روتانا كلاسيك
Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana
Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée
(heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain
matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet
d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs
qualités artistiques.
Samedi 31 octobre à 14h30
Que veulent les filles ? d’Hassan El Seifi (Elbanat Ayza Aih, 1980)
avec Soheir Ramzy, Mahmoud Abdel Aziz, Samir Ghanem, Hayatem, Salah Nazmi, Mohamed Shawky, Salama Elias, Nabil El Hegrassy, Tawfiq Al Kurdi, Aml Ibrahim, Saleh Al-Eskandarani, Nadia Shams Eddine, Mona Abdullah, Faten Fouad
Scénario : Ahmed Abdel Wahab
Musique : Fouad El Zahry
Layla refuse de se marier : elle est persuadée que tous les hommes mentent depuis que sa sœur s’est suicidée le jour de son mariage parce qu’elle venait d’être abandonnée par son fiancé. Son père ne supporte plus son entêtement à rester célibataire. Il envoie une lettre à Ahmed qui est rédacteur dans le journal local. Il lui explique le problème de sa fille. Ahmed a un ami, Kamal. Ce dernier fut un séducteur invétéré mais depuis quelque temps il souhaite se ranger et faire un beau mariage. Ahmed le convainc de demander la main de Layla…
Vendredi 30 octobre à 22h
Kahraman d'El Sayed Bedeir (1958)avec Gamal Sami (Hamid), Hoda Soltan (Kahraman), Ferdoos Mohamed (la mère d’Hamid), Yehia Chahine (Abdel Wahid, le frère d’Hamid), Abdel Moneim Ibrahim (Sami, un ami d’Hamid), Fahmy Omar (Rachid, un ami d’Hamid), Houria (la lingère), Reyad El Kasabgy (le trafiquant de drogue), Abdel Moneim Ismaïl (un complice du trafiquant de drogue), Mohamed Tawfik (le serviteur), Ahmed Louxor (le juge), Adawy Gheith (le barman)
Danseuse : Zeinat Olwy
Scénario : d'El Sayed Bedeir et Farid Shawki
Musique et chansons : Fouad El Zahry, Fathy Qoura, Ismail El-Habrouk, Mohamed Al-Muji, Mahmoud El Sherif
Production : Ramses Naguib
Drame. Hamid vit à Damanhour avec sa mère et son frère aîné qui est l’imam de la mosquée. Hamid est un élève brillant. Après le lycée, il suit des cours à l’université d’Alexandrie. Avec des camarades, il se rend dans une boîte de nuit où chante Kahraman. Hamid est tout de suite attiré par cette blonde pulpeuse au sourire ravageur. Il fait sa connaissance puis ils deviennent très vite amants. Pour le jeune étudiant, c’est le début d’une descente aux enfers…
Jeudi 29 octobre à 18h30
Salama va bien de Niazi Mostafa (Salama fi Kheir, 1937)avec Naguib al Rihani, Raqiya Ibrahim, Rawhiyya Khaled, Hassan Fayek, Raqya Ibrahim, Stephan Rosty, Fouad Shafik, Ferdoos Mohamed, Omar El Hariri
Scénario : Badie Khairy et Naguib Al Rihani
Musique : Abdul Hamid Abdul Rahman et Mohamed Hassan Al Shugai
Production : les Studios Misr
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien
Comédie. Salama, employé dans un grand magasin de tissus, doit porter à la banque une grosse somme d’argent. Celle-ci étant fermée, il décide de passer la nuit dans le luxueux Nefretiti Palace Hotel pour protéger son trésor d’éventuels voleurs. Les problèmes surviennent lorsqu’à la suite d’un quiproquo il est pris pour le richissime Prince Kindahar du Bloudestan.
