روتانا كلاسيك
Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.
Samedi 15 février à 18h30
Le Mariage Moderne de Salah Karim (Alzawaj a'ala altariqat alhaditha, 1968)
avec Soad Hosny (Noha), Hassan Youssef (Ahmed, le cousin de Noha), El Deif Ahmed, Samir Ghanem, (Samir), George Sedhom, Mohamed Reda (le père de Noha), Fatima Mostafa (la mère de Noha), Abdel Moneim Ibrahim (Kamal), Abbas Fares, Hassan Mostafa, Alya Abdel Moneim (Aziza, la sœur de Noha), Atef Makram, Inas Abdallah (la mère d'Ahmed), Eskandar Menassa (Hussein, le mari de la mère d'Ahmed), Helmy Hilaly, Badr Nofal
Scénario : Salah Karim
Musique : Saïd Salama, Mohamed Al Mogi, Fathy Qoura, Ali Ismail
Comédie musicale. Noha et son cousin Ahmed sont étudiants dans la même école d’ingénieur. Cet été, ils ont décidé de passer leurs vacances dans un camp près de la mer avec un petit groupe de leurs condisciples. Un jour, Ahmed part à la pêche sur un petit canot à moteur. Il tombe en panne en pleine mer et doit rejoindre le rivage à la nage. Noha est terriblement inquiète. Quand enfin Ahmed reparaît, elle comprend combien il lui est cher. C’est ainsi qu’entre les deux cousins va se nouer une tendre idylle. Ils ont décidé de se marier après les vacances mais les parents de Noha ne l’entendent pas ainsi. Un autre prétendant a leur faveur…
Mon amour pour toujours de Hussein Kamal (Habibi da'iman, 1980)
avec Nour al Sherif, Poussi, Saïd Abdel Ghani, Naïma Wasfi, Sawsan Badr, Sabri Abdul Aziz, Mariam Fakhr Eddine, Magda El Khatib, Ibrahim Kadri, Mervat Kazem, Ahmed Maher, Mohamed Kamel, Nadia Shams Eddine, Qadria Kamel
Une histoire de Youssef El Sebai
Scénario : Rafik El Saban
Dialogues : Kawthar Heikal
Musique : Gamal Salamah
Production : Nour al Sherif
Mélodrame. Pour contenter son père, Farida épouse Ossama, un richissime homme d’affaires bien qu’elle soit amoureuse d’Ibrahim, un jeune docteur sans fortune. Farida et Ossama s’installent à Paris. Pendant ce temps-là, Ibrahim devient un grand médecin et ouvre une clinique. Farida n’est pas heureuse avec son mari. Elle ne supporte pas la vie de débauche qu’il lui impose. Elle finit par divorcer et retourne en Egypte. Alors qu’elle se divertit avec des amis, Farida est prise de violents maux de tête et perd connaissance. Sa grand-mère téléphone à Ibrahim. Il accourt aussitôt. Le jeune médecin est toujours amoureux de Farida et quand il découvre qu’elle est atteinte d’un cancer, il décide de tout faire pour la sauver…
Jeudi 13 février à 22h
Amira mon Amour d'Hassan Al Imam (Amira Houbi Ana, 1975)
avec Soad Hosny, Hussein Fahmy, Imad Hamdi, Karima Mokhtar, Samir Ghanem, Hassan Mostafa, Nabil Badr, Mahmoud Shoukoko, Mahmoud El Tony
Scénario : Hassan Al Imam, Mamdouh El Leithy, Salah Gahin
Adaptation d'un passage du roman de Naguib Mahfouz, Miroirs (1972). Ce roman est constitué de courts chapitres indépendants, chacun évoquant la vie d’un personnage que le narrateur a rencontré à un moment ou à un autre de son existence. Le chapitre qui est à la base du scénario de ce film est intitulé « Abda Souleimane » (en français, éditions Babel, trad. de Najet Belhatem)
Musique : Fouad El Zahry, Mohamed Al Mogi, Sayed Darwich
