Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.
Samedi 15 août à 17h30
La Petite Poupée d'Ahmed Badrakhan (El aroussa el saghira, 1956)
avec Saïd Mekawi, Saïd Abou Bakr, Yehia Chahine, Mahmoud El Meleigy, Wedad Hamdy, Salah Sarhan, Mariam Fakhr Eddine, Serag Mounir
Scénario et dialogue : Youssef Gohar
Musique : André Ryder
appréciation : 3/5
Mélodrame. Kamel est un modeste employé. Il vit avec sa femme Siham et sa petite fille Nadia. Un jour, son directeur l’invite, lui et sa petite famille, à une soirée dans un cabaret. Après le dîner, le chef d’entreprise demande à Kamel de retourner au bureau pour y effectuer un travail urgent. Une fois son subordonné parti, il en profite pour courtiser Siham. En reconduisant la femme et sa fille chez elles, il a un geste déplacé à l’égard de Siham. Elle le repousse. Vexé, il dépose dans la rue ses deux passagères qui doivent continuer leur route sous une pluie battante. Quand elles regagnent enfin leur petit appartement, Siham raconte tout à son mari. Le lendemain matin, Kamel fou de rage veut corriger son patron. Il est maîtrisé par ses collègues et il est aussitôt licencié. Peu après, Nadia tombe malade...
Le Voyage sur la Lune d’Hamada Abdel Wahab (Rehla Ela Al Qamar, 1959)
avec Ismaïl Yassin (Ismaïl, le chauffeur du minibus), Rushdy Abaza (l’ingénieur Ahmed Roshdy), Safia Tharwat (Stella), Edmond Tuema (Monsieur Charvin), Ibrahim Younes (Monsieur Cosmo), Soad Tharwat (Tula), Gihan (Dana), Hassan Ismaïl (Farid)
Scénario : Hamada Abdel Wahab
Production : Delta Film Productions (Hamada Abdel Wahab)
Monsieur Charvin a terminé la construction de sa fusée. Tout est prêt pour ce grand voyage vers la Lune dont il rêve depuis si longtemps. Il compte bien être le premier homme à s’y poser et à l’explorer. Apprenant l’imminence du décollage de la fusée, l’ingénieur Ahmed Roshdy se rend au centre spatial de Monsieur Charvin afin de récolter un maximum d’informations sur ce qui s’annonce comme une avancée majeure dans la conquête de l’espace. Il est accompagné de journalistes du quotidien Al Akbar al Youm et de leur chauffeur Ismaïl. Sur la base, ils sont accueillis par Monsieur Charvin lui-même qui ne veut absolument pas qu’on photographie son invention. Seul, Ahmed est autorisé à le suivre et à monter dans la fusée. Mais Ismaïl le chauffeur a réussi à échapper à la surveillance des gardiens et il entre lui aussi dans l’engin. Sa présence est aussitôt repérée. Monsieur Charvin le prenant pour un espion, brandit un revolver et s’apprête à tirer. En voulant lui échapper, Ismaïl actionne par inadvertance des manettes du tableau de bord. Catastrophe ! Il vient d’allumer les moteurs. La fusée décolle. Ses trois passagers perdent connaissance. Quand ils retrouvent leurs esprits, la Terre est déjà loin. La suite de l’histoire aura pour cadre la Lune. Les trois astronautes découvriront que le satellite de la Terre est déjà habité par un certain Monsieur Cosmo qui y séjourne avec ses sept filles, aussi jolies les unes que les autres.
Jeudi 13 août à 19h30
Fleur de Henné de Hussein Fawzi (Tamr Henna, 1957)
avec Ahmed Ramzy (Ahmed), Rushdy Abaza (Hassan), Naima Akef (Tamr Henna), Fayza Ahmed (Maysa), Zeinat Sedki (amie de Tamr Henna), Serag Mounir (père d’Ahmed), Hafez Amin (Glambo Al Haram), Kamal Anwar (Aweys), Stephan Rosti (Rustam), Cariman (Kawther)
Dialogues : Galil El Bendary
Musique : Mohamed Al Mungi
Production : Hussein Fawzi
Comédie musicale. Tamr Henna est une bohémienne. Elle gagne sa vie comme danseuse du ventre. Elle travaille avec Hassan qui se produit en Hercule dans les foires. C’est un peu son fiancé et il est d’une jalousie féroce à l’encontre des spectateurs mâles qui manifestent leur intérêt pour sa belle de manière trop appuyée. Un jour, Ahmed, un jeune homme riche, assiste à leur numéro. Il tombe aussitôt amoureux de Tamr Henna. Ils se reverront et la jeune femme finira elle aussi par succomber au charme de son nouveau soupirant, au grand dam d’Hassan.
