روتانا كلاسيك
Quels films peut-on voir sur la chaîne Rotana Classic ? Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.
Rotana Classic a remplacé Rotana Zaman en 2012. Cette chaine fait partie du groupe Rotana basé en Arabie Saoudite et spécialisé dans le divertissement (télévision et musique) . Il appartient au prince Al-Walid ben Talal ben Abdelaziz Al Saoud. Comme son nom l’indique, Rotana Classic diffuse essentiellement les grands classiques du cinéma égyptien. Accessible en France.
La Fille du Voisin de Mahmoud Zulficar (Bint al-guiran, 1954)
avec George Yordanis (le père de Rita), Shadya (Layla), Zahrat Al Oula (Souad), Fouad El-Mohandes (Jamel), Omar El Gizawy (Antar Abdel Bassat), Abdelsalam El Nabolsi (Roushdy), Kittie (Rita), Thuraya Fakhry (la mère de Layla), Wedad Hamdy, Shafik Nour El Din (le père d’Esther), Gamalat Zayed (la mère d’Antar), Sumaya Tawfiq (Esther), Esther Shattah, Hussain Ismael,Khayria Ahmed, Abdelmonem Basiony, Abdelhamid Badawy (le père de Yousri) , Ibrahim Hechmat, Abdel Mona'em Saoudi, Khristo Kladakis (danseur), Wahba Hasab Allah, Elham Zaki, Aida Kamel (Zinat), Omar El-Hariri (Yousri)
Scénario : Mahmoud Zulficar, Abdel Aziz Salam, Rashad Hejazy
Musique : Ahmed Sedky
Production : Amir FilmsComédie musicale. Jamel est resté un Dom Juan invétéré bien qu’il soit déjà marié avec Souad et qu’il soit père de famille. Il a hérité d’une entreprise et d’une grosse fortune, ce qui lui vaut un certain succès auprès des femmes. Il s’est d’ailleurs constitué un secrétariat exclusivement féminin dans lequel il puise pour ses amours extraconjugales. A la direction de son entreprise, Jamel manque singulièrement de rigueur. En fait, celui qui dirige la société, c’est l’ingénieur Yousri qui à ses moments perdus est aussi auteur de chansons. La passion de Jamel va lui attirer bien des déconvenues : Esther, une ancienne maîtresse le fait chanter en exigeant le mariage et un ancien camarade de classe avec la complicité d’une danseuse a conçu un plan machiavélique pour s’emparer de sa fortune. Malgré cela, Jamel reste incorrigible et il entreprend de séduire une jeune voisine du nom de Layla.
Mardi 30 août à 23h
Oeil pour oeil, dent pour dent de Nader Galal (Waheda Bewaheda, 1984)
avec Adel Imam (Salah Fouad), Mervat Amin (Maysa), Ahmad Rateb (Ali Abdul Zahir), Layla Fahmy (Mona), Hafez Amin (le secrétaire), Mahmoud El Zohairy (docteur Ayoub), Zizi Moustafa (Zizi Roca), Ali Al Sharif (Morsi), Tawfiq Al Kurdi (Hassan), Raafat Raji (un publicitaire), Mohamed Khan (le réalisateur de spots publicitaires)
Scénario : Marvin H. Albert
Dialogue : Nader Galal
Musique : Hassan Abo Al Saoud
Comédie. Adaptation du film américain Un pyjama pour deux (Lover Come Back) de Delbert Mann, 1962
Maysa et Salah Fouad sont deux publicitaires qui travaillent pour deux agences concurrentes. Si Salah est un homme à femmes qui se livre à tous les excès, Maysa est au contraire une professionnelle qui dirige ses équipes avec un dynamisme et une autorité sans faille. Pour gagner des marchés, Salah est prêt à tout. Il invite ses clients dans des cabarets et les met en relation avec des filles qu’il connaît. Maysa est écoeurée par les méthodes de son rival. Elle veut le neutraliser. A une danseuse qui lui a rendu bien des services, Salah a promis de la faire tourner dans des spots publicitaires. Il doit s’exécuter. Il invente une marque « Fankoush » et réalise plusieurs clips. Malheureusement, les spots sont diffusés à la télévision. Salah doit impérativement créer un produit qui corresponde à la marque fictive. Il s’adresse au Docteur Ayoub, un inventeur de génie. C’est chez ce dernier que Maysa et Salah vont se rencontrer pour la première fois.