Comédie musicale. Depuis la mort de son père, Amira doit subvenir aux besoins de sa mère ainsi qu’à ceux de ses frères et sœurs. Elle a trouvé un emploi dans une grande administration, au département traduction. Elle a peu de travail car le service compte un trop grand nombre d’employés mais sa gaieté, son charme et son dynamisme ont transformé agréablement l’atmosphère du bureau. Même son chef n’est pas insensible à son charme. Elle fait la connaissance d’Adel Naguib, l’un des cadres supérieurs de l’établissement. Le jeune homme a épousé Amina, la fille du directeur mais lui et sa femme ne s’entendent pas. En fait, Adel ne s’est marié que par ambition professionnelle et il n’éprouve aucun sentiment pour son épouse. Au fil des rencontres, Adel et Amira tombent amoureux l’un de l’autre. Ils se marient en secret…
Amour et Vengeance de Youssef Wahby (Gharam wa Intiqam, 1944)
avec Asmahan, Anwar Wagdi, Youssef Wahby, Mahmoud El Meleigy, Zouzou Madi,Amina Sherif, Beshara Wakim, Fouad El Rashidi, Mohamed Kamel, Fakher Fakher, Soad Ahmed, Thuraya Fakhry, Rashad Hamed, Abbas Rahmy, Ibrahim Hechmat
Musique : Mohamed Al Qasabji, Ryad Al Sunbati, Mohammad Hassan Al Shugai et Farid Al Atrache
Textes des chansons : Ahmed Rami, Bayram El Tunsi, Mahmoud Al Sinnawi
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien
Sohair, une chanteuse célèbre décide d’abandonner sa carrière pour épouser l’amour de sa vie, Wahid, un homme à la sulfureuse répuation, alcoolique et coureur de jupons. Malheureusement, celui-ci est tué la veille de la cérémonie. Le principal suspect est le compositeur Gamal Hamdy. Il est arrêté et interrogé par la police mais on ne trouve aucune preuve contre lui. Il est libéré. Sohair croise à nouveau la route du musicien lors d’une fête donnée par l’une de ses amies. Elle décide de faire semblant de tomber amoureuse de lui pour connaître toute la vérité et se venger…
Mardi 11 février à 18h30
avec Oum Kalthoum, Anwar Wagdi, Suleiman Naguib, Hassan Fayek, Zouzou Chakib, Saneya Shawky, Abdel Fatah El Kosary, Ferdoos Mohamed, Mohamed Al Dib, Mohamed Kamel, Hussein Asar, Othman Abaza, Abdel Hamed Zaki, Mohamed Kamel EL Masry
Scénario : Mustafa Amin, Badie Khairy
Musique : Abdul Hamid Abdel Rahman, Abdel Halim Noweira
Drame. Fatma est infirmière chez un pacha dont l’état nécessite un traitement lourd. Fathy, le frère cadet du maître de maison, est tombé amoureux de la jeune femme. Il multiplie les tentatives pour la séduire mais Fatma reste de marbre. Fou de désir, Fathy se résout à la demander en mariage. L’infirmière accepte. Après un voyage de noces qu’ils passent à Alexandrie, ils sont obligés de s’installer dans le modeste logement des parents de Fatma. En effet, le père de Fathy n’a pas accepté ce mariage et il est furieux contre son fils. Très vite, le jeune marié se lasse de cette existence austère dans un quartier populaire. Le luxe et les plaisirs de sa vie d'antan lui manquent. Il finit par abandonner Fatma pour retourner dans sa famille. Quelques mois plus tard, l’épouse délaissée donne naissance à un enfant. Fathy refuse de le reconnaître…
Les Rivages de l'Amour d'Henry Barakat ( Shatie El Hub, 1961)
avec Farid Al Atrache, Samira Ahmed, Kariman, Sherifa Mahear, Taheya Carioca, Fakher Fakher, Ahmed Loxer, Nahed Samir, Salah Nazmi, Katkota
Scénario : Henry Barakat, Abdel Aziz Salam, Youssef Issa
Musique : Farid Al Atrache
Production : les films Farid Al Atrache
A ne pas confondre avec Le Rivage de l'Amour (Shati' el-gharam), un film qu’Henry Barakat réalisa en 1950.