Mercredi 12 août à 23h
Des Années d'Amour de Mahmoud Zulficar (Sanawat El Hob, 1963)
avec Nadia Lutfi (Nadia), Chukry Sarhan (Adel), Mohamed Awad (le cousin d’Adel), Layla Taher (amie de Nadia), Mahmoud Azmy (Fathy, le frère d’Adel), Zeinab Sedky (la mère d’Adel et Fathy), Fifi Saheid (la mère de Nadia), Abdel Azim Kamel (le père de Nadia), Soheir Zaky, Layla Yousry
Scénario : Amin Youssef Ghorab
Production : Abbas Helmy
Drame sentimental. Nadia et Adel se sont rencontrés dans le train. Ils s’apprécient beaucoup et ils décident de se revoir. Mais Adel ne se présente pas à leur rendez-vous. Il a subitement quitté Le Caire sans pouvoir prévenir Nadia. Il lui écrit une lettre dans laquelle il explique son absence. Malheureusement la jeune femme ne la reçoit pas. Par désespoir, elle accepte d'épouser le frère de celui qui semble vouloir la fuir. Quelque temps après le mariage, Adel refait son apparition…
Mardi 11 août à 13h30
Professeur particulier d’Ahmed Diaa Eddine (Mudaris khususi,
1965)
avec Nadia Lotfi (Nadia, la demi-sœur de Mamdouh), Emad Hamdy (le professeur Fahmy), Hassan Youssef (Mamdouh), Youssef Shabaan (Ahmed), Adly Kasseb (Fadel, le père de Nadia et de Mamdouh), Mimi Chakib (la mère de Mamdouh), Soheir Zaky (Soheir, la sœur d’Ahmed), Madeiha Hamdy (Ilham, la sœur de Fahmy)), Mahmoud El Meleigy (le père d’Ahmed), Mohamed Sultan (Yousri, le cousin de Nadia), Rashad Ahmed (l’officier de police), Anwar Madkour (le directeur de l’école de droit)
Scénario : Adli El Moled et Ahmed Diaa Eddine
Musique : Soleiman Gamil
Mamdouh vit avec Nadia, sa dem-sœur chez son père, un homme riche mais très autoritaire. Ses parents sont séparés et le jeune homme se rend régulièrement chez sa mère qui le gâte de manière excessive. Mamdouh est ami avec Ahmed, un garçon peu recommandable. Le père d’Ahmed possède un grand garage automobile qui n’est que la partie légale de son activité. En réalité, il dirige un trafic de voitures volées et c’est Ahmed qui se charge de récupérer les véhicules. Ahmed a une sœur, Soheir. Leur père rêve de la voir épouser Mamdouh et pour réaliser ce projet, il peut compter sur le soutien de la mère de celui-ci. Mamdouh est un garçon insouciant et peu travailleur. Afin de combler ses lacunes, il prend des cours particuliers auprès de Monsieur Fahmy, Ce dernier travaille jour et nuit pour subvenir aux besoins de sa jeune sœur et de son père très malade. Il est ambulancier mais il donne aussi des cours particuliers à un grand nombre d’étudiants. Un jour, Fahmy retrouve dans l’un de ses manuels une lettre d’amour signée de Nadia. Il croit qu’elle lui est adressée alors que son destinataire est en fait Yousri…
Le Fauve de la Nuit d'Hassan El Seifi (Sabah Al Leila, 1971)
avec Roshdy Abaza, Mervat Amine, Nagwa Fouad, Tawfik El Deken, Ahmed Al Haddad, Salah Nazmi, Muhammad Faraj, Hussein Ismaël, Seif Allah Mokhtar, Mohamed Shawky, Helmy Abdel Wahab, Ali Arabi, El-Toukhy Tawfiq
Scénario : Adly Al Mouled
Production : Gomhouria Film
Thriller. Helmi al-Gendi a quitté son mari et s’est installée en France avec sa petite fille Salwa. Les années passent. Helmi meurt laissant seule Salwa qui est devenue une jeune femme. L’orpheline décide de rentrer en Egypte pour rechercher son père. En attendant, elle trouve un emploi comme hôtesse dans un casino. Elle ne sait pas que celui-ci appartient à un redoutable trafiquant de drogue qu’on surnomme le Fauve de la Nuit. Personne ne connaît son identité, même pas les membres de son gang car il ne quitte jamais sa cagoule qui lui dissimule entièrement le visage. Un jour, Salwa décide de se rendre à Alexandrie. Son patron lui propose un de ses véhicules. En fait, lui et ses hommes ont dissimulé de la drogue dans la carrosserie de la voiture. Salwa prend la route d’Alexandrie suivie de près par le trafiquant qui a pris place dans un camion de chantier conduit par l’un de ses complices.