Mercredi 28 octobre à 22hSept Jours au Paradis de Fateen Abdel Wahab (Sabaa Ayam fil Janna, 1968) avec Nagat El Saghera, Hassan Youssef, Amin Elheneidy, Adel Imam, Youssef Fakhr El Din, Shahinaz Taha, Nadia Seif El Nasr, Tawfiq El Deken, Ali Jawhar
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Musique : Mohamed Abdel Wahab, Fouad El Zahry, Saïd Mekawi, Mansour Rahbani, Asi Rahbani
Production : Ramses Naguib
Comédie musicale. Pour vivre, Karouan et son oncle Amin vendent du jasmin sur la plage à Alexandrie. Afin d’attirer les clients, la jeune femme chante et Amin l’accompagne à l’accordéon. Un jour, un journaliste assiste à leur petit numéro et cela lui donne l’idée d’un nouveau reportage. Il propose au duo de vivre pendant sept jours l’existence des riches et lui relatera dans son journal cette expérience inédite. Karouan et Amin acceptent. Le journaliste conduit ses deux nouveaux amis au Caire et les installent dans un hôtel luxueux. L’oncle doit se faire passer pour un millionnaire de retour du Brésil avec sa fille Houda. Un article paraît dans le journal pour annoncer l’arrivée en Egypte de ces deux éminents personnages…
Mardi 27 octobre à 18h30L'Inspecteur de Police d’Hussein Fawzi (moufatish al-mabahith, 1959)
avec Rushdy Abaza, Sharifa Fadel, Nagwa Fouad, Zeinab Sedky, Youssef Wahby, Abdel Haffez Al Tatawy, Anwar Mohamed, Ahmed Saïd, Thuraya Fakhry, Roshdy Al Madhy, Zakaria Suleiman
Scénario : Hussein FawzI, Kamal Mokhtar, Al Sayed Ziada
Musique : Sayed Mekawi, Al Sayed Ziada, Baligh Hamdy, Ahmed Fouad Hassan
Production : les films Hussein Fawzi
appréciation : 2/5
Le mari d’une danseuse surprend celle-ci avec Hossam, son amant. Il sort un revolver de sa poche et s’apprête à tirer sur l’infidèle. Mais l’amant se jette sur le jaloux. Une détonation retentit. Le mari s’effondre. Hossam s’enfuit, persuadé d’avoir tué son rival. Il veut retourner dans son village natal. A la gare, il retrouve un inspecteur de police qui prend le même train que lui et s’installe dans le même compartiment. Hossam change de compartiment. Las ! L’inspecteur l’a suivi. Quand le meurtrier quitte le train pour prendre un car, le policier fait de même. Il va jusqu’à s’asseoir en face de lui. Hossam en est convaincu : l’inspecteur le poursuit et va l’arrêter. Alors il avoue tout et tente d’expliquer qu’il n’a pas voulu tuer l’homme mais que c’est un malheureux accident. Hossam comprend très vite que le policier ne savait rien de son crime. Il avait pris un congé pour assister au mariage de sa soeur. Après de tels aveux, l’inspecteur est bien obligé de l’arrêter pour le conduire au commissariat le plus proche. Hossam parvient à s’enfuir et trouve refuge dans une maison du village. Cette maison ne lui est pas inconnue : c’est celle de la famille de la jeune fille qu’il a autrefois séduite et qu’il a abandonnée alors qu’elle était enceinte. Mais l’inspecteur a retrouvé sa trace et s’est introduit dans la maison. Il devient le spectateur privilégié des retrouvailles d’Hossam et de Hoda, la jeune femme délaissée.
Lundi 26 octobre à 16h30
Ali Baba et les quarante voleurs de Togo Mizrahi (Ali Baba wel Arba'in Haramy, 1942)
avec Ali Al Kassar (Ali Baba), Mohamed Abdel Moteleb (Hassan), Ismael Yassin (Belout), Abdel Meguid Choukry (Barakat), Zakeya Ibrahim (femme d’Ali Baba), Reyad El Kasabgy (Hafez Shaalan, le chef de gang), Zaki Ibrahim (Prince Nasser), Hassan Baroudi (le frère d’Ali Baba), Rafia Al Shaal (la belle-sœur d’Ali Baba)
Scénario : Togo Mizrahi
Musique : Izzat El Gahely et Riad El Sonbati
Production : Bahna Films
L'adaptation cinématographique du célèbre conte tiré des Mille et Une Nuits.
