Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.
Jeudi 31 janvier à 16h
Mes Jours Heureux d’ Ahmed Diaa Eddine (Ayami Al Saida, 1958)
avec Fayrouz, Hassan Fayek, Abd El Fatah El Kosary, Farouk Agrama, Gawaher, Mohamed El Dib, Mimi Chakib, Abdel Moneim Ibrahim, Karima
Scénario et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Baligh Hamdy et Ahmed Fouad Hassan (leader du groupe Al Massiah)
Saad Abou Saad est un musicien qui a bien du mal à joindre les deux bouts. Comble de malchance : il est renvoyé du cabaret où il accompagnait une danseuse. Il finit par trouver un nouvel emploi chez Maher Taher, un millionnaire. Il doit donner des cours de chant et de piano à Azzaz, sa fille unique. Cette dernière ne tarde pas à tomber amoureuse de son nouveau professeur. Mais c’est sans compter la belle-mère de la jeune fille qui souhaiterait faire passer Saad Abou Saad pour son amant afin de susciter la jalousie de son millionnaire de mari…
Mercredi 30 janvier à 18h30
Mercredi 30 janvier à 18h30
Les Rivages de l'Amour d'Henry Barakat ( Shatie El Hub, 1961)
avec Farid Al Atrache, Samira Ahmed, Kariman, Sherifa Mahear, Taheya Carioca, Fakher Fakher, Ahmed Loxer, Nahed Samir, Salah Nazmi, Katkota
Scénario : Henry Barakat, Abdel Aziz Salam, Youssef Issa
Musique : Farid Al Atrache
Comédie musicale. Layla a grandi seule avec son père, le docteur Ibrahim . Celui-ci a toujours prétendu que sa mère était morte alors qu’elle était bébé. Layla est devenue une ravissante jeune fille. Un jour, elle fait la connaissance de Mamdouh, un célèbre chanteur. Ils tombent amoureux l’un de l’autre. Mamdouh fait sa demande en mariage auprès du père de Layla mais celui-ci manifeste une certaine réticence. La jeune fille finit par apprendre que sa mère n’et pas morte mais qu’elle est danseuse dans un cabaret. Son père tente de convaincre son ancienne épouse de renoncer à son activité pour ne pas mettre en péril le projet de mariage de leur fille mais le propriétaire du cabaret s’y oppose. Pendant ce temps-là, Mamdouh est déçu par la soudaine froideur de sa bien-aimée. Pour se consoler, il s’est rapproché de sa cousine Soheir…
Mon Coeur me Guide d'Anwar Wagdi (Kalbi Dalili, 1947)
avec Laïla Mourad, Anwar Wagdi, Stephan Rosti, Zouzou Chakib, Bashara Wakim, Hassan Fayek, Farid Shawki, Saïd Abou Bakr, Abdel Aziz Al Ahmed, Abdel Hamid Zaki, Mohamed Kamel, Menassa Fahmy, Ismaïl Yassin, Reyad El Kasabgy, Mahmoud Shoukoko
Scénario : Aboul Seoud Al Ebiary
Musique : Mohamed Al Qasabji et Mohamed Fawzi
Comédie musicale. La police est avertie qu’une fille doit arriver par le train au Caire avec une valise remplie de drogue. Les enquêteurs ont la description précise de la criminelle. A la gare, ils font le guet. Des hommes appartenant à un gang sont aussi présents pour récupérer la fille et son précieux bagage. Quand le train arrive à destination, la complice des gangsters remarque tous ces policiers sur le quai. Elle parvient à disparaître dans la foule. Laïla, une jeune étudiante, descend du train. Elle correspond au signalement donné aux enquêteurs. Ils l’arrêtent. ..
Lundi 28 janvier à 16h
avec Houda Shams El Din, Mohamed Amin, Ismail Yassin, Abd El Fatah El Kosary, Zinat Sedki, Mimi Aziz, Abdel Mona'em Saoudi, Sayed Abdallah Hafez, Mohsen Hassanein, Abdel Hamid Badawy
Scénario : Gamal Hamdy
Musique : Mohamed Amin et Mohamed Abdel Wahab
Comédie musicale. Abdel Fattah est un homme riche qui dirige un cabaret. Il est très amoureux de l’une de ses danseuses mais son physique ingrat ne lui laisse aucun espoir. Mohamed et Ismaïl sont deux garçons sans le sou qui cherchent du travail. Un soir, ils prennent un verre dans le cabaret d’Abdel Fattah. Ils obtiennent des informations sur la situation sentimentale du directeur grâce à un serveur plutôt bavard. Cela leur donne une idée. Le lendemain, ils se présentent à Abdel Fattah comme les représentants d’une compagnie d’assurance un peu particulière : elle est spécialisée dans l’amour et garantit à ses clients le succès dans leurs projets matrimoniaux. Abdel Fattah accepte de souscrire un contrat. Mais à une condition : que les deux jeunes gens restent avec lui pour vérifier la véracité de leurs affirmations. Les choses ne se passent pas comme prévu. Mohamed tombe amoureux de la danseuse et Ismaël de sa tante qui était courtisée par un vieil ami du directeur.
