dimanche 1 septembre 2019

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 1er au 13 septembre)

روتانا كلاسيك


Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.


Dimanche 15 septembre à 17h30

La Fin des Diables d’Houssam Al Din Mostafa (Nihayat al Chayatin, 1970)
avec Farid Shawky, Nagla Fathy, Youssef Chabaan, Ibrahim Khan, Tawfik El Deken, Zouzou Chakib, Edmond Tuema, Lola Mohamed, Fathia Shahin, Soheir Fakhry, Abdel Ghani El Nagdi, Abdel Moneim Basiony, Eskandar Menassa, Radwan Hafez, Hamdy Morsi, Hussein Kandeil, Ahmed Morsi, Mahmoud Rashad, Tawfiq Al Kurdi 
Scénario : Sami Sarhan, Faysal Nada, Sabri Ezzat


Ismaïl, Refaat et Hamada sont trois mauvais garçons dont le métier est le cambriolage. Ils rivalisent d’ingéniosité pour s’emparer de la fortune de leurs victimes. Pour ne pas attirer les soupçons de la police, ils mènent par ailleurs une existence de citoyens honnêtes. Ismaïl est vendeur de voitures et il a épousé une guide touristique ; Hamada est coiffeur pour dames tandis que Refaat file le parfait amour avec la fille d’un directeur de banque. 
Un jour, ils décident de dévaliser une banque. L’opération se déroule comme ils l’avaient prévu mais Ismaïl est arrêté peu après. Ses deux complices sont dans l’embarras : c’est lui qui a caché l’argent  et ils ignorent où. Les deux hommes décident de se rendre au domicile d'Ismaïl pour interroger sa femme… 


Samedi 14 septembre à 17h30

L’Etudiante et le Professeur d’Ahmed Diaa Eddine (Al-Telmitha Wi Al-Ustath, 1968)
avec Soad Hosny, Chukry Sarhan, Abdel Moneim Madbouly, Samia Shokri, Gamalat Zayed, Ahmad Al.Haddad, Nadia Ezzat, Enam Salosa, Hekmat Fouad, Nadia Gamil, Salama Elias, Aleya Abdel Moneim, Ahmad Abu Abiya, Samia Mohamed, Ahmed Morsi , Nawal Fahmy ,Saleh Al-Eskandarani, Edmond Tuema, Nasr Seif
Scénario : Adly Al Moled et Abdel Fattah El Sayed
Musique : Hussein El Sayed, Mounir Mourad, Fathy Qoura


Quand son père meurt, Salwa doit abandonner ses études pour travailler dans un atelier de couture. Un jour, son patron tente de la violer et pour se défendre elle le tue à coup de ciseaux. Après ce meurtre, Salwa est placée dans une institution pour mineures. Elle supporte très mal la discipline militaire de l’établissement. Avec ses camarades d’infortune, elle organise des jeux et des danses que le règlement interdit formellement. Heureusement, l’institution vient d’embaucher un jeune professeur de musique. En plus de ses cours, celui-ci dirige un orchestre dans un cabaret de la ville. Entre lui et Salwa, les relations vont prendre une toute autre nature que celle des rapports qu'entretiennent ordinairement un professeur et son élève… 


Vendredi 13 septembre à 23h

L’espoir de ma vie de Seif El Din Shawkat (Amany Al Omr, 1955)
avec Saad Abdel-Wahab, Magda, Zahrat Al Oula, Abdel-Wareth Asar, Mimi Chakib, Mohamed Tawfik, Hussein Ismaël, Soliman Naguib, Salah Nazmi, Samia Roshdi, Wedad Hamdy, Ferdoos Mohamed 
Scénario et dialogues : Seif El Din Shawkat, Abdel Wareth Asar, Hassan Tawfik
Musique : Saad Abdel Wahab et Mohamed Abdel Wahab


Drame sentimental. Sherif est un jeune avocat qui vit dans une maison appartenant à Taher Massoud, un riche homme d’affaires parti en voyage pour quelque temps. De son balcon, il peut voir la grande demeure qu’occupe son propriétaire. Ce dernier rentre enfin et Sherif découvre qu’il a une fille nommée Layla. Ils font très vite connaissance et ont souvent l’occasion de se rencontrer. Ils finissent par tomber éperdument amoureux l’un de l’autre. Alors que Sherif s’apprête à demander la main de Layla à son père, il découvre que la jeune fille est déjà promise à un autre homme. Fou de chagrin, Sherif trouve refuge à la campagne. Là, il fait la connaissance d’une jeune artiste peintre…


Jeudi 12 septembre à 23h

Héros de Papier de Nader Galal (Batal Men Warq, 1988)
avec Mamdouh Abdel Alim, Athar El Hakeim, Salah Kabil, Ahmad Bedir, Amaal Ibrahim, Youssef Dawood, Hamdy Youssef, Youssef El Assal
Scénario : Ibrahim Al Garwani
Musique : Hassan Abou Al Souad
Production : Hussein Al Qala