Ali Baba mène une existence miséreuse tandis que son frère Qassim vit dans l’opulence. Un jour, avec son compagnon, il découvre dans la forêt une grotte appartenant à des voleurs. Il a entendu le chef de la bande prononcer le mot de passe permettant l’ouverture de la grotte. Quand les voleurs sont repartis, les deux hommes peuvent explorer le repaire. Les voleurs y entreposent tous les trésors qu’ils ont amassés grâce à leurs activités coupables. Ali Baba et son ami s’emparent de tout ce qu’ils peuvent et rentrent vite chez eux…
Dimanche 25 octobre à 22h
La ruelle du Bergwan d’Hussein Kamal (Harat Borgwan, 1989)
avec Nabila Obeid, Ahmed Abdelaziz, Youssef Shabaan, Hamdy Gheith, Noha El Amrousy, Adawy Gheith, Fouad Khalil, Aziza Rached, Youssef Aïd, Ahmed Abou Abya, Hanem Mohamed, Sana Soliman
Scénario et dialogues : Mostafa Moharam
D’après une histoire d’Ismail Waly Eddin
Musique : Ammar El Sherei
Drame. Zinat est une jeune femme qui vit dans un appartement délabré avec la famille de son mari. Ce dernier est un individu peu recommandable, sale et toujours ivre. Un jour, Zinat le surprend avec sa maîtresse. Ils divorcent et Zinat doit quitter l’appartement. Elle se retrouve seule, sans travail et sans un sou : son ex-mari lui a volé toutes ses économies. Heureusement, elle trouve un travail dans une grande blanchisserie appartenant à Maître Saïd. Medhat, le directeur de l’établissement, est très vite attiré par sa nouvelle employée. Celle-ci, peu sensible au charme de son patron, repousse fermement ses avances incessantes…
Samedi 24 octobre à 19h30 Poursuite amoureuse de Nagdy Hafez (Moutarada gharamia, 1968)avec Fouad El-Mohandes (Mounir), Shweikar (Mona), Madiha Kamel (Maria, l’hôtesse italienne), Hassan Mostafa (Fantomas, le maître d’hôtel de Mounir), Abdel Moneim Madbouly (le psychiatre), Camelia (l’hôtesse française), Shahinaz Taha (l’hôtesse américaine), Kawthar Shafiq (l’hôtesse japonaise), Thérèse (l’hôtesse anglaise), Mahmoud Azmy (Sami)
Scénario : Farouk Sabry
Directeur de production : Kamal Hussein
Comédie. Adaptation de la comédie à succès « Boeing Boeing » de Marc Camoletti. Mounir est un homme très riche qui, malgré sa fortune, travaille comme contrôleur aérien. C’est un dom juan impénitent qui entretient une relation amoureuse avec cinq hôtesses en même temps, toutes les cinq de nationalités différentes. Il a en outre la passion des chaussures de femmes qu’il collectionne chez lui. En plus de ses « liaisons internationales », il a une fiancée officielle, Mona, une hôtesse égyptienne. Cette dernière menace de le quitter s’il ne renonce pas à sa vie de play-boy et à sa collection de chaussures. Mounir, plein de bonne volonté, demande de l’aide à un psychiatre...
Vendredi 23 octobre à 23h
Chagrin d'amour de Salah Abou Seif (Lawet el hub, 1960)
avec Shadia, Omar Sharif et Ahmed Mazhar, Salwa Ezz Eddin, Shafiq Nour El Din, Esmat Mahmoud, Abdel Ghany El Nagdi, Aziza Helmy, Thuraya Fakhry, Abdel Moneim Ismaïl, Kamal Anwar, Abdel Azim Kamel, Saïd Khalil, Layla Karim
Scénario : Salah Abou Seif, Galil El Bendary, El Sayed Bedeir
D’après le roman d’Emile Zola, la Bête Humaine (le film s'inspire du roman de l'écrivain naturaliste mais on ne peut pas vraiment le considérer comme une adaptation au sens strict.)
Musique : Fouad El Zahry
Drame sentimental. Mahmoud est un conducteur de train. Il est marié à Amal, une jeune brodeuse. C’est un mari peu aimant. Il passe ses soirées au café pour boire de l’alcool avec ses amis et quand il rentre, il attend de sa femme une soumission totale. Il n’hésite pas à la brutaliser et à lui imposer des rapports sexuels auxquels elle essaie vainement de se soustraire. Mahmoud traite Amal comme une esclave qui doit le servir en tout. Dans son malheur, la jeune femme n’a qu’une consolation : la présence de son chat, présence qui naturellement irrite le despote domestique. Un jour, Mahmoud doit partir pour une mission qui le tiendra éloigné un certain temps de la ville. Il charge son collègue Hassan de prendre soin de sa femme. La complicité entre l’ami et l’épouse est immédiate, une complicité qui au fil des jours se change en passion amoureuse.