Dimanche 27 janvier à 16h
Mon Amour Brun d'Hassan El Seify (Habibi Al Asmar, 1958)
avec Samia Gamal, Taheya Carioca , Youssef Wahby, Chukry Sarhan, Mahmoud El-Meliguy, Stephan Rosti, Thuraya Fakhry, Mohamed Tawfiq, Shafik Nour El Din, Abdel Aziz Kamel, Riri
Scénario : Mahmoud Ismaïl
Musique : Attiah Sharara
appréciation : 3/5
Samara est une jeune femme d’origine modeste fiancée à Ahmed, un mécanicien. Elle adore la danse et elle sympathise avec Zakia, une voisine qui justement est danseuse. Cette dernière invite Samara à se rendre dans le théâtre où elle se produit. La jeune femme parvient à échapper à la vigilance de ses parents et rejoint sa nouvelle amie sur son lieu de travail. Là, elle rencontre un homme fortuné qui n’est pas insensible à son charme. Après avoir hésité, elle accepte finalement de l’épouser. Elle pense que c’est la seule manière d’échapper à la pauvreté. Son mari la couvre de cadeaux luxueux, elle est enfin heureuse. Mais quand Ahmed apprend son mariage, il veut se venger. Zakia intervient et afin de l’apaiser lui présente un homme d’affaires qui l’engage pour une opération douteuse. Ahmed change de nom et s’envole pour le Liban.
La balle est encore dans ma poche d’Houssam Al Din Mustafa (Alrosasa la tzal fi gaibi, 1974)
avec Nagwa Ibrahim (Fatimah), Mahmoud Yassin (Mohamed), Hussein Fahmy (Marwan), Youssef Shaaban (Abbas), Said Saleh (Khalil), Abdel Moneim Ibrahim (Azouz), Salaa El Sadani, Ahmed El Gezeiry (oncle de Mohamed et père de Fatimah), Ehsan Sherif (la mère de Mohamed), Mourad Suleiman, Hayat Kandel, Mohamed Abou Hashish, Hanem Mohamed
Scénario d'Ihsan Abdul Quddus
Musique : Omar Khorsheid
Film de guerre. Mohamed est un jeune étudiant qui vit dans un village au bord du Nil. Il est indigné par la corruption qui règne dans sa commune. Le principal responsable : Abbas, un notable tout-puissant qui vend au marché noir semences et engrais. La situation devient intenable pour Mohamed du fait que son oncle est l’un des complices d’Abbas et que cet oncle est aussi le père de la femme qu’il aime, Fatimah. En juin 1967, éclate la guerre des six jours. Mohamed part combattre les forces israëliennes. Le conflit se termine par une défaite humiliante pour l’Egypte. Après un séjour dans un hôpital militaire, Mohamed retourne dans son village. Il est accueilli par le mépris des uns et les moqueries des autres…
Le Rivage de la Gaieté de Houssam Al Din Mustafa (Chatei el Marah, 1967)
avec Nagat El Saghera (Norah), Hassan Youssef (Houssam), Youssef Fakhr El Din (Hamada), Samia Shokri (Riri), Samir Ghanem (ami d’Houssam), George Sedhom (ami d’Houssam), El Deif Ahmed (ami d’Houssam), Abdel Moneim Madbouly (le professeur Raafat), Nahed Yousri, Shahinaz Taha (Salli, la sœur de Norah), Nabil El Zakzouky, Mimi Chakib (Aziza, la femme du professeur), Adly Kasseb (le père d’Houssam)
Scénario et dialogues : Abdel Fattah El Sayed
Musique : Mohamed Abdel Wahab
Comédie musicale. Un professeur laisse ses deux grandes filles, Norah et Sally, partir seules pour quinze jours de vacances à Ismaïlia avec leur club. Craignant pour leur vertu, l’universitaire demande à Houssam, le fils de son meilleur ami, de les accompagner pour les surveiller discrètement. Le jeune homme qui est musicien accepte la mission et se rend à Ismaïlia avec les trois membres de son groupe. Les quatre garçons s’installent dans le même hôtel que Norah, Sally et leurs camarades. A peine arrivé, Houssam découvre que Norah est courtisée par Hamada, un pensionnaire de l’hôtel…
