Jeudi 31 octobre à 16h30
Amour et Exécution de Kamal El Sheikh (Hub wa idam, 1956)
avec Imad Hamdy, Samira Ahmed, Mahmoud El Meleigy, Aida Helal, Wedad Hamdy, Adly Kasseb, Abbas Fares, Amina Rizk, Aziza Helmy
Scénario et dialogues : Mohamed Kamel Hassan Mouhami
Musique : Abdel Aziz Amer et Mohamed Kamel Hassan Mouhami
Thriller. Amira vit avec sa mère atteinte d’une maladie incurable. Son père les a quittées pour épouser une autre femme. La situation financière de la mère et de la fille devient très difficile. Amira décide de se rendre chez son père pour lui demander de l’argent. Le ton monte très vite, il refuse. Elle sort, abattue mais elle revient le lendemain pour tenter à nouveau de convaincre le vieil homme. Quand elle entre dans l’appartement, elle découvre son père inanimé dans un fauteuil. Il est mort.
Mercredi 30 octobre à 22h
La Fille du Quartier d'Hassan El Seifi (Bint El Hetta, 1964)
avec Chukry Sarhan (Omar), Mahmoud Ismaïl (Zaki), Zahrat Al Oula (Ekhlas), Tawkik El Deken (Hambaka), Zouzou Nabil (la mère d'Ekhlas), Ahmed Ramzy (Selim), Aziza Helmy (la mère d'Omar), Samia Gamal (Hosnia), Ahmed El Gezeiry (le père d'Ekhlas), George Sedhom (le détective).
Scénario : Mahmoud Ismaïl
Production : Hassan El Seifi
Ekhlas est une étudiante studieuse. Elle est amoureuse d’Omar qui tient une crémerie dans sa rue. Ils doivent se marier mais Zaki Al Fayoumi, un chef de gang, est aussi amoureux de la jeune fille. Il est prêt à tout pour obtenir sa main. Il embauche Selim, le frère d’Ekhlas et lui octroie un salaire confortable. Il va même jusqu’à lui promettre qu'il pourra épouser sa complice, Hosnia, une séduisante danseuse. En échange, Zaki Al Fayouni demande la main d’Ekhlas. Cette dernière cède aux pressions redoublées de son frère et de sa mère. Elle accepte d’épouser le chef de gang à condition qu’elle soit autorisée à poursuivre ses études. Au même moment, Hambaka, le fidèle second de Zaki engage deux hommes de main pour tuer Omar. L’opération échoue : la victime n’est que légèrement blessée. Après cette agression, Ekhlas se ravise. Elle épouse Omar à sa sortie de l’hôpital. Zaki contre attaque aussitôt : il ordonne à Selim de placer dans l’armoire de son nouveau beau-frère une valise pleine de haschisch. Omar est arrêté par la police et envoyé en prison.
Mardi 29 octobre à 12h30
La Fille de la Campagne d’Hassan El Seifi (Bint Al Balad, 1954)
avec Ismail Yassin, Nagat El Saghera, Kitty, Mohamed El Tabei, El Sayed Bedeir, Stephan Rosti, Abdel Ghani El Nagdi, Abdel Hamid Zaki, Wali El Sayed, Hassan Hamed, Abdel Moneim Ismail, Ellen Deatto, Fifi Youssef, George Yordanis, Kawthar Shafik, Khayria Ahmed
Scénario : Hassan El Seifi, Zaki Saleh, Stephan Rosti
Production : Hassan Fayek
Comédie musicale. Abdel Maboud est un gentil garçon, analphabète mais toujours souriant. Il est le fils d’Abdul Rahim, un puissant propriétaire terrien. Ce dernier apprenant que l’un de ses rivaux a envoyé son fils faire ses études en France, il veut qu’Abdel Maboud aille lui aussi à Paris pour parfaire son éducation. Le jeune homme accepte de quitter les siens pour satisfaire son père, même s’il doit quitter sa cousine dont il est éperdument amoureux. Quand il arrive à Paris, il est dès l’aéroport accueilli par un escroc qui lui fait rencontrer une danseuse, Mademoiselle Kitty…
Lundi 28 octobre à 18h30
Le Fils de Satan d’Houssam Al-Din Mustafa (Ibn Al-Chaytan, 1969)
avec Farid Shawki, Mahmoud El-Meleigy, Tawfik El Deken, Nagla Fathy, Ibrahim Khan, Naemet Mokhtar, Samir Waley Eddine, Ahmed Abu Abya, Kamal El Zeiny, Ahmed Morsi, Hussein Ismaïl, Aleya Abdel Moneim, Abbas El Daly
Scénario et dialogues : Adly El Mowalid