Au bout d’un certain temps, Salwa s’arrête à une station-service mais quand elle veut repartir, la voiture refuse de démarrer. Hassan, le mécanicien du garage fait un examen rapide du moteur et déclare qu’il faudra plus d’une journée de réparation. Salwa laisse donc le véhicule au bon soin de l’homme de l’art et s’en va. Le lendemain, Hassan découvre la drogue placée dans la roue de secours. Il décide de la mettre dans un sac et de dissimuler le tout dans un champ. A peine s’en est-il débarrassé qu’il tombe nez à nez avec trois des hommes du Fauve de la Nuit. Hassan refuse de leur laisser la voiture. Une bagarre s’ensuit qui tourne à la correction sévère pour le pauvre mécanicien. Les malfrats reprennent possession du véhicule et, croient-ils, de sa précieuse cargaison. ...
Dimanche 9 août à 19h30
Les Deux Orphelines d'Hassan Al Imam (Al Yatimatayn, 1948)
avec Negma Ibrahim, Fakher Fakher, Faten Hamama, Thoraya Helmy, Mohamed Elwan, Nable El Alfy, Abdel Aziz Al Ahmed, Salah Mansour, Reyad El Kasabgy, Naïma Al Soghayar, Abdel Moneim Ismaïl, Mohsen Hassanein, Gamalat Zayed
Scénario : Hassan Al Imama et Henry Barakat
Dialogues : Abou Al Sayed Al Ebiary
Musique : Izzat El Gahely, Ibrahim Fawzy, Naïma Al Soghayar
Mélodrame, adaptation du roman Les Deux Orphelines (1877) des deux auteurs français Adolphe d'Ennery et Eugène Cormon.
Un nourrisson a été déposé à l’entrée de la mosquée. Ses cris ont attiré les croyants venus faire leurs prières. L’un d’eux pris de pitié décide d’amener l’enfant chez lui. L’homme charitable s’appelle Morsi. Il a déjà une fille du nom de Sania. La petite orpheline qu’on appelle Naïma est élevée avec elle. Les deux enfants grandissent comme deux sœurs, toujours gaies, toujours complices. Mais Morsi meurt. Alors Naïmat et Sania doivent travailler pour survivre. Elles vendent des foulards dans les rues. Un jour, Naïmat éprouve des douleurs oculaires. On consulte un médecin. Son diagnostic tombe : la jeune fille va perdre la vue. Peu après, les chemins des deux « sœurs » se séparent…
Samedi 8 août à 19h30
Ma belle-mère est une bombe atomique d’Helmy Rafla (hamati kombola zorria, 1951)
avec Taheya Carioca (Batta), Ismail Yassin (Zaher), Abd El Fatah El Kosary (Maître Hassouna), Aziza Helmy (Soheir Hanim, la voisine), Wedad Hamdy (la servante), Mohamed El Genedy (Madbouly le chanteur), Shadia (Halawa, la belle-fille de Maître Hassouna), Gamal Fares (Kris, l’amoureux de Halawa), Abdel Moneim Ismail (l’agent de police), Nabawya Mostafa (danseuse), Mary Moneib (la mère de Batta)
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary Musique : Mahmoud Al Sharif, Fathy Qoura et Ahmed Sedky
Comédie musicale. Zaher est marié à la danseuse Batta. Il serait le plus heureux des hommes si sa belle-mère ne s’était pas installée dans leur foyer. Celle-ci se comporte en tyran domestique et la vie à la maison devient un enfer. La vieille femme a aussi un projet : elle veut que sa fille divorce de Zaher qu’elle considère comme un raté pour épouser Maître Hassouna, un riche marchand de sa connaissance. Un jour, elle rencontre chez le coiffeur une ancienne voisine de Zaher. Cette dernière lui fait des confidences et lui apprend qu’elle a été mariée il y a très longtemps avec Zaher : l’homme qu’elle aimait avait déjà divorcé trois fois et elle devait impérativement se marier puis divorcer au moins une fois pour être autorisée à convoler avec l’élu de son cœur. Zaher avait accepté d’être ce premier époux de « convenance ». Evidemment, ils avaient divorcé le lendemain. Cette histoire enflamme l’imagination de la belle-mère : elle fait croire à son gendre qu’il a eu de cette première union, une fille et que celle-ci s’apprête à faire son apparition. Zaher est abasourdi…