Comédie musicale. Layla a grandi seule avec son père, le docteur Ibrahim. Celui-ci a toujours prétendu que sa mère était morte alors qu’elle était bébé. Layla est devenue une ravissante jeune fille. Un jour, elle fait la connaissance de Mamdouh, un célèbre chanteur. Ils tombent amoureux l’un de l’autre. Mamdouh fait sa demande en mariage auprès du père de Layla mais celui-ci manifeste une certaine réticence. La jeune fille finit par apprendre que sa mère n’et pas morte mais qu’elle est danseuse dans un cabaret. Son père tente de convaincre son ancienne épouse de renoncer à son activité pour ne pas mettre en péril le projet de mariage de leur fille mais le propriétaire du cabaret s’y oppose. Pendant ce temps-là, Mamdouh est déçu par la soudaine froideur de sa bien-aimée. Pour se consoler, il s’est rapproché de sa cousine Soheir…
L'épouse n°13 de Fateen Abdel Wahab (al-Zaawgah raqam talata'ch, 1962)
avec Rushdy Abaza , Shadia, Abdel Moneim Ibrahim, Shwikar, Hassan Fayek, Zeinat Olwi, Wedad Hamdy, Zeinab Sedky, Mahmoud Lotfi, Helen, Ahmed Amer
Scénario et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary et Ali El-Zorkani
Musique : Fouad El Zahry
Production : Gamal El Leithy Films
appréciation : 3/5
Comédie. Mourad est un homme d’affaires qui dirige une usine de textile. C’est aussi un véritable Dom Juan. A Alexandrie, il rencontre Aïda, fille d’un ancien ministre. Il entreprend de la séduire mais celle-ci résiste à ses assauts répétés. Il décide alors de s’attirer les bonnes grâces du père : il l’aide à régler de petites dettes, l’invite au restaurant et lui demande la main de sa fille. Mourad a bien l’intention de divorcer aussitôt qu’il aura obtenu les faveurs de la belle. Aïda ne pouvant lutter contre la coalition formée par son père et son amoureux, finit par accepter le mariage. A peine mariée, elle a la visite de Karima, une ancienne épouse de Mourad qui lui apprend qu’elle est la treizième jeune femme à convoler avec celui-ci.
Samedi 8 février à 16h30
Mon Amour Brun d'Hassan El Seify (Habibi Al Asmar, 1958)
avec Samia Gamal (Samara), Taheya Carioca (Zakia), Youssef Wahby (Rostom Bey), Chukry Sarhan (Ahmed), Shafik Nour El Din (le père de Samara), Riri (danseuse), Abdel Aziz Kamel, Mahmoud El-Meliguy, Stephan Rosti, Thuraya Fakhry, Mohamed Tawfiq
Scénario : Mahmoud Ismaïl
Musique : Attiah Sharara
appréciation : 3/5
Samara est une jeune femme d’origine modeste fiancée à Ahmed, un mécanicien. Elle adore la danse et elle sympathise avec Zakia, une voisine qui justement est danseuse. Cette dernière invite Samara à se rendre dans le théâtre où elle se produit. La jeune femme parvient à échapper à la vigilance de ses parents et rejoint sa nouvelle amie sur son lieu de travail. Là, elle rencontre un homme fortuné qui n’est pas insensible à son charme. Après avoir hésité, elle accepte finalement de l’épouser. Elle pense que c’est la seule manière d’échapper à la pauvreté. Son mari la couvre de cadeaux luxueux, elle est enfin heureuse. Mais quand Ahmed apprend son mariage, il veut se venger. Zakia intervient et afin de l’apaiser lui présente un homme d’affaires qui l’engage pour une opération douteuse. Ahmed change de nom et s’envole pour le Liban.