appréciation : 2/5
Le Fils de Satan est un criminel qui terrifie tout un village. Il apparaît toujours masqué et revêtu d’une combinaison noire. Ses victimes sont les hommes qui se remarient après avoir abandonné leurs enfants et leur première femme. Il veut ainsi se venger de son propre père qui s’était remarié. Les meurtres se multiplient. L’enquête est confiée au sergent Morsi. Au départ il soupçonne le fou du village qui proclame être le Fils de Satan. Mais aucune preuve ne permet de l’inculper. Atris, un commerçant qui possède le café de la commune refuse d’y organiser des mariages de peur que le tueur en série s’en prenne à lui. Ibrahim, le frère de Morsi, vient passer des vacances au village. Il est kidnappé par le criminel. Il est libéré peu après par Saidia, une jeune fille qui, avec sa mère, réside chez le vieux fou. L’étudiant et sa sauveuse tombent amoureux l’un de l’autre mais la vie de Saidia est désormais en danger : le Fils de Satan est à ses trousses…
Dimanche 27 octobre à 22h
Les Femmes de Medhat El Sebaie (El Settat, 1992)
avec Mahmoud Yassine (Azmi Abou Alazm), Fifi Abdou (Shoukria), Eman (Nohran, l’actrice), Hala Sedqy (Suhair, la femme d’Azmi), Abla Kamel (Souad, la secrétaire), Ola Rami (Rawiah, la journaliste stagiaire), Nabil El-Hegrassy (Farid, un journaliste), Ibrahim Nasr (Fathi), Helali Mohamed (le chauffeur d’Azmi), Ateia Eweiss (rédacteur en chef)
Scénario : Magda Khirhalla
Musique : Hani Shenouda
Comédie. Azim est un journaliste à succès qui s’intéresse aux problèmes rencontrés par ses lecteurs dans leur vie quotidienne. Il s’oppose à Shukry, son rédacteur en chef qui défend une toute autre conception du métier de journaliste : pour celui-ci, il faut avant tout divertir le lecteur, lui faire oublier ses difficultés en faisant des articles sur les célébrités et leur existence dorée. Grâce à son talent et à son intégrité, Azim est nommé à la direction du journal en remplacement de Shukry. Pour lui, c’est enfin l’occasion tant espérée d’imposer ses principes à toute la rédaction mais il devra affronter maintes tentatives de corruption de la part de femmes qui souhaitent mettre sa plume au service de leur carrière artistique…
Vendredi 25 octobre à 19h30
Héros jusqu'au bout de Houssam Al Din Mustafa (Batal lil Nihaya (1963)
avec Lotfy Abdel Hamid, Farid Shawki, Laila Taher, Mahmoud El-Meleigy, Tawfik El Deken, Nahed Samir, Ali Roshdy, Helen, Nazim Sharawi, Mohamed El Dafrawi, Khristo Kladakis, Abdel Badi El Arabi, Badr Nofal, Mohsen Hassanein
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Thriller. Hafez Amin dirige un orphelinat à Alexandrie. C’est un homme estimé. En fait cette honorable fonction au sein d’une œuvre de bienfaisance est une couverture pour dissimuler ses activités criminelles : il est à la tête d’un gang dont la spécialité est le kidnapping des enfants de familles fortunées. Il s’en prend notamment aux personnalités qui composent le conseil d’administration de son orphelinat. Il les menace d’enlever leur enfant s’ils refusent de payer la rançon demandée. La plupart des familles accepte le marché et se garde bien de prévenir la police. Cette dernière finit par être alertée. On fait appel à Ibrahim, un ancien gangster qui a payé sa dette à la société, pour qu’il s’infiltre dans l’organisation criminelle…
Jeudi 24 octobre à 17h30
Train de Nuit d'Ezzel Dine Zulficar (Ketar el Lail, 1953)
avec Imad Hamdy, Samia Gamal, Stephan Rosti, Serag Mounir, Soleiman Naguib, Shaladimo, Aly Abd El Al, Abdel Moneim Ismail, Reyad El Kasabgy, Mohamed Reda, Abdel Mona'em Saoudi, Abdelalim Khattab, Fakher Fakher, Hussein Issa, Salah Nazmi, Zaki Ibrahim