Jeudi 24 janvier à 16h
Tue-moi, s’il te plait d'Hassan El Seifi (Iktilny minfadlak, 1965)
avec Fouad El-Mohandes, Shweikar, Abdel Moneim Madbouly, Abu Bakr Ezzat, Abdelsalam Mohamed, Hassan Hamed, Sayed Al Arabi
Scénario : Ahmed Mula
D’après une histoire d’Hassan Hamed
Musique : Fathy Qora et Izzat Al Jahili
Comédie. Mahmoud a appris qu’il n’avait plus que quelques semaines à vivre. Il rompt avec sa fiancée et décide de se suicider chez lui. Alors qu’il s’apprête à mettre à exécution son funeste projet, il est interrompu par un cambrioleur. Mahmoud a une idée : il paie son visiteur pour que celui-ci le tue à une date et dans un lieu que lui seul aura choisi. Ainsi, notre héros passera de vie à trépas sans s’en apercevoir. Peu après, Mahmoud est informé que le diagnostic était faux et qu’il est en excellente santé. Malheureusement, il ne sait pas comment joindre son cambrioleur pour lui signifier l’annulation du contrat.
Mercredi 23 janvier à 16h
Madame Fayrouz d’Abbas Kamel (Firouz Hanem, 1951)
avec Taheya Carioca, Hassan Fayek, Fayrouz, Stephan Rosti, Ferdoos Mohamed, Adel Abbas, Abdel Moneim Ismail, Abdel Fatah El Kosary, Mohamed El Bakkar, Mahmoud Reda, Lola Abdou, Abdel Hamid Zaki, Hassan Attalah
Scénario : Abbas Kamel
Musique : Fathy Qoura, Mohamed El Bakkar, Ali Farraj
Comédie musicale. Fayrouz a neuf ans, elle est orpheline et elle a hérité de la fortune de son père. Adel Bey est son tuteur et c’est lui qui s’occupe de ses affaires. En fait, cet homme est un escroc qui avec l’aide de son secrétaire falsifie les comptes afin de capter l’héritage de sa pupille. Il a besoin de beaucoup d’argent notamment pour satisfaire une maîtresse très exigeante. Mais malgré son jeune âge, Fayrouz ne va pas se laisser faire et quand Adel Bey, pour dissimuler ses propres turpitudes, accuse de vol un petit garçon pauvre avec qui elle avait sympathisé, la fillette va elle-même au commissariat pour obtenir la libération de son ami….
Mardi 22 janvier à 22h
Antar le valeureux ou Antar le prince noir de Niazi Mostafa (Antar Ibn Shaddad,1961)
avec Farid Shawki, Kouka, Said Abou Bakr, Abdel Alim Khattab, Samar Ateia, Ferdoos Mohamed, Hassan Hamed, Wedad Hamdy, Fakher Fakher, Nour El Demerdash, Layla Fahmy, Abdel Khalek Saleh
Scénario et dialogues : Niazi Mostafa, Abdel Aziz Salam, Bayram El Tunsi
D’après une histoire de Mohamed Farid Abu Hadid
Musique : Aly Ismaïl
Epopée. D’après une légende qui évoque la vie d’un héros valeureux à l’époque antéislamique. Antar est le fils que le prince Shaddad a eu avec son noire africaine Zubaïda. Il n’a pas été reconnu par son père et il mène une vie d’esclave auprès de sa mère. Il aime sa cousine Abla sans espoir de la conquérir en raison de sa misérable condition. A deux reprises, il manifeste aux yeux de tous sa force et son courage en repoussant seul des groupes de cavaliers venus pour s’emparer des femmes. Malgré la haine que lui voue l’épouse légitime de son père, ses exploits lui permettent d’être affranchi et de rejoindre le peuple des hommes libres. Peut-être va-t-il pouvoir épouser Abla qui a été conquise par son courage et sa droiture. C’est sans compter le père de la jeune fille qui veut s’opposer à cette union par tous les moyens…
Lundi 21 janvier à 18h30
Un Bienfaiteur d’Helmy Rafla (Fa'el Kheir , 1953)
avec Mohamed Fawzy, Sabah, Ismail Yassin, Zomoroda, Abdel Ghany Kamar, Menassa Fahmy, Zaki Ibrahim , Abdel Aziz Al Ahmed, Ferdoos Mohamed, Zeinat Elwy, Abdel Moneim Basiony, Abdel Meguid Choukry, Anwar Zaky , Abdel Ghani El Nagdi , Mohsen Hassanein, Shaladimo, Aziza Badr, Kawthar Shafik, Rashad Hamed , Abdel Hamid Badawy, Fawzya Ibrahim