Ça c’est l’amour de Salah Abou Seif (Haza Howa al Hob, 1958)
avec Lobna Abdelaziz (Sharifa), Yehia Chahine (Hussein), Hussein Riad (le père de Sharifa), Mahmoud Azmy (Fouad l’architecte qui était amoureux de Sharifa), Abdel Moneim Ibrahim (Toufik, un ami d’Hussein), Zeinat Olwi (la danseuse lors du second mariage de Sharifa), Mary Moneib (la mère d’Hussein), Omar El Hariri (Bhagat, un ami d’Hussein), Soheir El Baouni (une amie d’Hussein), Ferdoos Mohamed (la mère de Sharifa)
Scénario et dialogues : Mohamed Kamal Hassan Al Mouhamy
Musique : Fouad El Zahry
Production : Ramses Naguib
Drame. Hussein est un ingénieur qui travaille pour la ville du Caire. Sur le plan des valeurs, il est très conservateur. Il souhaiterait épouser une femme qui n’a jamais connu d’homme avant lui. Il pense avoir trouvé l’épouse idéale en Sharifa, une jeune fille qui réside avec ses parents dans un appartement en face du sien. Souvent, il l’observe de sa fenêtre et elle manifeste toutes les qualités qu’il souhaite trouver chez une femme. Avec l’aide de ses amis, il entre en contact avec Sharifa puis après les tractations traditionnelles entre parents, c’est le mariage. Le jeune couple part en voyage de noce à Fayoum mais le séjour est soudain gâché par une découverte que fait Hussein : il apprend que sa femme avait déjà vécu une première histoire d’amour avant leur rencontre. Il ne supporte pas cette idée. De retour au Caire, il demande le divorce…
Les Filles d’Eve de Niazi Mustafa (Banat Hawa, 1954)
avec Mohamed Fawzi, Madiha Yousri, Shadia, Ismail Yassin, Zinat Sedki, Abdel Moneim Ismail, Edmond Tuema, Hind Rostom, Abdel Ghany Kamar, Awatef Ramadan, Hassan Hamed, Mohamed Reda, Thuriya Salem, Ragwat Mansour, Salha Kasin, Esther Shattah, Ahmad bali, Shaladimo, Abdel Hamid Badawy, Mary Bay Bay, Fawzeya Ibrahim, Hermine
Scénario : Abou Al Seoud Al Ebiary, Niazi Mostafa
Musique : Mohamed Fawzi, Abd Al Aziz Salam, Fathy Qoura
Paroles des chansons : Saleh Gawdat, Abou Al Seoud Al Ebiary
Producteur : Mohamed Fawzi
Comédie musicale. Esmat est la propriétaire des magasins Jeunesse et Beauté. C’est une féministe convaincue : dans sa société, elle n’emploie que des femmes et elle a créé une association qui lutte pour l’égalité entre les deux sexes. Elle ne veut surtout pas entendre parler de mariage au grand désespoir de sa sœur cadette : celle-ci ne pourra épouser l’homme qu’elle aime qu’une fois Esmat mariée. Un jour, alors que la femme d'affaires se rend en voiture à une réunion de son association, elle renverse un cycliste. Plus de peur que de mal : l’homme se relève sans grande difficulté. Il s’appelle Wahid et c’est un artiste peintre. Il se rendait à une exposition pour y présenter une œuvre qui a été abîmée dans sa chute. Esmat veut le dédommager mais Waid refuse : il est ébloui par la beauté de la jeune femme et souhaite faire immédiatement son portrait. Esmat accepte. Ils s’installent au bord du Nil…
Mercredi 5 août à 23h
Illusions d’Amour de Salah Abou Seif (El Wesada Elkhalya, 1957)
avec Abdel Halim Hafez (Salah), Loubna Abdel Aziz (Samiha), Zahrat Al Oula (Douria), Ahmed Ramzy (Fayez), Omar El Hariri (le docteur Fouad), Abdel Moneim Ibrahim (Hassan), Abdel Wares Asr (le père de Salah), Kawthar Shafik (Sonia), Serag Mounir (le père de Douria), Rafia Al Shal (la mère de Salah)
D’après une histoire d’Ishan Abdul Quddus
Scénario et dialogues : El Sayed Bedeir