Héros jusqu'au bout de Houssam Al Din Mustafa (Batal lil Nihaya (1963)
avec Lotfy Abdel Hamid, Farid Shawki, Laila Taher, Mahmoud El-Meleigy, Tawfik El Deken, Nahed Samir, Ali Roshdy, Helen, Nazim Sharawi, Mohamed El Dafrawi, Khristo Kladakis, Abdel Badi El Arabi, Badr Nofal, Mohsen Hassanein
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Thriller. Hafez Amin dirige un orphelinat à Alexandrie. C’est un homme estimé. En fait cette honorable fonction au sein d’une œuvre de bienfaisance est une couverture pour dissimuler ses activités criminelles : il est à la tête d’un gang dont la spécialité est le kidnapping des enfants de familles fortunées. Il s’en prend notamment aux personnalités qui composent le conseil d’administration de son orphelinat. Il les menace d’enlever leur enfant s’ils refusent de payer la rançon demandée. La plupart des familles accepte le marché et se garde bien de prévenir la police. Cette dernière finit par être alertée. On fait appel à Ibrahim, un ancien gangster qui a payé sa dette à la société, pour qu’il s’infiltre dans l’organisation criminelle…
Jeudi 6 février à 18h30
Hassan et Nayma d'Henry Barakat (1959)
avec Muharam Fouad (Hassan), Soad Hosny (Naïma), Wedad Hamdy (Fatima), Hassan El Baroudy (Abdulaq), Mahmoud El Sabba (Atwa), Hussein Assar (Metwali), Naïma Wasfi (mère d’Hassan), Lotfy El Hakim (le maire), Layla Fahmy (servante), Neimat Mokhtar (danseuse), Hussein Ismaïl, Mohamed Tawfik, Abdelalim Khattab, Ibrahim Saafan
d’après un récit d’Abdel Rahman El Khamisy
Scénario : Henry Barakat et Abdel Rahman El Khamisy
Musique : Mohamed Abdel Wahab, Morsi Gamil Aziz, André Ryder, Mohamed Al Mogi, Abdel Rahman El Khamisy
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien
Drame. Metwaly est un riche paysan qui ne pense qu’à accroître sa fortune et agrandir son domaine. Sa fille Naïma est tombée amoureuse d’un jeune chanteur du nom d’Hassan. Régulièrement, ils se retrouvent en cachette et se promettent l’un à l’autre. Malheureusement Metwaly a d’autres projets pour sa fille. Il souhaite qu’elle épouse Atwa, plus vieux mais surtout beaucoup plus riche qu’Hassan. Les deux amoureux décident de s’enfuir...
C'est le premier film de Soad Hosny. Elle a quinze ans.
Mercredi 5 février à 16h30
Amour et Exécution de Kamal El Sheikh (Hub wa idam, 1956)
avec Imad Hamdy (Magdi Shaker), Samira Ahmed (Amira), Mahmoud El Meleigy (Morsi, l’amant de la belle-mère d’Amira), Aida Helal (Souad, la belle-mère d’Amira), Wedad Hamdy (Jamila, la servante de la voisine), Adly Kasseb (le procureur général), Abbas Fares (le père d’Amira), Amina Rizk (la mère d’Amira), Aziza Helmy (l’infirmière), Fattoh Nashaty (le médecin), Amal Wahid (Zakia, la voisine)
Scénario et dialogues : Mohamed Kamel Hassan Mouhami
Musique : Abdel Aziz Amer et Mohamed Kamel Hassan Mouhami
Thriller. Amira vit avec sa mère atteinte d’une maladie incurable. Son père les a quittées pour épouser une autre femme. La situation financière de la mère et de la fille devient très difficile. Amira décide de se rendre chez son père pour lui demander de l’argent. Le ton monte très vite, il refuse. Elle sort, abattue mais elle revient le lendemain pour tenter à nouveau de convaincre le vieil homme. Quand elle entre dans l’appartement, elle découvre son père inanimé dans un fauteuil. Il est mort.