Scénario : Stephan Rosti, Ezzel Dine Zulficar, Zaki Saleh
Musique : Ibrahim Saleh
appréciation : 4/5
Samia aime Adel mais celui-ci disparaît brusquement. Elle croit qu’il l’a abandonnée. Au même moment, son père est plongé dans des difficultés financières inextricables. Pour le sauver, Samia épouse Aboul Azz, un redoutable gangster qui l’oblige à danser dans son club. Mais Adel se manifeste à nouveau. Samia et lui se donnent rendez-vous dans un restaurant. On apprend que l’homme n’avait pas fui mais qu’il avait été blessé dans un accident de la route et qu’ il est resté hospitalisé plus de deux mois. Leurs retrouvailles sont brèves car Samia doit retourner au club pour son numéro de danse. Malgré le danger, Adel se présente dans l’établissement. Il retrouve sa bien-aimée dans sa loge. Aboul Azz, caché dans la penderie, se jette sur Adel et l’assomme. Il s’empare de l’argent que sa victime avait réuni pour venir en aide à Samia et à son père. Une fois le gangster parti, Adel recouvre ses esprits. Les deux amoureux peuvent se confier l’un à l’autre. Samia doit rejoindre ses danseuses sur scène. Dans la salle se trouve Malaty, un ami de son mari. Il est envoûté par la sensualité de Samia.
Mercredi 23 octobre à 17h30
Le coeur a ses raisons d’Helmi Halim (al-'alb lu ahkam, 1956)
avec Abd El Fatah El Quossary, Zouzou Nabil, Zinat Sedki, Abdel Salam Al Nabulsi, Ahmed Ramzy, Faten Hamama, Shafik Nour El Din, Soleiman El Gendy, Stephan Rosti, Serag Mounir, Zeinab Sedky, Samia Ayoub, Samia Mohamed, Sayed El Arabi, Lotfy El Hakim, Mokhtar El Sayed
Scénario : El Sayed Bedeir, Hassan Tawfik, Ali El Zorkani
Production : Helmi Halim
appréciation : 2/5
Karima est une jeune orpheline pauvre qui étudie à la faculté de médecine. Elle aime Hamdi, l’un de ses condisciples qui appartient à la classe aisée. Il est en outre un footballeur de renom. Toutes les tentatives de la jeune femme pour entrer en relation avec lui échouent lamentablement. Elle se confie à une vieille amie qui tient une boulangerie. Celle-ci lui donne des conseils pour attirer l’attention de celui qu’elle aime. Karima les met en pratique aussitôt et ça marche ! Hamdi lui propose un rendez-vous. Mais très vite, l’étudiante comprend qu’elle a fait l’objet d’un pari entre l’élu de son coeur et ses camarades. Elle est désespérée et refuse désormais de lui adresser la parole. Progressivement, les sentiments du jeune homme changent.
Mardi 22 octobre à 15h30
Al Hanakish d’Ali Abdel Khalek (1986)
avec Nabila Ebeid, Kamal Al Shennawi, Farouk El Feshawi, Hatem Zulficar, Abdulla Meshref, Abdel Ghany Nasser, Salah Khalifa, Ahmad Abdul Kader, Sanaa Lamlum, Shafiq Al Shayeb, Suleiman Hussein
Scénario : Ahmed Samir
Musique : Hassan Abou El Saoud et Yahia Al Muji
Taha revient en Egypte après des années d'exil. Il retrouve ses deux fils et leur révèle que dans le jardin de la villa qui autrefois lui appartenait, il a enterré un sac contenant tout un trésor. Le souci, c’est que désormais cette maison est occupée par de nouveaux propriétaires. L’un des fils de Taha va tenter de séduire la servante du lieu pour accéder au sac tant convoité…
Lundi 21 octobre à 19h30
Le Voleur et les Chiens de Kamal El Sheikh (El less wal kilab, 1962)
avec Chukry Sarhan (Saïd Mohamed Mahran), Shadia (Noura), Kamal Al Shennawi (Rauf Alwan), Zein El Ashmawy (Alish Sidra), Salwa Mahmoud (Naboui), Adly Kasseb (Cheikh Alarah), Salah Gaheen (professeur Sultan)
Scénario : Sabri Ezzat
D'après un roman de Naguib Mahfouz
Musique : André Ryder
appréciation : 5/5
Adapté de l'un des chefs d'oeuvre de Naguib Mahfouz. Une adaptation réalisée à peine un an après la parution du roman.