Comédie policière. Ramy Qashoo est un jeune scénariste d’origine paysanne, un peu naïf. Il découvre que son dernier scénario a été volé. Le voleur est un déséquilibré qui a entrepris de commettre tous les crimes imaginés par Ramy. Ce dernier se rend à la police pour qu’elle se lance à la poursuite du fou dangereux et qu’elle l’arrête au plus vite mais l’inspecteur qui le reçoit n’accorde aucun crédit à son histoire. Avec l’aide de Sawsan, une jeune journaliste, Ramy décide de mener lui-même l’enquête...


Mercredi 11 septembre à 23h

La Bonne Terre de Mahmoud Zulficar (el ard el tayeba, 1954)
avec Mariam Fakhr Eddine, Kamal Al Shennawi, Hussein Riad, Zouzou Madi, Abdel Salam Al Nabulsi, Omar El-Hariri, Mohamed El Tokhy, Kittie, Hussein Ismaïl, Abdel Aziz Kamel, Mohsen Hassanein, Khayria Ahmed, Abdel Hamid Badawi, Fouad El Mohandes
Scénario et dialogues : Youssef Gohar
Musique : Ismaïl Shabana


Drame. Une jeune fille nommée Saadia vit avec sa tante et son oncle dans une ferme. Elle ne sait pas que son père est un homme fortuné qui avait contracté avec sa mère un mariage secret. L’homme meurt en laissant toute sa fortune à sa fille. Saadia se rend au Caire pour prendre possession de son héritage. Mais Bahiga, sa tante, échafaude avec son amant un plan machiavélique pour lui prendre tout son argent…


Mardi 10 septembre à 19h30

Le Fils de Hamido de Fateen Abdel Wahab (Ibn Hamidu, 1957)
avec Ismaïl Yassin (Ibn Hamido), Hind Rostom (Aziza), Ahmed Ramzy (Hassan), Abd El Fatah El Quossary (Hanafi, le père d’Aziza et Hamida), Zinat Sedki (Hamida), Tawfik El Deken (El Baz Effendi, négociant en bateaux et trafiquant de droge), Nelly Mazlom (Latania, trafiquante de drogue), Soad Ahmed (Tafida, la mère d’Aziza et Hamida), Reyad El Kasabgy (l’agent de police), Nemat Mokhtar (la danseuse du cabaret), Rashad Hamed (le chef de la police locale), Hassan Atla, Abdel Ghani El Nagdi, Hassan Hamed
Scénario et dialogues : Abbas Kamel
Musique : Atyah Sharara


Comédie. Ibn Hamido et Hassan sont deux policiers en mission à Suez pour démanteler un important trafic de drogue. Ils se font passer pour de simples pêcheurs et c’est sur la plage, qu’ils font la rencontre de deux sœurs, Aziza et Hamida. Elles reviennent de la pêche avec un panier rempli de poissons. Alors que les deux jeunes femmes se baignent, Ibn Hamido et Hassan s’approchent du panier et s’emparent de deux poissons. Aziza et Hamida s’en aperçoivent. Une dispute éclate. Il faut l’intervention du père des deux sœurs pour que tout s’arrange. Le vieil homme comprend tout le parti qu’il peut tirer de ces deux garçons. Il leur loue une chambre dans sa maison et leur vend une barque portant le nom prémonitoire de « Normandy 2 ». Très vite, l’amour naît entre Hassan et Aziza ainsi qu’entre Ibn Hamido et Hamida. On parlerait déjà mariage sans un certain Al Baz Effendi qui souhaite depuis longtemps épouser Aziza…


Lundi 9 septembre à 13h30

La Maîtresse de Maison d’Ahmed Kamel Morsi (Sitt al Bayt, 1949)
avec Faten Hamama, Imad Hamdy, Zeinab Sedky, Mona,Thuraya Fakhry, Mohamed Kamel, Abdelaziz Hamdy, Hosna Solomon, Naima Akef, Mahmoud Shoukoko, Soad Mekawy, Abdelaziz Mahmoud, Abdel Mona'em Saoudi, Zaki Ibrahim
Une histoire d'Abou Al Seoud Al Ebiary
Scénario : Henry Barakat et Ahmed Kamel Morsi
Musique : Morsi Gamil Aziz,Hiram Ghamarawy, Abdel Aziz Mahmoud, Hassan Al Imam, Izzat El Gahely, Mahmoud Shoukoko