Mardi 4 février à 18h30
Wedad de Fritz Kramp (1936)
avec Oum Kalthoum , Ahmed Alam, Menassa Fahmy, Fattouh Nashaty, Kouka, Mahmoud El Meleigy, Mokhtar Othman, Fouad Fahim, Hassan El Baroudi, Ibrahim Emara, Alfred Haddad, Fouad Selim
Histoire : Ahmed Rami
Scénario : Ahmed Badrakhan
Musique : Mohammed Al-Qasabji, Zakaria Ahmed, Riad El Sonbati
Baher est un riche marchand qui vit une belle histoire d’amour avec son esclave, Wedad. Celle-ci a une voix unique et elle chante souvent pour le plaisir de son maître et de ses invités. Le bonheur des deux amants serait resté sans nuage si un jour, le pillage de l’une de ses caravanes n'avait pas conduit Baher à la faillite. Pour qu’il puisse rembourser ses créanciers, Wedad est vendue à un vieillard fortuné qui l’emporte dans son pays…
Lundi 3 février à 18h30
Le Fils de Satan d'Houssam Al-Din Mustafa (Ibn Al-Chaytan, 1969)
avec Farid Shawki, Mahmoud El-Meleigy, Tawfik El Deken, Nagla Fathy, Ibrahim Khan, Naemet Mokhtar, Samir Waley Eddine, Ahmed Abu Abya, Kamal El Zeiny, Ahmed Morsi, Hussein Ismaïl, Aleya Abdel Moneim, Abbas El Daly
Scénario et dialogues : Adly El Mowalid
appréciation : 2/5
Dimanche 2 février à 22h
Le Suicide du Propriétaire de l’Appartement d’Ahmed Yehia (Intihar Saheb Al-shaqqa, 1986)
Le Fils de Satan est un criminel qui terrifie tout un village. Il apparaît toujours masqué et revêtu d’une combinaison noire. Ses victimes sont les hommes qui se remarient après avoir abandonné leurs enfants et leur première femme. Il veut ainsi se venger de son propre père qui s’était remarié. Les meurtres se multiplient. L’enquête est confiée au sergent Morsi. Au départ il soupçonne le fou du village qui proclame être le Fils de Satan. Mais aucune preuve ne permet de l’inculper. Atris, un commerçant qui possède le café de la commune refuse d’y organiser des mariages de peur que le tueur en série s’en prenne à lui. Ibrahim, le frère de Morsi, vient passer des vacances au village. Il est kidnappé par le criminel. Il est libéré peu après par Saidia, une jeune fille qui, avec sa mère, réside chez le vieux fou (en fait, ils sont frère et sœur). L’étudiant et sa sauveuse tombent amoureux l’un de l’autre mais la vie de Saidia est désormais en danger : le Fils de Satan est à ses trousses.
Dimanche 2 février à 22h
Le Suicide du Propriétaire de l’Appartement d’Ahmed Yehia (Intihar Saheb Al-shaqqa, 1986)
avec Nabila Ebeid (Farida), Kamal Al Shennawi (Abdel Aziz), Hatem Zulfikar (Hamdi), Taheya Carioca (la belle-mère de Farida), Mimi Gamal (Mervat), Wael Nour (le frère d’Hamdi), Liza (la petite fille), Amel Ibrahim (Sawsan), Samia Mohsen (Fahima, la femme de l’oncle de Farida), Hosny Abdel Jalil (l’oncle de Farida), Etedal Chahine (la directrice d’école)
Une histoire d'Ihsan Abdul Quddus
Scénario : Mostafa Moharam
Musique : Hassan Abo El Suood, Yehia Al Muji
Farida est mariée à Hamdi et tous les deux vivent encore dans l’appartement de la famille de celui-ci. Epoux à la ville, ils sont aussi devenus collègues au bureau. Mais voilà, Farida ne supporte plus l’attitude de sa belle-mère qui fait tout son possible pour monter son fils contre elle. N’y tenant plus, elle finit par quitter son mari et s’installe chez une collègue. Abdel Aziz, le directeur de la société pour laquelle elle travaille ne lui a jamais caché tout l’intérêt qu’il lui portait. Après son divorce, Farida accepte de l’épouser. Elle ne tarde pas à comprendre que son nouveau mari a non seulement un certain penchant pour l’alcool mais que c’est aussi un coureur de jupons invétéré. Après l’avoir quitté une première fois, elle revient avec une idée très précise en tête : devenir l’unique propriétaire du luxueux appartement de son mari…
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