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique et chansons : Mohamed Fawzy, Abdel Aziz Salam, Fathy Qoura, Saleh Gawdat, Mustafa Abdel Rahman
Comédie musicale. Khaïry vit avec ses parents dans un quartier populaire de la ville. Il est réparateur de vélos et il travaille dans un petit atelier avec un ouvrier du nom d’Hamido. Toutes les maisons du secteur appartiennent à une riche jeune femme, Elham Anim, qui a confié la gestion de ses affaires à un homme impitoyable. Khaïry, lui, a le cœur sur la main et il n’hésite pas à venir en aide aux gens du quartier tant et si bien qu’il lui arrive d’avoir les plus grandes difficultés à payer son loyer. Un soir, il trouve sur la route un bébé abandonné. Dans ses langes, il y a une lettre écrite par la mère de l’enfant : elle annonce qu’elle s’est suicidée. Son mari est mort et son père a refusé de la reprendre, elle et son enfant, car elle s’était mariée sans son consentement. Khaïry décide de se rendre chez le grand-père avec le bébé. Le jeune homme est impressionné par le luxe de la demeure. Il fait la connaissance de Soheir, la sœur de la suicidée avec qui il sympathise immédiatement. Puis arrive le maître des lieux. Celui-ci reste intraitable et il le chasse, lui et l’enfant, tandis que Soheir est terrassée par le chagrin. Khaïry et ses parents décident donc de s’occuper du nourrisson. Peu après, Soheir frappe à la porte de leur appartement. Elle veut contribuer à l’entretien et à l’éducation de l’enfant contre la volonté de son père. Elle est accueillie à bras ouverts mais on refuse son argent. Un peu plus tard, Khaïry chante dans un mariage. Depuis la rue, Elham Anim, l’héritière fortunée qui possède toutes les maisons du quartier, entend la voix de notre héros. Elle est immédiatement sous le charme. Elle parvient à entrer en contact avec le jeune homme qui, grâce à son soutien, va connaître la gloire et la fortune. Bien évidemment, Khaïry n’a pas pour autant oublié Soheir…
Dimanche 20 janvier à 22h
Yasmine d’Anwar Wagdi (1950)
avec Anwar Wagdi, Madiha Yousri, Zaki Rostom, Abdelhalim Nasr, Feyrouz, Reyad El Kasabgy, Zinat Sedki, Zaki Ibrahim, Mohamed Kamel, Violette Sidaoui, Philip Kemal, Tousoun Motamad, El Thoukhy Tawfiq, Shafiq Nour El Din, Gina, Ali Abdel Al, Mimi Aziz
Scénario : Anwar Wagdi, Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Mohamed El Bakkar, Mounir Mourad, Mahmoud El Sherif
Comédie musicale. Yasmine a été abandonnée à la naissance. Elle est recueillie par une bande de pickpockets qui l’élèvent et l’initient à leur « art ». Avec ses compagnons, Yasmine chante et danse dans des cabarets. Et tandis que les clients sont tout attendris par cette petite fille si talentueuse, elle en profite pour s’approcher d’eux et leur subtiliser argent et objets de valeur. Un jour, elle rencontre Wahid, un trompettiste au chômage. Il lui propose de créer un numéro à deux et lui demande surtout de ne plus voler. Yasmine accepte mais cette vie « honnête » finit par l’ennuyer et elle retourne chez ses amis pickpockets. Entre temps, Wahid découvre que Yasmine est la fille d’un homme très riche…
Samedi 19 janvier à 22h
Illusions d’Amour de Salah Abou Seif (El Wesada Elkhalya, 1957)
avec Abdel Halim Hafez, Zahrat Al Oula, Ahmed Ramzy, Omar El Hariri, Abdel Moneim Ibrahim, Abdel Wares Asr, Kawthar Shafik