Vendredi 26 août à 23h
Sous le Ciel de la Ville d’Hussein Helmy El Mohandes (Tahta Samaa Almadina, 1961)
avec Iman (Soad), Samia Roshdy (la mère de Soad), Kamal El Shennawy (Ahmed Kamal), Hussein Riad (Amin Azmy), Zouzou Chakib (Fayqa), Sherin (Bassima), Fatheia Chahine (Sharifa), Nahed Sharif (Layla), Tawfiq El Deken (Wahid), Amira Amir (Mona Hassan), Abdel Hamid Badawy (le portier), Abdel Moneim Basiony (Hamed), Nagwa Fouad (la danseuse), Mohamed Abdel Moteleb (le chanteur), Dalal (la chanteuse)
Scénario : Hussein Helmy El Mohandes
Musique : Abdel Azim AbdelhaqqDrame social. Histoires croisées de trois femmes. Soad a épousé un jeune avocat réputé pour son honnêteté, une qualité qu’elle considère comme un frein à son ambition. Elle finit par le quitter. Bassima a été chassée de chez elle par son beau-père. Elle est recueillie par un couple de proxénètes qui va la forcer à se prostituer. Et enfin, Mona qui a été abandonnée par son amant, un homme d’affaires corrompu. Elle se retrouve dans la maison de passe que dirige Bassima pour le compte de ses deux « employeurs ».
Mon Coeur me Guide d'Anwar Wagdi (Kalbi Dalili, 1947)
avec Layla Mourad, Anwar Wagdi, Stephan Rosti, Zouzou Chakib, Bashara Wakim, Hassan Fayek, Farid Shawki, Saïd Abou Bakr, Abdel Aziz Al Ahmed, Abdel Hamid Zaki, Mohamed Kamel, Menassa Fahmy, Ismaïl Yassin, Reyad El Kasabgy, Mahmoud Shoukoko
Scénario : Aboul Seoud Al Ebiary
Musique : Mohamed Al Qasabji et Mohamed FawziComédie musicale. La police est avertie qu’une fille doit arriver par le train au Caire avec une valise remplie de drogue. Les enquêteurs ont la description précise de la criminelle. A la gare, ils font le guet. Des hommes appartenant à un gang sont aussi présents pour récupérer la fille et son précieux bagage. Quand le train arrive à destination, la complice des gangsters remarque tous ces policiers sur le quai. Elle parvient à disparaître dans la foule. Laïla, une jeune étudiante, descend du train. Elle correspond au signalement donné aux enquêteurs. Ils l’arrêtent…
Mercredi 24 août à 19h30
La Maison Hantée d’Hassan Reda (Al Qasr Al Maleoun, 1962)
avec Mariam Fakhr Eddine (Yusria), Salah Zulficar (Hassan), Mahmoud El Meleigy (Fahmy Bey, le châtelain/Farid, son frère jumeau), Abdel Moneim Ibrahim (Fathy, l’ami d’Hassan), Olwiyya Gamil (la sœur de Fahmy Bey), Mahmoud El Sabba (Morsi, le serviteur de Fahmy), Nahed Sabry (la danseuse), Kadreya Kadry (la tenancière de la maison close), Abdel Ghani El Nagdi (un client ivre dans la maison close), Thuraya Fakhry (la gouvernante), Ibrahim Hechmat (le docteur)
D’après une histoire d’Adly El Moled
Scénario : Hassan Reda
Musique : Hussein Afifi, Naguib Al Selhdar
Production : Gomhouria FilmsHassan est un jeune avocat. Il se rend à Mansoura pour régler une affaire d’héritage mais aussi pour voir son vieil ami Fathy. Ce dernier lui déconseille de se rendre chez le client qui l’a contacté. Son manoir jouit d’une sinistre réputation dans la région. Malgré l’avertissement de son camarade, Hassan se présente tout de même à la porte du château. Il est accueilli froidement par le maître d’hôtel du propriétaire et par sa sœur Nagia. Enfin, le châtelain fait son apparition : c’est un vieil homme sympathique qui se déplace en fauteuil roulant. Celui-ci souhaite établir un testament qui garantisse que toute sa fortune reviendra après sa mort à sa fille Yusria. Cette dernière apparaît à son tour. Hassan la connaît déjà car ils se sont rencontrés dans le train qui les conduisait à Mansoura. C’est une jeune fille gaie, intelligente et jolie. Malheureusement, elle va devenir la proie de visions macabres, ce qui conduira son entourage à s’interroger sur son équilibre mental. Hassan et son ami Fathy vont tenter de l’aider…