Musique : Kamal El Tawil, Mamoun Al Shinnawi, Mounir Mour ad, Mohamed Al Mogi, Ismaël El Habrouk
Film chanté. Alors qu’il arpente les rues du Caire avec ses deux meilleurs amis, Salah fait la connaissance de Samiha. Entre eux, c’est immédiatement le grand amour. Mais leur bonheur est de courte durée car Samiha doit épouser un médecin. L’étudiant pauvre ne peut rivaliser. Il essaie d’oublier celle qu’il aime en passant ses nuits à boire dans les cabarets. Il rencontre une jeune femme qui est éperdument amoureuse de lui mais cela ne suffit pas à lui redonner le goût de vivre. Une nuit, alors qu’il a bu plus que de raison, il a un malaise. Il est hospitalisé. Le médecin qui le soigne est le mari de Samiha…
Mardi 4 août à 19h30
Al-Sakakini d’Houssam Al Din Mustafa (1986)
avec Nour Al Sherif (Azab), Farouk El Feshawi (Samir), Maaly Zayed (Basboussa), Elham Shahin (Houriah, la fiancée d’Azab), Sayed Zayan (Gamil), Mimi Gamal (Chouchou), Ahmed Nabil (Bouchkach), Farouk Falawkas (Zaki), Angel Aram (Rafia), Mona Darwish (Sabah), Naima El Saghir, Farouk Naguib, Ezzat Abdul Jawad, Ahmed Abou Abya, Samir Rostom, Kamal El Zeiny
Scénario : Mostafa Moharam, Bahgat Amar, Sherif Al-Menbawy
Musique : Hassan Abou Al Saoud
Production : Wasif FayezLe titre du film est le nom du quartier du Caire dans lequel vivent la plupart des personnages de cette histoire.
Samir est étudiant en médecine. Il vit avec son frère aîné Azab qui se dévoue sans compter pour lui permettre de décrocher son doctorat. Il a même renoncé au mariage avec Houriah, leur jeune voisine. Pour financer ses études, Samir travaille comme serveur dans une maison close tenue par Madame Chouchou. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de Basboussa, une prostituée devenue dépendante à la cocaïne. Un soir, elle fait un grave malaise. Samir décide de l’aider à sortir de cet enfer…
Le Millionnaire Amoureux d'Atef Salem (Gharam el milioner, 1957)
avec Samia Gamal, Nagwa Saad, Kamal El Shennawi, Said Abu Bakr, Thuraya Fakhry, Laila Hamdy, Abdel Moneim Ibrahim, Adly Kasseb, Abbas Rahmy, Abdel Salam El Nabolsi, Abdel Azim Kamal, Alya Fawzy, Abdel Moneim Basiony
Scénario et dialogues : El Sayed Bedeir
Musique : Kamal Al Tawil
Comédie musicale. Salwa est devenue la danseuse vedette d’un spectacle de danse qui connaît un succès grandissant. Une rumeur se répand selon laquelle Salwa aurait une liaison avec Kamal, un jeune millionnaire. Rachid, le directeur du théâtre est bien décidé à tirer parti de cette "information".
Samedi 1er août à 23h
La Nuit où pleura la lune d’Ahmed Yehia (Laila Baka Feha Al Qamar,1980)
Sabah (Hanan), Hussein Fahmy (Ahmed), Nazim Sharawy, Nabila El Sayed, Waheid Seif, Menirva, Mohamedd Abu Hasheesh, Nabil El Dessouky, Alia Ali
Scénario : Farouk Sabry
Musique et chansons : Gamal Salamah, Mohamed Hamza et Abdelrahman El Abnoudy
Production : Ahmed Yehia
Mélodrame musical. Hanan est une chanteuse célèbre. Un jour, elle tombe en panne en plein désert. Elle est secourue par un jeune homme nommé Ahmed. Malgré leur différence d’âge, ils s’éprennent l’un de l’autre et se marient. Ahmed est un metteur en scène de théâtre qui n’a pas encore réussi à percer. Il compte bien exploiter les relations de sa femme pour lancer sa carrière.
Cette histoire est inspirée d’un épisode de la vie de Sabah qui avait épousé un homme de treize ans son cadet. Grâce à elle, ce mari était devenu un metteur en scène célèbre mais pour la « remercier », il l’avait trompée avec une femme beaucoup plus jeune qu’elle.
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