D’après une histoire d’Ishan Abdul Quddus
Scénario et dialogues d’El Sayed Bedeir
Musique : Kamal El Tawil, Mamoun Al Shinnawi, Mounir Mour ad, Mohamed Al Mogi, Ismaël El Habrouk
Drame chanté. Alors qu’il arpente les rues du Caire avec ses deux meilleurs amis, Salah fait la connaissance de Samiha. Entre eux, c’est immédiatement le grand amour. Mais leur bonheur est de courte durée car Samiha doit épouser un médecin. L’étudiant pauvre ne peut rivaliser. Il essaie d’oublier celle qu’il aime en passant ses nuits à boire dans les cabarets. Il rencontre une jeune femme qui est éperdument amoureuse de lui mais cela ne suffit pas à lui redonner le goût de vivre. Une nuit, alors qu’il a bu plus que de raison, il a un malaise. Il est hospitalisé. Le médecin qui le soigne est le mari de Samiha…
Vendredi 18 janvier à 22h
Echange de Bons Procédés d’Ali Badrakhan (Shelny we Ashilak, 1977)
avec Mohamed Awad, Mohamed Reda, Nisreen, Abu Bakr Ezzat, Khayria Ahmed, Nabila El Sayed, Malak El Gamal, Hassan Mostafa, Abdallah Farghaly, Ibrahim Saafan, Mohamed Shawky, Mahmoud El Gendy, Mohamed Ahmed El Masry
Scénario et dialogues : Salah Gahin
Musique : Shaban Abu Saad
Comédie. Alaa a vécu toute sa jeunesse dans une forêt africaine. Alors que son père est au seuil de la mort, le gouverneur du pays convainc Alaa qu’il doit retourner en Egypte. Mais son installation dans son pays d’origine lui réserve bien des surprises et le pauvre garçon doit affronter les problèmes les plus divers. Heureusement, une jeune fille consent à lui venir en aide : elle va lui apprendre à lire et à écrire la langue arabe. Entre les deux personnages, les sentiments évoluent très vite…
Jeudi 17 janvier à 16h
Je suis libre de Salah Abou Seif (Ana Hurra, 1959)
avec Lobna Abdel Aziz, Zouzou Nabil, Hussein Riad, Hassan Youssef, Shukry Sarhan, Kamal Yassin, Layla Karim, Gamil Ezz Eddin, Gamalat Zayed, Ali Reda, Victoria Hobeika, Fifi Sayed, Aziza Badr, Kamal Al Zeiny, Abel Moneim Basiony
Scénario de Naguib Mahfouz d'après un roman d'Ihsan Abdul Quddus
Dialogues : El Sayed Bedeir
Musique : Fouad El Zahry
Amina vit chez sa tante et son oncle. Ceux-ci mènent une existence austère régie selon une morale très stricte. Amina ne supporte pas cette vie et finit par se révolter. Un ingénieur la demande en mariage. Son oncle et sa tante sont ravis : c’est une occasion rêvée de se débarrasser de cette nièce bien insolente. Amina refuse l’union proposée et retourne chez ses parents…
Mercredi 16 janvier à 22h
Quatre filles et un officier d'Anwar Wagdi (Arba banat wa dabit, 1954)
avec Negma Ibrahim, Naïma Akef, Anwar Wagdi, Zinat Sedki, Wedad Hamdy, Abdel Wares Asr, Amina Risk, Ragaa Youssef, Awatef Youssef, Lebleba, Fouad Fahim, Ahmed Darwich, Shafik Nour El Din, Zizi El Badraoui, Samïa Mohamed
Scénario et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary et Anwar Wagdi
Musique : Mounir Mourad, Ahmed Sabra, André Ryder, Fathy Qoura
Comédie musicale. Naima est une jeune orpheline qui a été placée en maison de correction. Elle est tombée amoureuse de l’officier chargé de la discipline et de la sécurité au sein de l’établissement. Un soir au dortoir, Naima montre à ses trois meilleures camarades la photo de l’élu de son cœur. Pour échapper à la surveillance de la gardienne, elles se sont réfugiées sous un lit et l’une des filles tient une bougie allumée. Soudain, la literie s’embrase. En quelques secondes, les flammes se propagent à l’ensemble des lits du dortoir. C’est l’incendie…