Jeudi 22 octobre à 19h30
Hassan et Nayma d'Henry Barakat (1959)
avec Muharam Fouad (Hassan), Soad Hosny (Naïma), Wedad Hamdy (Fatima), Hassan El Baroudy (Abdulaq), Mahmoud El Sabba (Atwa), Hussein Assar (Metwali), Naïma Wasfi (mère d’Hassan), Lotfy El Hakim (le maire), Layla Fahmy (servante), Neimat Mokhtar (danseuse), Hussein Ismaïl, Mohamed Tawfik, Abdelalim Khattab, Ibrahim Saafan
d’après un récit d’Abdel Rahman El Khamisy
Scénario : Henry Barakat et Abdel Rahman El Khamisy
Musique : Mohamed Abdel Wahab, Morsi Gamil Aziz, André Ryder, Mohamed Al Mogi, Abdel Rahman El Khamisy
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien
Drame. Metwaly est un riche paysan qui ne pense qu’à accroître sa fortune et agrandir son domaine. Sa fille Naïma est tombée amoureuse d’un jeune chanteur du nom d’Hassan. Régulièrement, ils se retrouvent en cachette et se promettent l’un à l’autre. Malheureusement Metwaly a d’autres projets pour sa fille. Il souhaite qu’elle épouse Atwa, plus vieux mais surtout beaucoup plus riche qu’Hassan. Les deux amoureux décident de s’enfuir. ...
C'est le premier film de Soad Hosny. Elle a quinze ans.
Mercredi 21 octobre à 19h30
Des Bouches et des Lapins d’Henry Barakat (Afwah We Araneb, 1977)
avec Faten Hamama (Naema), Mahmoud Yassin (Mahmoud Bey), Farid Shawki (Abdel
Maged), Magda El-Khatib (Raguia), Ali El Sherif (Maître Al Batawi), Ragaa
Hussein (Gamalat), Abou Bakr Ezzat (Youssef), Hussein Asar (Oncle Mustafa),
Wedad Hamdy (Fayza, l’amie de Naema), Hassan Mostafa (Fathy Al Faki), Mohamed
Al Saqqa (Khalil), Ahmed Abaza (le marchand de fruits), Salah Nazmi (Ahmed),
Enas El Dighade (Noha), Aleya Abdel Moneim (la mère de Noha)
Scénario : Samir Abdel Azim
Musique : Gamal Salamah
Production : Compagnie des Films Unis
Naema est une femme qui vit dans un petit village, près de Mansoura. Elle réside dans la même maison que sa sœur Gamalat, son beau-frère Abdel Maged, et leurs neuf enfants. Abdel Maged est sans emploi et passe toutes ses journées à boire. C’est donc Naema qui entretient toute la famille grâce à son travail dans une usine de glaces. Un jour, le plus âgés de ses neveux vole deux poulets chez le marchand de volailles du village. Il s’est fait prendre par le commerçant et Naema intervient pour obtenir sa libération. Le marchand accepte de retirer sa plainte mais, en échange, il souhaite épouser la jeune femme. Bien que l’homme ait déjà trois femmes et vingt-deux enfants, la sœur et le beau-frère de Naema voient d’un très bon œil cette union car elle permettrait de résoudre les difficultés financières de la famille. Pour échapper à ce mariage dont elle ne veut pas, Naema quitte le village. Elle devient la gouvernante d’un riche et séduisant propriétaire terrien. La servante et le maître tombent amoureux l’un de l’autre…
Mardi 20 octobre à 13h30
J’ai failli détruire mon foyer d’Ahmed Kamel Morsi (Kedt Ahdem Baity,
1954)
avec Raqya Ibrahim (Raqya), Mohsen Sarhan (Hamdy), Mahmoud El Meleigy
(Safwat), Zeinab Sedky (la mère de Raqya), Sherifa Mahear (Layla, l’amie de
Raqya), Samiha Ayoub (Mounira, la baby-sitter), Sanaa Jamil (Sonia), Muhammad
Tawfiq (le secrétaire d’Hamdi), Mahmoud El Sabaa (Mahmoud), Hermine (la
danseuse), Nadia El Shennawi (la petite fille), Mahmoud Azmy (le cousin de
Raqya), Mounir El Fangary (le serviteur de Safwat)
Scénario : Salah Zohni, Ahmed Kamel Morsi, Galil Al-Bendary
