmoud Zulficar, Aziza Amir, Saleh Gawdat
Musique : Farid Ghosn, Ahmed Sedky, Youssef Saleh, Mohamed El Bakkar
Production : Les Films Mahmoud Zulficar


Mamdouh est un artiste peintre qui peine à se faire apprécier de ses contemporains. Ses tableaux symbolistes attirent soit l’incompréhension, soit la moquerie. Il peut tout de même compter sur le soutien de son ami Caruso et de Kawtar, sa fiancée. Grâce à eux, Mamdouh ne perd pas espoir et continue de créer malgré les difficultés. Lui et Kawtar envisagent de se marier mais le père de la jeune fille s’oppose à ce projet. Il veut un gendre riche, capable d’assurer le bien-être de sa fille et de tous ses futurs petits-enfants. Le père de Kawthar rencontre Mamdouh et le convainc de renoncer à épouser sa fille. Le peintre se résigne à envoyer à sa bien-aimée une lettre de rupture. Kawthar est terrassée par le chagrin. Le temps passe. Caruso et Mamdouh ont bien du mal à joindre les deux bouts mais un soir, c’est la chance qui leur sourit. Grâce à leur intervention, un homme échappe à une agression. Cet homme s’appelle Shaban et pour les remercier, il leur laisse sa carte afin qu’ils puissent le joindre en cas de besoin. C’est ce que font les deux amis quelque temps après. Shaban possède une boîte de nuit et il leur propose d’y travailler. Caruso et Mamdouh sont soulagés : ils vont enfin sortir de la misère. Un soir, leur sauveur se rend dans son établissement accompagné de sa femme. Stupeur ! Sa jeune épouse est Kawtar, celle que Mamdouh n’a jamais cessé d’aimer…


Lundi 22 février à 22h

Une fenêtre sur le Paradis d’Ahmed Diaa Eddine (nafiza alal janna, 1953)
avec Mariam Fakhr Eddine (Samiha Farid), Mohsen Sarhan (Magdi Abdel Hamid), Omar El-Hariri (Tawfiq, le secrétaire de Farid Bey), Abdel-Wareth Asr (Farid Bey, le père de Samiha), Wedad Hamdy (Shalabiya), Zahrat Al Oula (Nadia Hanem, l’amie de Samiha), Thuraya Fakhry (la tante de Samiha), Soheir Fakhry (Aïcha, la sœur de Samiha), Abdel Aziz Al Ahmed (Suleiman), Abbas Rahmy (le médecin), Aziza Badr (la nourrice)
Scénario : Mohamed Kamal Hassan Al Mouhamy
Production : Paul Moradian


Drame. Samiha et son père, Farid Bey, sont les victimes d'un escroc. Celui-ci était le secrétaire particulier de Farid Bey et grâce à sa situation, il a non seulement dérobé la fortune de la famille mais il a abusé de la fille. Le père porte plainte pour le vol mais on préfère ne rien dire concernant le viol. Le secrétaire a fui à l’étranger si bien qu’il échappe à toute condamnation. Samiha donne naissance à une petite fille aveugle. L’enfant est confié à une nourrice qui doit l’élever dans le plus grand secret. Le temps passe. La jeune mère rencontre Magdi, un homme honnête qui l'aime sincèrement, mais elle le repousse pour ne pas avoir à révéler son lourd passé. C’est alors qu’elle apprend le retour en Egypte du père de sa fille…


Dimanche 21 février à 18h30

Salama va bien de Niazi Mostafa (Salama fi Kheir, 1937)
avec Naguib al Rihani (Salama), Amina Zehni (la belle-mère de Salama), Raqiya Ibrahim (Jihan Rostom), Hussein Ryad (le Prince Kindahar), Menassa Fahmy (l’assistant du prince), Mohamed Kamel Al Morsi (Bayoumi Morgan, le voisin de Salama), Rawhiya Khaled (Nahid, la servante de Jihan), Hassan Fayek (Fayek Rostom), Stephan Rosty (Rostom Pacha), Fouad Shafik (Khalil Hindawi, le propriétaire du magasin de tissus), Ferdoos Mohamed (la femme de Salama), Omar El Hariri (l’enfant), Fouad Al Masry (le directeur de l’hôtel), Edmond Tuema (un vendeur de tissus), Emile Asahiso (le comptable), Madame Gerbis (la mère de famille nombreuse, voisine de Salama)
Scénario : Badie Khairy et Naguib Al Rihani
Musique : Abdul Hamid Abdul Rahman et Mohamed Hassan Al Shugai
Production : les Studios Misr
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien


Comédie. Salama, employé dans un grand magasin de tissus, doit porter à la banque une grosse somme d’argent. Un incident sur le parcours le contraint à rester plusieurs heures au commissariat. Une fois libéré, il reprend sa course mais trop tard : la banque est déjà fermée. Il retourne au magasin et comble de malchance, la grille de l’entrée est baissée. Un panneau annonce une fermeture exceptionnelle en raison d’un heureux événement survenu dans la famille du directeur. Son domicile n’étant pas sûr, Salama décide de passer la nuit dans le luxueux Nefretiti Palace Hotel et de déposer sa précieuse sacoche dans le coffre de l’établissement. La situation se complique lorsqu’à la suite d’un quiproquo, il est pris pour le richissime Prince Kindahar du Baloudestan…


Samedi 20 février à 18h30

Le Fantôme de ma femme de Fateen Abdel Wahab (Ifrit meraty, 1968)
avec Shadia (Aïda), Salah Zulficar (Salah, un employé de banque, mari d’Aïda), Imad Hamdy (Raef), Adel Imam (un collègue de Salah), Hassan Hussein (un collègue de Salah), Amal Zayed (la mère d’Aïda), Hassan Mostafa (le directeur de la banque), Hala Fakher (Inayat, la sœur de Salah), Hussein Ismaïl (le serviteur de Raef), Nabila El Sayed (Anisa), Soheir Reda (la femme du directeur de banque), Ibrahim Safaan (un client d’Irma la Douce), Sayed Abdallah Hafez (Docteur Sami)
D’après une histoire de Lucien Lambert
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Musique : Mounir Mourad, Michel Youssef, Hussein El Sayed


Comédie. Le bonheur conjugal d’un jeune couple est mis à rude épreuve à cause d’une étrange maladie qu’a contractée la femme. A chaque fois qu’elle va au cinéma voir un film, elle rentre chez elle convaincue d’être l’incarnation de l’un des personnages dont elle vient de suivre les aventures. Les médecins ont averti le mari qu’il ne doit en aucun cas s’opposer au comportement délirant de sa compagne. Au contraire, il lui faut collaborer en jouant les rôles que dans ses divagations elle lui aura attribués. Tout se gâte quand elle se prend pour Irma la douce (célèbre personnage de prostituée) alors qu’elle et son mari reçoivent des invités…


Vendredi 19 février à 18h30

Le Rivage de l'Amour d'Henry Barakat (Chati' al-gharam, 1950)

avec Taheya Carioca (Soheir), Layla Mourad (Layla), Mohsen Sarhan (Raouf, l’ami d’Adel), Hussein Sedki (Adel), Salah Mansour (Kamal), Stephan Rosti (l’oncle d’Adel), Zaki Ibrahim (Taher Effendi, télégraphiste et père de Layla), Mimi Chakib (la tante d’Adel), Mona (Salwa, la cousine d’Adel), Wedad Hamdy (Magda), Edmond Tuema (le directeur de l’hôtel), Samiha Ayoub (Nargis)
Scénario et dialogues : Henry Barakat, Ali El Zorkani et Youssef Issa
Mélodies : Ahmed Sedky, Mohamed Al Qasabgi et Mohamed Fawzy
Production : Abdel Halim Nasr


Comédie sentimentale. Adel est un jeune homme riche qui ne s’est jamais préoccupé de l’amour. Il passe son temps dans les cabarets à fréquenter des femmes de mauvaise vie. Lors d’un séjour au bord de la mer, à Marsa Matruh, il tombe amoureux de Layla, une institutrice. Il demande sa main à son père qui accepte. Adel retourne au Caire accompagné de sa jeune épouse. Cette union ne fait pas que des heureux. L’ancienne maîtresse d’Adel n’apprécie pas du tout d’être ainsi abandonnée et sa tante est furieuse : depuis longtemps, elle caressait l’idée d’un mariage entre sa fille et son neveu afin de mettre la main sur la fortune du jeune homme. Elle fera tout pour séparer Adel et Layla…


Jeudi 18 février à 18h30

La Matrone d’Hassan Reda (El moallema, 1958)
avec Taheya Carioca (Tuha), Yahia Chahine (Maître Abbas), Mahmoud El Meleigy (Maître Hafez), Omar El-Hariri (Fathi, le jeune comptable de Tuha), Wedad Hamdy (la servante de Tuha), Mohamed Tawfik (Madbouly), Nagwa Fouad (la fille de la patronne de la maison close), Rafia Al Shal (la patronne de la maison close), Roheya Jamal (une prostituée), Nawal Attia (une prostituée), Suzi Khairy (la danseuse)
Scénario : El Sayed Bedeir et Hassan Reda (d’après Othello de William Shakespeare)
Musique : Fouad El Zahry, Ahmed Fouad Hassan, Saïd Morsi
Production : les films Taheya Carioca

