Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.
Mardi 30 avril à 19h30
La Fille des Aristocrates d'Anwar Wagdi (Bint Al Akkabir, 1953)
avec Layla Mourad, Anwar Wagdi, Ismail Yassin, Zaki Rostom, Soliman Naguib, Zinat Sedki, Ibrahim Emara, Mohamed Abdel Moteleb, Kitty, Mohamed Kamel
Scénario : Abou Al Saoud Al Ebiary et Anwar Wagdi
Musique : Ryad Al Sonbati et Hussein El Sayed
Production : Anwar Wagdi
Layla vit avec son grand-père dans un immense palais. Elle souffre de la solitude qui lui est imposée : les visites et les sorties sont rares. Un jour son grand-père lui annonce qu’il doit s’absenter pour faire le pèlerinage. Il la confie à l’un de ses oncles. Quand celui-ci s’installe au palais après le départ du pacha, il constate que le téléphone fonctionne mal. Il prévient la compagnie des télécommunications qui lui envoie deux réparateurs. Entre Layla et Nour, l’un des deux ouvriers, c’est le coup de foudre instantané. Le jeune homme cache d’autant moins ses sentiments qu’il pense avoir affaire à l’une des domestiques de la maison.
Histoire d'Amour d'Helmy Halim (Hekayat hub, 1959)
avec Abd El Halim Hafez, Mariam Fakhr Eddine, Abdel Salam Al Nabulsi, Mahmoud El Meleigy, Ferdoos Mohamed, Thuraya Fakhry, Ahmed Yehia, Saïd Khalil, Edmond Tuema, Abbas Rahmy, Kamal Anwar, Ibrahim Khan
Scénario : Ali El-Zorkani et Helmy Halim
Musique : André Ryder, Kamal El Tawil, Mohamed Al Mogi, Mounir Mourad, Morsi Gamil Aziz
Production : Helmy Halim
Ahmed Sami est professeur de musique dans une école primaire d’Alexandrie. Grâce à son salaire, il peut subvenir aux besoins de sa mère aveugle et de son petit frère Samir. Ses moments de loisir, il les consacre à chanter et à composer. Son rêve serait de devenir un chanteur célèbre. La chance semble enfin lui sourire. Son voisin l’a conduit dans une soirée mondaine pour qu’il s’y produise. A peine commence-t-il à chanter qu’il est brusquement interrompu par un ivrogne. Profitant de cet incident, quelqu’un met un disque de jazz. Toute la petite société se lance dans une danse endiablée. Ahmed est humilié. Nadia, une jeune et belle aristocrate vient le consoler...
Dimanche 28 avril à 23h
Les Rivages de l'Amour d'Henry Barakat ( Shatie El Hub, 1961)
avec Farid Al Atrache, Samira Ahmed, Kariman, Sherifa Mahear, Taheya Carioca, Fakher Fakher, Ahmed Loxer, Nahed Samir, Salah Nazmi, Katkota
Scénario : Henry Barakat, Abdel Aziz Salam, Youssef Issa
Musique : Farid Al Atrache
Production : les films Farid Al Atrache
Comédie musicale. Layla a grandi seule avec son père, le docteur Ibrahim . Celui-ci a toujours prétendu que sa mère était morte alors qu’elle était bébé. Layla est devenue une ravissante jeune fille. Un jour, elle fait la connaissance de Mamdouh, un célèbre chanteur. Ils tombent amoureux l’un de l’autre. Mamdouh fait sa demande en mariage auprès du père de Layla mais celui-ci manifeste une certaine réticence. La jeune fille finit par apprendre que sa mère n’et pas morte mais qu’elle est danseuse dans un cabaret. Son père tente de convaincre son ancienne épouse de renoncer à son activité pour ne pas mettre en péril le projet de mariage de leur fille mais le propriétaire du cabaret s’y oppose. Pendant ce temps-là, Mamdouh est déçu par la soudaine froideur de sa bien-aimée. Pour se consoler, il s’est rapproché de sa cousine Soheir…
Samedi 27 avril à 19h30
Je suis libre de Salah Abou Seif (Ana Hurra, 1959)
avec Lobna Abdel Aziz, Zouzou Nabil, Hussein Riad, Hassan Youssef, Shukry Sarhan, Kamal Yassin, Layla Karim, Gamil Ezz Eddin, Gamalat Zayed, Ali Reda, Victoria Hobeika, Fifi Sayed, Aziza Badr, Kamal Al Zeiny, Abel Moneim Basiony