Musique : Ibrahim Haggag, Mounir Mourad, Tawfiq Al-Alaili
Hamdi est un avocat prospère qui mène une existence paisible auprès de sa
femme, Raqya et de ses deux enfants. Pour s’occuper de ces derniers, il y a
Mounira, la baby-sitter. Mais celle-ci ne donne pas entièrement satisfaction à
Raqya et elle est rapidement remplacée par une autre jeune femme. Un soir,
alors qu’Hamdi est au club des avocats pour jouer au billard avec son ami
Mahmoud, il ne peut s’empêcher d’écouter le discours que tient Safwat à
quelques amis réunis autour de lui. Safwat se présente comme un grand
connaisseur des femmes et il assure que toutes sont infidèles et que lui-même
a une liaison avec une femme mariée. Il n’en faut pas plus à Hamdi pour douter
de la fidélité de Raqya. Il devient d’une jalousie de chaque instant et en
fouillant dans la maison, il finit par trouver des lettres d’amour signées
Safwat. Ce qu’il ne sait pas, c’est que ces lettres étaient destinées à
Mounira, leur ancienne baby-sitter. Il demande le divorce…
Lundi 19 octobre à 13h30
Mon cœur t’aime d’Hussein Sedky (Qalby Yahwak,
1955)
avec Hussein Sedky (Ahmed), Sabah (Souad), Samiha Ayoub, Nour El
Demerdash (Zaki, collègue d’Ahmed), Abdel Ghany Kamar (Jamil, un vendeur
du magasin), Zaki Ibrahim (le propriétaire du magasin de vêtements et le
père de Souad), Samiha Ayoub (Afkar, la première femme d’Ahmed), Mohamed
El Dib (Tawfiq, le gérant du magasin), Ibrahim Hechmat (le père
d’Ahmed), Victoria Hobeika (la tante de Souad), Nadia Gamal (la
danseuse), Akram Jawdat (Samiha, la cousine de Souad)
Scénario : Hussein Sedky et Abdel Aziz Salam
Musique : Abdel Aziz Salam, Zakaria Ahmed, Kamal Al Tawil, Mohammed Al
Mogi, Mohamed Mohasen
Production : Hussein Sedky
Ahmed a quitté Tanta, sa ville natale, pour s’installer au Caire. Il a
trouvé un travail dans un grand magasin de vêtements. Grâce à son
dynamisme, il obtient rapidement un poste de responsable. Il s'est aussi
marié mais très vite la mésentente s’est installée dans le couple. Il a
très vite divorcé. Ahmed est amoureux de Souad, la fille du patron qui,
en compagnie de sa cousine, se rend fréquemment dans le magasin. Jamais
Ahmed n’oserait lui avouer ses sentiments mais son ami et collègue Jamil
lui certifie qu’elle aussi est amoureuse de lui. Quand il a dû
s’absenter pour des raisons de santé, la jeune femme n’a pas caché son
désappointement. Souad est déjà fiancée à Tawfiq, le gérant du magasin
mais elle ne l’aime pas, elle le trouve même laid. Le jour de son
anniversaire, elle décide d’inviter Ahmed à la petite fête qu’elle
organise. Il accepte l’invitation mais il ne s’y rendra pas. Son
ex-femme a fait irruption chez lui pour lui annoncer qu’elle est
enceinte…
Dimanche 18 octobre à 19h30
Un Million de Livres d’Hussein Fawzi (Million guinîh,
1953)
avec Naima Akef, Mahmoud Shoukoko, Chukry Sarhan, Abd El Fatah El
Kosary, Zinat Sedki, Mahmoud El Meleigy, Samira Ahmed, Zouzou Chakib,
Wedad Hamdy, Aziza Helmy, Hassan El Baroudy, Safa El Gamil
D’après un récit de Mark Twain
Dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Scénario : Hussein Fawzi
Production : les films Hussein Fawzi
Des ouvriers découvrent dans une vieille maison qu’ils devaient
abattre un coffre contenant un trésor d’une valeur d’un million de
livres. On retrouve les cinq héritiers de l’ancien propriétaire.