Elham se marie avec Nabil. Elle s’installe peu après dans la maison de sa belle-mère. Avec cette dernière, les relations sont tendues. La vieille dame la considère comme une intruse qui veut prendre sa place. Elle essaie de convaincre son fils d’épouser une autre femme car elle croit qu’Elham est stérile. Celle-ci ne supporte plus le comportement de sa belle-mère : elle décide de quitter la maison. Dans sa précipitation, elle tombe dans l’escalier…


Samedi 7 septembre à 13h30

Ma vie en est le prix d’Hassan Al Imam (Hayati Hiyya al Taman, 1961)
avec Hoda Soltan, Ahmed Mazhar, Hussein Riad, Tewfik El Deken, Zouzou Nabil, Nagwa Fouad, Abdel Aziz Fahmy, Nahed Samir, Hamed Morsi, Ragaa Hussein
Scénario : Hassan Al Imam et Mohamed Othman 
Musique : Fouad El Zahry


Gaber est un quinquagénaire immensément riche. Il tombe amoureux de Soad, la femme du Docteur Hussein. Celui-ci l’avait soigné alors qu’il avait eu un malaise sur la plage et ils sont devenus amis. L’homme d’affaires comprend qu’il lui sera difficile de séduire Soad mais il ne désespère pas d’y arriver un jour. Pour écarter le mari, il décide de financer la construction d’une clinique dont le docteur Hussein prendrait la direction. Le médecin et sa femme sont aux anges. Les mois passent. La construction de l’établissement va bon train. Soad donne naissance à un petit garçon. Hussein doit s’absenter quelque temps pour une mission scientifique à l’étranger. Gaber en profite pour se rapprocher de Soad mais celle-ci repousse toutes ses avances. Elle finit même par se mettre en colère et lui signifie en termes peu diplomatiques qu’elle ne quittera jamais son mari pour lui. Le vieil homme est terrassé par le désespoir. Il doit s’aliter : son cœur est à deux doigts de lâcher. Très affaibli et sentant sa fin prochaine, il décide de se venger de la plus cruelle des façons. Dans son testament, il désigne comme héritier, le fils de Soad et de Hussein, prétendant que l’enfant est en fait le fruit de la relation adultère qu’il entretenait avec la femme du médecin. A sa mort, ses dernières volontés sont rendues publiques. Hussein décide de divorcer…


Vendredi 6 septembre à 23h

Layla, fille de la campagne de Togo Mizrahi (Leila bint al rif, 1941)
avec Layla Mourad, Youssef Wahby, Mimi Chakib, Taheya Carioca, Bechara Wakim, Zouzou Chakib, Anwar Wagdi, Ferdoos Mohamed, Hassan el Baroudi, Fakher Fakher, Salwa Elaam, Abdel Salam Al Nabulsy
Scénario : Togo Mizrahi
Musique : Zakaria Ahmed, Riad El Sonbati


Fathy qui habite Le Caire retourne dans son village natal à la demande de sa mère malade. Fathy a fait des études de médecine en Grande-Bretagne mais n’a jamais vraiment pratiqué préférant se consacrer à ses plaisirs. Sa mère le retient au village et fait tout pour qu’il se rapproche de sa riche cousine Layla. Fathy refuse d’épouser une fille d’agriculteurs mais sa mère menace de le déshériter. Le jeune homme finit par accepter le mariage. Il retourne au Caire avec sa jeune épouse…


Jeudi 5 septembre à 19h30

Le Haffir du Quartier de Togo Mizrahi (Kafir el Derk, 1936)
avec Ali Al Kassar, Zouzou Labib, Zakeya Ibrahim, Bahiga El Mahdy, Lutfya Nazmy, Amina Mohamed, Ahmed El Haddad, Ibrahim Hechmat, Taheya Carioca
Scénario : Togo Mizrahi et Ali Al Kassar
Musique : Izzat El Gahely


Comédie. Othman est un pauvre homme sans emploi. Il est naïf, gentil mais surtout terriblement paresseux. Son activité préférée est la sieste. Sa femme doit user de la manière forte pour qu’il daigne sortir du lit et chercher un travail. Il en trouve un chez une riche étrangère comme homme à tout faire. Ce jour là, il doit aider à la cuisine car sa patronne reçoit des invités. Elle charge Othman de la cuisson du plat principal. Pour cela, il doit se rendre au four du village. Voilà notre héros cheminant par les rues, le plat sur la tête. Soudain, il est attaqué par des oiseaux qui s’emparent de tous les morceaux de viande du ragoût. Furieux, il va au commissariat. L’officier refuse d’enregistrer sa plainte et le chasse. Dans la bousculade, Othman fait tomber son plat et les pommes de terre qui restaient roulent sur le sol. L'employé malchanceux retourne chez sa patronne avec un frichti bien piteux. Evidemment, il est renvoyé. Deuxième tentative : il devient vendeur ambulant de hummus. Las ! Il s’endort au coin d’une rue et des poules dévorent toute sa marchandise. Enfin, il est embauché comme vigile par un commerçant. Le jour même, la boutique est dévalisée…