Certains se marient deux fois de Mohamed Abdel Aziz (Al Baa'd Yazhab lel Maa'zoun Marratayn, 1978)
avec Nour El Sherif ( Dr. Mamdouh), Mervat Amin (Mona), Adel Imam (Massoud), Lebleba (Mahasen), Samir Ghanem (Ezzat), George Sedhom (Mansour), Aqeila Rateb (Afiza), Mimi Gamal (Sonia), Amal Ramzi (Sania), Hanaa El Shorbagy (Halia), Galila Mahmoud (Ilham), Ibrahim Abdulraziq (Mahmoud Fahmy), Salama Elias (Marzouk), Ibrahim Kadri (Docteur Mamdouh), Zouzou Chakib (l’amie de Mona chez le coiffeur)
Scénario : Farouk Sabri
Musique : Gamal Salamah
Production : William RizqLe docteur Mamdouh et son frère Massoud ne sont pas heureux en ménage. Mona, la femme du premier, est d’une jalousie féroce et ne laisse aucun répit à son mari qui pourtant n’a jamais tenté de la tromper. Mahasen, la femme du second, est absorbée par ses tâches ménagères et l’éducation de ses enfants si bien qu’elle n’a pas un instant à consacrer à son époux. Ezzat, le cousin des deux frères, leur conseille de suivre son exemple. Il a trouvé le bonheur en trompant allégrement sa femme tout en lui manifestant amour et tendresse. Mamdouh et Massoud décident d’adopter ce stratagème si ingénieux. Ils se lancent donc dans l’adultère mais leurs femmes ne tardent pas à tout découvrir. Elles demandent le divorce…
Histoire d'Amour d'Helmy Halim (Hekayat hub, 1959)
avec Abd El Halim Hafez (Ahmed Sami), Mariam Fakhr Eddine (Nadia), Abdel Salam Al Nabulsi (Refaat, l’ami d’Ahmed Sami), Mahmoud El Meleigy (docteur Abdel Wahab), Ferdoos Mohamed (la mère d’Ahmed Sami), Ahmed Yehia (Samir, le petit frère d’Ahmed Sami), Saïd Khalil (docteur Fahim), Edmond Tuema (garçon de l’hôtel Mina House), Abbas Rahmy (le directeur de la maison de disques), Kamal Anwar (Mamdouh Bey, l’ivrogne de la soirée), Ibrahim Khan (Adel), Fathia Ali (la voisine de la mère d’Ahmed)
Scénario : Ali El-Zorkani et Helmy Halim
Musique : André Ryder, Kamal El Tawil, Mohamed Al Mogi, Mounir Mourad, Morsi Gamil Aziz
Production : Helmy Halim
Première apparition à l’écran de Samir Sabri. On l’aperçoit quelques secondes parmi d’autres figurants quand Abdel Halim Hafez interprète la chanson « Bahlam Bik ».Ahmed Sami est professeur de musique dans une école primaire d’Alexandrie. Grâce à son salaire, il peut subvenir aux besoins de sa mère aveugle et de son petit frère Samir. Ses moments de loisir, il les consacre à chanter et à composer. Son rêve serait de devenir un chanteur célèbre. La chance semble enfin lui sourire. Son voisin l’a conduit dans une soirée mondaine pour qu’il s’y produise. A peine commence-t-il à chanter qu’il est brusquement interrompu par un ivrogne. Profitant de cet incident, quelqu’un met un disque de jazz. Toute la petite société se lance dans une danse endiablée. Ahmed est humilié. Nadia, une jeune et belle aristocrate vient le consoler en lui prédisant un bel avenir dans la chanson. Les jours qui suivent sont occupés à retrouver cette belle inconnue. Ahmed la revoit sur la plage et ose lui adresser la parole. Ils ont une brève conversation et conviennent de se retrouver le lendemain au même endroit. Ahmed voudrait lui faire écouter une chanson qu’il est en train de composer. Mais le lendemain, plus de trace de Nadia. Elle est repartie subitement pour Le Caire…