Scénario de Naguib Mahfouz d'après un roman d'Ihsan Abdul Quddus
Dialogues : El Sayed Bedeir
Musique : Fouad El Zahry
Production : Ramsès Naguib
Premier film dans lequel apparaît l’acteur Hassan Youssef (il joue le rôle du cousin de l’héroïne)
Premier film dans lequel apparaît l’acteur Hassan Youssef (il joue le rôle du cousin de l’héroïne)
Depuis la séparation de ses parents, Amina vit chez sa tante et son oncle. Ceux-ci mènent une existence austère régie selon une morale très stricte. Ils mènent la vie dure aussi bien à leur nièce qu’à leur propre fils Ali. Ce dernier est passionné par la musique et voudrait se consacrer à la pratique du violon mais ses parents s’y opposent absolument. Amina ne supporte pas cette vie et finit par se révolter. Elle apprend à danser et fréquente Abbas, un jeune étudiant qui l’incite à conquérir sa liberté. Elle voudrait poursuivre ses études pour pouvoir travailler. Malheureusement, son oncle et sa tante ont d’autres projets. Ils ont trouvé une occasion rêvée de se débarrasser de cette nièce bien insolente : un ingénieur l’a demandée en mariage…
Le Prince de la Ruse d’Henry Barakat (Amir Al Dahaa', 1964)
Farid Shawki , Shweikar, Tawfik El Deken, Naima Akef , Mahmoud Morsi, Hussein Asar, Khadiga Mahmoud, Abdel Moneim Basiony, Omar Afifi, Abdelrahim El Zarakany, Ahmed Loxer, Shaladimou, Ibrahim Hechmat, Mohamed Faraj, Kanaan Wasfy
Seconde adaptation réalisée par Henry Barakat de Monté Christo, roman d’Alexandre Dumas (La première date de 1950.)
Scénario et dialogues : Youssef Issa
Musique : Michel Youssef et Ahmed Sedky
Hassan El Hilaly a été emprisonné sans jugement suite à une dénonciation calomnieuse de trois de ses ennemis. Dans sa cellule, il sympathise avec un vieil homme qui lui révèle l’emplacement d’un trésor qu’il a caché avant d’être condamné. Le vieil homme meurt, Hassan est libéré. Il récupère le trésor de son compagnon de captivité et retourne dans son village pour se venger de ceux qui l’avaient dénoncé.
La balle est encore dans ma poche d’Houssam Al Din Mustafa (Alrosasa la tzal fi gaibi, 1974)
avec Nagwa Ibrahim (Fatimah), Mahmoud Yassin (Mohamed), Hussein Fahmy (Marwan), Youssef Shaaban (Abbas), Said Saleh (Khalil), Abdel Moneim Ibrahim (Azouz), Salaa El Sadani, Ahmed El Gezeiry (oncle de Mohamed et père de Fatimah), Ehsan Sherif (la mère de Mohamed), Mourad Suleiman, Hayat Kandel, Mohamed Abou Hashish, Hanem Mohamed
Scénario d'Ihsan Abdul Quddus
Musique : Omar Khorsheid
Film de guerre. Mohamed est un jeune étudiant qui vit dans un village au bord du Nil. Il est indigné par la corruption qui règne dans sa commune. Le principal responsable : Abbas, un notable tout-puissant qui vend au marché noir semences et engrais. La situation devient intenable pour Mohamed du fait que son oncle est l’un des complices d’Abbas et que cet oncle est aussi le père de la femme qu’il aime, Fatimah. En juin 1967, éclate la guerre des six jours. Mohamed part combattre les forces israëliennes. Le conflit se termine par une défaite humiliante pour l’Egypte. Après un séjour dans un hôpital militaire, Mohamed retourne dans son village. Il est accueilli par le mépris des uns et les moqueries des autres…
Pour beaucop, Fatimah représenterait l’Egypte et Abbas, le notable corrompu qui viole Fatimah, serait le président Nasser. On comprend pourquoi ce film fut accueilli à sa sortie par des critiques virulentes de la part des partisans de l’ancien Raïs.