Maître Hafez est un commerçant véreux qui se livre au trafic de drogue. Il est amoureux de Tuha, une commerçante elle aussi. C'est une femme d'âge mûr au caractère bien trempé. Elle dirige la petite boutique d’épices que son père avait fondée. Ses affaires sont prospères et elle a toute confiance en Fathi, son jeune comptable honnête et dévoué. Maître Hafez lui a manifesté sa flamme de manière insistante mais, malheureusement pour lui, le cœur de Tuha est déjà pris : elle aime Maître Abbas. Elle l’épouse et lui trouve une place dans son affaire. Mais Hafez n’a pas dit son dernier mot. En feignant d’être un grand ami d’Abbas, il s’ingénie à briser le couple. Sous son influence pernicieuse, le mari de Tuha devient alcoolique, violent et infidèle…


Mercredi 17 février à 16h30

Salut à ceux que j’aime d’Helmy Halim (Salam e alhabayib,1958)
avec Sabah (Sabah, la chanteuse), Ahmed Ramzy (Fathy), Zinat Sedki (Zinouba, la femme de chambre de Sabah), Abd El Fatah El Kosary (le propriétaire du cabaret), Ferdoos Mohamed (la mère de Fathy), Reyad El Kasabgy (le gardien de la maison), Mohamed Nabih (l’ami de Fathy), Naemet Mokhtar (la danseuse), Tousoun Motamad (un paysan), Hussein Ismaïl (un paysan), Abdel Moneim Basiony (un journaliste)
Scénario : Helmy Halim, Elsayed Bedeir, Kamel Telmisany
Musique : Mohammed Almogi, Mahmoud El Sherif
Production : Helmy Halim


Fathy est un jeune homme de bonne famille qui voue une admiration sans borne à la jeune chanteuse Sabah. Les murs de sa chambre sont couverts de toutes ses photos. Il veut assister au concert qu’elle donne ce soir et avec l’aide son camarade, il parvient à obtenir de sa mère la somme nécessaire pour payer les entrées. Quand les deux garçons arrivent devant le cabaret, ils constatent que toutes les places ont déjà été vendues. Malgré cela, ils parviennent non seulement à entrer dans l’établissement mais à rencontrer la vedette dans sa loge. Fathy est aux anges. Entre son idole et lui, la complicité est immédiate au point qu’ils se revoient régulièrement. Mais le jeune homme a un rival : le propriétaire du cabaret qui souhaite épouser son artiste. Si Sabah veut continuer à chanter, elle doit ménager son patron…


Mardi 16 février à 16h30

Ismaël Yassin dans la Police de Fateen Abdel Wahab (Ismaïl Yassin fel Police, 1956)
avec Ismail Yassin, Ellen Deatto, Zahrat Al Oula, Zinat Sedki, Roshdy Abaza, Sherifa Mahear, Reyad El Kasabgy, Hassan El Baroudy, Hassan Atla, Mohsen Hassanein, Ali Roushdy
Scénario : Fateen Abdel Wahab, El Sayed Bedeir, Mahmoud Sobhy
Musique : Fouad El Zahery


Zaki est un policier débutant, plein de bonne volonté mais très maladroit. Une nuit alors qu’il patrouille, il tombe sur deux malfrats en train de dévaliser l’appartement de madame Shamma. Il arrête l’un des voleurs mais son complice parvient à s’échapper. De retour au commissariat, Zaki conduit son homme en cellule puis accompagne au bureau de l’officier enquêteur un autre individu. Il ne sait pas que ce dernier qu’il prend pour un malfrat travaille en fait pour la police. Il est justement chargé d’infiltrer le gang auquel appartient le voleur que Zaki a arrêté. Epuisé par cette nuit bien remplie, notre policier débutant rentre chez lui. Dans son immeuble, il retrouve la jeune femme dont il est amoureux. L’entrevue tourne à la dispute : la demoiselle lui reproche ses horaires de travail et elle ne lui cache pas qu’elle est très attirée par un autre garçon qui habite l’immeuble. Zaki est évidemment très déçu. Sur le plan professionnel, la situation va aussi se dégrader : une nuit, il arrête l’homme rencontré au commissariat alors que celui-ci a pris en filature le chef du gang qui terrorise la ville. Par son intervention, Zaki fait échouer toute l’opération…



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