Mercredi 4 septembre à 23h

Je suis seule d'Henry Barakat (Ana wahdi, 1952) 
avec Souad Mohamed (Sana), Magda Al Sabahi (Nawal), Omar El Hariri (Ehsan Hafez), Mimi Chakib, Mona (Afaf), Zaki Ibrahim (le père d’Ehsan), Thuraya Fakhry (la mère d’Afaf), Salah Nazmi (Atef), Abdel Hamid Zaki (le beau-père de Nawal et de Sana), Fakher Fakher (directeur du théâtre), Kittie (danseuse), Abbas Rahmy (propriétaire de l’atelier), Victoria Hobeika (la mère de Nawal et de Sana), Mary Aziz Eddin (chef de l’atelier), Samiha Yahoub (danseuse), Abdel Aziz Kamel (le directeur de la radio)
Histoire : Youssef Issa
Dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Mamoun Al Shinnawi, Riad El Sonbati, Mahmoud El Sherif, Zakaria Ahmed


Comédie musicale. Nawal a quitté la maison de ses parents à Tanta pour vivre au Caire. Elle a trouvé du travail comme couturière chez un tailleur. Elle sympathise avec Afaf, une collègue et s’installe dans l’appartement que celle-ci occupe avec sa mère. Nawal a une sœur prénommée Sana. Elle aussi décide de rejoindre la capitale. Elle a une très belle voix et souhaite faire une carrière de chanteuse mais maints obstacles se dressent sur sa route. Entre temps, Nawal et Afaf rencontrent deux garçons de la meilleure société. Ehsan tombe amoureux de Nawal et son ami Atef s’éprend d’Afaf. Au début, tout se passe au mieux mais quand les deux amis apprennent que leurs deux amoureuses sont couturières, ils les abandonnent aussitôt. Nawal fait une tentative de suicide…


Lundi 2 septembre à 23h

La Mère Célibataire d'Helmy Rafla (al-anisa mama, 1950)
avec Ismaël Yassin, Sabah, Mohamed Fawzy, Soliman Naguib, Hagar Hamdy, Zinat Sedki, Hussein Ibrahim, Salah Mansour, Souad Ahmed
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Mohamed Fawzy


Comédie musicale. Nimra rêve d’être chanteuse mais en attendant que la chance veuille bien lui faire signe, elle est vendeuse dans un magasin de disques à Alexandrie. Un jour, elle lit dans le journal une annonce publiée par Monir Yousri, un musicien célèbre qu’elle admire. Il prépare une nouvelle comédie musicale et recherche des chanteuses. Nimra décide de monter au Caire pour se présenter aux auditions. Elles sont dirigées par l’assistant de Monir tandis que celui-ci écoute les prestations depuis le bureau de son père, grâce à un haut-parleur relié au micro devant lequel défilent les candidates. La voix de Nimra impressionne le chanteur et Yousri Pacha, son père, mais un malentendu conduit l’assistant à la renvoyer du théâtre. Heureusement, Nimra ne s’avoue pas vaincue. Sa voix n’a pas convaincue son idole, pense-t-elle, alors c’est par l’amour qu’elle l’atteindra. Elle retrouve les deux hommes dans un cabaret. Ils s’installent à la même table. Yousri Pacha est aussitôt séduit par sa personnalité mais Monir les a rapidement laissés en tête à tête pour rejoindre à une autre table sa fiancée. Décidément, la partie ne va pas être facile…


Dimanche 1er septembre à 19h30

La Boulangère d'Hassan Al Imam (Baiat al khoubiz, 1953)
avec Amina Rizq, Chadia, Magda Al Sabbahi, Zaki Rostom, Omar El Hariri, Soliman Naguib, Chukry Sarhan, Mahmoud Shoukoko, Hussein Riad, Thoraya Helmy, Shafil Nour El Din 
Scénario : Elsayed Beidir et Hassan Al Imam 
Musique : Berlanty, Abdel Halim Hafez, Fathy Qoura, Mahmoud Al Sharif, Hussein Guenid


La Boulangère est l’adaptation du roman de l’écrivain français Xavier de Montépin, La Porteuse de Pain (1884). 
Mélodrame. Après la mort de son mari, Khadija reste seule avec ses deux enfants. Elle habite un appartement dans l’enceinte de l’usine où travaillait le défunt. Raïs Abdul Hakim tourne autour de la jolie veuve mais celle-ci a toujours repoussé ses avances. De dépit, l'homme met le feu à l’usine et accuse Khadija. Elle est condamnée à dix ans d’internement en hôpital psychiatrique. Ses enfants sont placés en orphelinat. Quand elle est libérée, elle va tout entreprendre pour les retrouver…




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