Parmi eux, il y a Falafel Abou Fadl, une jeune femme qui mène une
vie misérable. Elle passe ses journées à errer dans les rues de la
ville à la recherche d’un travail. Un restaurateur compatissant
accepte de la prendre à l’essai mais ses multiples gaffes ont très
vite raison de la patience de l’homme et elle se retrouve sans
emploi. La situation est dramatique : il lui faut au plus vite
trouver de l’argent pour régler son loyer qu’elle n’a pas payé
depuis trois mois. C’est dire à quel point cet héritage tombé du
ciel va bouleverser son existence…
Samedi 17 octobre à 19h30
Le Fantôme de ma femme de Fateen Abdel Wahab (Ifrit
meraty, 1968)
avec Shadia, Salah Zulficar, Imad Hamdy, Adel Imam, Hassan Hussein,
Amal Zayed, Hassan Mostafa, Hala Fakher, Hussein Ismaïl, Abbas
Rahmy, Sana Maher, Nabila El Sayed, Ibrahim Safaan
D’après une histoire de Lucien Lambert
Scénario et dialogues : Ali El-Zorkani
Musique : Mounir Mourad, Michel Youssef, Hussein El Sayed
Comédie. Le bonheur conjugal d’un jeune couple est mis à rude
épreuve à cause d’une étrange maladie qu’a contractée la femme. A
chaque fois qu’elle va au cinéma voir un film, elle rentre chez elle
convaincue d’être l’incarnation de l’un des personnages dont elle
vient de suivre les aventures. Les médecins ont averti le mari qu’il
ne doit en aucun cas s’opposer au comportement délirant de sa
compagne. Au contraire, il lui faut collaborer en jouant les rôles
que dans ses divagations elle lui aura attribués. Tout se gâte quand
elle se prend pour Irma la douce (célèbre personnage de prostituée)
alors qu’elle et son mari reçoivent des invités…
Vendredi 16 octobre à 17h30
Le Prisonnier d’Abou Zabal de Niazi Mostafa (Sageen Abu
Za'abal, 1957)
avec Mohsen Sarhan (Hassan), Mahmoud El Meleigy (Mahmoud Abou Al
Rous), Stephan Rosty (Al Khawaja Al komanda), Zahrat Al Oula
(Sonia), Monera Sonbul (la maîtresse d’Al Khawaja Al komanda),
Olwiyya Gamil (la mère d’Hassan et de Sonia), Said Abou Bakr
(Saïd, l’ami d’Hassan), Kamal El Zeiny (l’officier de police),
Hassan Hamed (un homme de main d’ Al Khawaja Al Komanda), Mohamed
Sobeih (un homme de main d’Al Khawaja Al Komanda)
Scénario : El Sayed Bedeir, Mahmoud El Meleigy, Niazi Mostafa
Hassan est conducteur de bateau pour Al Khawaja AL Komanda, un
homme d’affaires très puissant. Il vit avec sa mère et sa sœur
Sonia. Cette dernière est sans cesse harcelée par Mahmoud Abou Al
Rous, un trafiquant de drogue du quartier qui voudrait l’épouser.
Pour que cela cesse, Hassan décide de se rendre dans le café que
fréquente le gangster afin de le corriger mais il est vite
maîtrisé par les complices de celui-ci. Hassan est roué de coups
puis jeté dans la rue. En amour, le jeune homme est plus heureux
que sa sœur même si la situation pourrait lui attirer bien des
problèmes : la jeune maîtresse de son patron est tombée amoureuse
de lui et il n’a pas résisté très longtemps à son charme.
Evidemment, Al Khawaja Al Komanda surprend les deux amants. Avec
la complicité de Mahmoud Abou Al Rous, il va se venger : les deux
hommes parviennent à faire arrêter Hassan pour trafic de drogue.
Il est condamné à la prison à perpétuité. Peu après, Mahmoud Abou
Al Rous envoie une lettre signée Hassan à la mère de celui-ci : il
fait croire à la vieille femme que son fils accepte de lui donner
la main de Sonia…
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