Dimanche 21 août à 15h
Ma vie en est le prix d’Hassan Al Imam (Hayati Hiyya al Taman, 1961)
avec Hoda Soltan (Soad), Ahmed Mazhar (docteur Hussein), Hussein Riad (Gaber), Tewfik El Deken (l’assistant de Gaber), Zouzou Nabil (Latifa), Nagwa Fouad (la danseuse Sonia), Nahed Samir (la mère du docteur Hussein), Ragaa Hussein (une amie de Soad), Ali Rushdi (l’avocat de Soad), Saleh Sarhan (l’architecte), Layla Fahmy (la servante)
Scénario : Hassan Al Imam et Mohamed Othman
Musique : Fouad El Zahry, Ahmed Fouad Hassan, Ali Ismaïl, Atya Sharara
Production : films Ibrahim WaliGaber est un quinquagénaire immensément riche. Il tombe amoureux de Soad, la femme du Docteur Hussein. Celui-ci l’avait soigné alors qu’il avait eu un malaise sur la plage et ils sont devenus amis. L’homme d’affaires comprend qu’il lui sera difficile de séduire Soad mais il ne désespère pas d’y arriver un jour. Pour écarter le mari, il décide de financer la construction d’une clinique dont le docteur Hussein prendrait la direction. Le médecin et sa femme sont aux anges. Les mois passent. La construction de l’établissement va bon train. Soad donne naissance à un petit garçon. Hussein doit s’absenter quelque temps pour une mission scientifique à l’étranger. Gaber en profite pour se rapprocher de Soad mais celle-ci repousse toutes ses avances. Elle finit même par se mettre en colère et lui signifie en termes peu diplomatiques qu’elle ne quittera jamais son mari pour lui. Le vieil homme est terrassé par le désespoir. Il doit s’aliter : son cœur est à deux doigts de lâcher. Très affaibli et sentant sa fin prochaine, il décide de se venger de la plus cruelle des façons. Dans son testament, il désigne comme héritier, le fils de Soad et de Hussein, prétendant que l’enfant est en fait le fruit de la relation adultère qu’il entretenait avec la femme du médecin. A sa mort, ses dernières volontés sont rendues publiques. Hussein décide de divorcer…
Samedi 20 août à 23h
La Vierge et les cheveux blancs d'Hussein Kamal (Al A'zraa wal Shaar Al Abyad, 1983)
avec Nabila Obeid (Dawlat), Mahmoud Abdel Aziz (Medhat), Mohamed Al Ramly (l’homme d’affaires), Sherihan (Buthaina, la fille adoptive de Dawlat et de Mehdat), Hayat Salah El Din (Buthaina, petite fille), Mariam Fakhr Eddine (la mère de Dawlat), Mamdouh Abdel Alim (Adel), Mahmoud El Qala'awy (Muhy, le mari d’Afaf), Afaf Rashad (Afaf, l’amie de Dawlat), Mervat Kazem (la mère de Buthania), Afaf Wagdi (la mère d’Adel), Hamdy Youssef (le médecin), Hanem Mohamed (Aziza), Medhat Ghaly (Othman), Ibrahim Kadri (le portier)
d'après un roman d'Ihsan Abdul Quddus
Scénario : Kawthar Heikal
La musique est de Tarek Sharara mais on peut aussi entendre à plusieurs reprises celle composée par Philippe Sarde pour Les Choses de la Vie de Claude Sautet.
Le premier mariage de Dawlat a été un échec en raison de son incapacité à avoir un enfant. Peu après son divorce, Dawlat fait la connaissance de Medhat, un jeune homme pauvre qui vit sur le toit d’un immeuble appartenant à sa mère. Ils sympathisent puis très vite l’amitié se transforme en amour. Ils se marient. Grâce à Dawlat, Medhat devient un homme d’affaires avisé. Pour que son bonheur soit complet, le couple adopte une petite fille. Les années passent. La petite fille devient une ravissante adolescente. La situation se complique quand elle tombe amoureuse de son père adoptif.