Saïd est un voleur. Il est marié et a une petite fille. Il ne sait pas qu’Alish, son associé, entretient une liaison avec sa femme. Lors d’un cambriolage, Alish téléphone au commissariat pour dénoncer Saïd. Quand ce dernier sort de la maison, il est accueilli par la police. Les juges le condamnent à cinq années de prison.
Saïd est libéré avant la fin de sa peine pour bonne conduite. Il retourne dans son quartier et se présente au domicile d’Alish et de son ex-femme. Il souhaite revoir sa fille mais celle-ci ne le reconnaît pas et prend peur quand il tente de l’embrasser. Bouleversé, Saïd renonce à faire valoir ses droits paternels. Désormais, il n’a plus qu’une idée en tête : se venger…
Dimanche 20 octobre à 23h
L’Oppresseur et l’Opprimé d’Houssam El Din Mostafa (Alzaalim wal Mazlum, 1989)
avec Nour El Sherif, Elham Shahine, Hassan Hosny, Gamal Ismail, Youssef Dawood, Farouk Naguib, Sarah, Ahmed Abdelhady, Youssef Fawzy, Kamal Elzeiny, Moheb Kaser, Hussein Arar
Scénario : Farouk Sabry
D’après le Comte de Monté Cristo d’Alexandre Dumas
Musique : Abdel Hamid Toutou
Jaber travaille sur le port d’Alexandrie comme grutier. Il a épousé une jeune fille prénommée Badour et ils ont un fils Morsi. Ils avaient tout pour être heureux. Malheureusement, Badour a croisé le chemin d’un notable qui depuis se consume de désir pour elle. Grâce à ses hommes de main, celui-ci parvient à l’enfermer dans une chambre et à la violer. Une fois le forfait commis, Badour parvient à se réfugier sur la terrasse de l’immeuble mais un complice de son violeur la jette dans le vide. Elle meurt sur le coup. Jaber paraît. Il se rue sur les criminels mais il est très vite maîtrisé. La police puis la justice s’en mêlent. C’est la version du notable qui prévaut : Jaber a tué sa femme car il l’avait surprise en compagnie de son amant. Il est condamné à vingt-cinq ans de détention. Quand il est enfin libéré, Jaber n’a qu’une seule idée en tête : se venger.
Samedi 19 octobre à 23h
La Vierge et les cheveux blancs d'Hussein Kamal (Al A'zraa wal Shaar Al Abyad, 1983)
avec Nabila Obeid, Mahmoud Abdel Aziz, Sherihan, Mariam Fakhr Eddine, Mamdouh Abdel Alim, Mahmoud El Qala'awy, Afaf Rashad, Mervat Kazem, Afaf Wagdi, Hamdy Youssef, Hanem Mohamed
d'après un roman d'Ihsan Abdul Quddus
Scénario : Kawthar Heikal
Musique : Tarek Sharara
Le premier mariage de Dawlat a été un échec en raison de son incapacité à avoir un enfant. Peu après son divorce, Dawlat fait la connaissance de Medhat, un jeune homme pauvre qui vit sur le toit d’un immeuble appartenant à sa mère. Ils sympathisent puis très vite l’amitié se transforme en amour. Ils se marient. Grâce à Dawlat, Medhat devient un homme d’affaires avisé. Pour que son bonheur soit complet, le couple adopte une petite fille. Les années passent. La petite fille devient une ravissante adolescente. La situation se complique quand elle tombe amoureuse de son père adoptif.