Jeudi 18 août à 23h
Méfie-toi de tes voisins de Mohamed Abdel Aziz (Khally Balak Men Geranak, 1979)
avec Adel Imam (Ahmed), Lebleba (Nawal), Fouad El-Mohandes (le vieux peintre), Madiha Yousri (Fawzia, la belle-mère d’Ahmed), Mimi Gamal (Enayat, la voisine), Mokhtar El Sayed (le mari d’Enayat), Hoda Zaki (une autre voisine), Hanan (Didi la danseuse), Wahed Seif (Ibrahim Effendi), Ibrahim Kadri (le fleuriste)
Scénario : Farouk Sabry
Remake du film américain Pieds nus dans le parc (Barefoot in the Park) réalisé par Gene Saks en 1967.
Musique : Gamal Salama
Comédie. Ahmed est avocat et il vient d’épouser Nawal. Après avoir passé leur lune de miel dans un grand hôtel luxueux, ils emménagent dans un appartement meublé que Nawal a choisi pour son loyer très modique. Malheureusement, ils découvrent très vite les inconvénients de leur « petit nid douillet ». L’ascenseur ne fonctionne pas, l’appartement comporte quelques meubles mais il n’y a pas de lit dans la chambre. Et, encore plus gênant, l’un de leurs voisins, un vieux peintre, veuf et solitaire, doit passer dans leur logement pour rejoindre le sien. Malgré cette situation peu banale, les deux jeunes mariés et le vieil homme vont très vite sympathiser…
Mercredi 17 août à 23h
avec Negma Ibrahim (Fidda), Fakher Fakher (le vendeur de journaux), Faten Hamama (Naïmat), Zaky Ibrahim (le grand-père de Naïmat), Thoraya Helmy (Sania), Nabil El Alfy (Adel), Abdel Aziz Al Ahmed (Morsi), Reyad El Kasabgy (le propriétaire du moulin), Naïma Al Soghayar (la chanteuse), Mohsen Hassanein (un ami d’Abbas), Gamalat Zayed (la mère de Sania), Mohamed Alwan (Abbas), Zouzou Mohamed (la femme d’Abbas), Safa El Gamil (Shalabi), Latifa Amine (la mère de Shalabi), Fahmy Amman (le père de Shalabi)
Scénario : Hassan Al Imama et Henry Barakat
Dialogues : Abou Al Sayed Al Ebiary
Musique : Izzat El Gahely, Ibrahim Fawzy, Naïma Al Soghayar
Mélodrame, adaptation du roman Les Deux Orphelines (1877) des deux auteurs français Adolphe d'Ennery et Eugène Cormon.
Un nourrisson a été déposé à l’entrée de la mosquée. Ses cris ont attiré les croyants venus faire leurs prières. L’un d’eux pris de pitié décide d’amener l’enfant chez lui. L’homme charitable s’appelle Morsi. Il a déjà une fille du nom de Sania. La petite orpheline qu’on appelle Naïma est élevée avec elle. Les deux enfants grandissent comme deux sœurs, toujours gaies, toujours complices. Mais Morsi meurt. Alors Naïmat et Sania doivent travailler pour survivre. Elles vendent des foulards dans les rues. Un jour, Naïmat éprouve des douleurs oculaires. On consulte un médecin. Son diagnostic tombe : la jeune fille va perdre la vue. Peu après, les chemins des deux « sœurs » se séparent…
A la Porte du Ministre de Mohamed Abdel Aziz (Ala bab el wazir, 1982)
avec Adel Imam (Kamal), Yousra (Nourah), Tawfik El Deken (le père de Kamal), Salah Nazmi (le père de Nourah), Saïd Saleh (Khamis), Safia El Emari (Anhar), Hanem Mohamed ( la tante d’Anhar), Ahmed Rateb (Azouz), Ahmed Abdallah (Magdy), Samia Mohamed (la mère de Magdy), Safia Al Omary (Anhar), Lucy (la danseuse Sandy)
Scénario : Samir Abdel Azim
Musique : Fouad El Zahry
Kamal et Noura sont deux étudiants en médecine. Bien qu’ils n’appartiennent pas à la même classe sociale, ils sont tombés amoureux l’un de l’autre et ils projettent de se marier, une fois obtenu leur doctorat. Mais c’est sans compter le père de Noura. Ce dernier dirige une importante boucherie et quand il apprend que Kamal est le fils du contrôleur qui lui a infligé plusieurs amendes, il refuse toute idée de mariage. Pour empêcher cette union, il va jusqu’à faire accuser le père de Kamal de corruption, ce qui conduit celui-ci en prison. L’étudiant en médecine et ses amis vont se battre pour prouver l’innocence du vieux fonctionnaire intègre…