Mercredi 24 avril à 17h
Mercredi 24 avril à 17h
Jeunes Filles aux Enchères d’Hassan El Seifi (Araess Fil Mazad, 1955)
avec Cariman, Chukry Sarhan, Mahmoud El Meleigy, Aïda Helal, Mary Moneib, Zinat Sedki, Mahmoud Shoukoko, El Sayed Bedir, Stephan Rosti, Rushdy Abaza, Zaki Ibrahim, Samia Rushdy, Adly Kaseb, Soleiman El Gendy, Gamala Zayed
Scénario : Aboul Seoud El Ebiary et Hassan El Seifi
Musique : Fathy Qoura, Mamoun Al Shinawi, Mahmoud Al Sharif, Mahmoud Shoukoko, Attiah Sharara
Production : Aflam Misr Al Jadida
Mabrouk Effendi est un modeste employé qui rêve de mener la vie des riches. Il a trois filles et il veut qu’elles épousent des hommes fortunés. Aucune des trois ne se conformera à ses désirs.
Dalal, la plus âgée a dû renoncer à 39 prétendants car trop pauvres aux yeux de son père. Elle finit par s’enfuir de la maison familiale pour épouser Faraj, l’homme qu’elle aime.
La deuxième, Amal, est séduite par leur voisin mais celui-ci refuse de l’épouser. Désespérée, Amal le tue. Elle est internée en hôpital psychiatrique.
La troisième, Nawal, est secrétaire dans une grande entreprise. Elle est amoureuse d’Adel, un collègue de travail mais son père a d’autres projets pour sa petite dernière. Il décide de prendre des vacances en famille à Alexandrie. Ils s’installent dans un grand hôtel afin d’y rencontrer un riche célibataire qui tomberait sous le charme de la jolie Nawal. Malheureusement pour cette dernière, on finit par en trouver un…
Mardi 23 avril à 23h
Le Four d'Ibrahim Afify (El Forn, 1984)
avec Adel Adham, Younes Shalaby, Maaly Zayed, Abdel Moneim Ibrahim, Sherifa Mahear, Nadia Al Kilany, Nabil Al Hegrassy, Abdel Salam Mohamed, Hassan Al Dib, Samia Amin, Kassim Al Daly
Scénario : Ahmed Abdel Salam
Musique : Samir Noseir
Al Shawat travaille dans une boulangerie du Caire dirigée par Maître Dagher. Ce dernier maltraite ses employés et abuse de leurs épouses ou de leurs filles. C’est un tyran auquel personne n’ose s’opposer, pas même son adjoint qui assiste, impuissant, aux turpitudes de son patron. Al Shawat est un homme simple et naïf : il a vendu tous ses biens pour devenir l’associé de Maître Dagher. En fait,il a été trompé. Dagher a pris l’argent mais n’a jamais eu l’intention de lui céder une part de son affaire.Comprenant trop tard qu’il a été escroqué, Al Shawat meurt subitement, terrassé par le désespoir. Sa femme et son fils retournent dans leur village.
Les années passent. Le fils d’Al Shawat a grandi. Sa mère meurt à son tour. Mais avant de mourir, elle a fait promettre au jeune homme de retrouver Dagher et de venger l’honneur de son père. Le garçon s’installe au Caire et se fait embaucher dans la boulangerie du despote…
Lundi 22 avril à 19h30
Le Miroir d’ Ahmed Diaa Eddine (El Meraya, 1970)
avec Nour Al Sherif, Nagla Fathy, Adel Imam, Samir Sabri, Abdel Moneim Madbouly, Abdel Moneim Ibrahim, Hassan Mostafa, Ibrahim Saafan, Amal Ramzi, Zouzou Chakib, Mimi Chakib, Ibrahim Nasr, Zizi Mostafa
Scénario : Mohi Eddine Aref
Musique : Ahmed Abou Zeid
Production : Films Al Masry
Comédie sentimentale. Karim, haut fonctionnaire, a deux filles, Karima et Hoda. Hoda, la cadette, est une jeune fille sage et studieuse qui s’apprête à épouser le garçon qu’elle aime depuis toujours. Karima, l’aînée, est tout l’opposée de sa sœur. C’est une fille à la fois séduisante et frivole, sans cesse préoccupée par son apparence. Elle est attirée par deux garçons mais elle ne parvient pas à arrêter son choix sur l’un ou l’autre. Ses deux prétendants sont Kamal et Ahmed. Le premier est un jeune homme riche, le second est son cousin, un ingénieur sérieux et travailleur. Malheureusement pour Karima, ses deux soupirants finissent par s’éloigner, lassés de son indécision…
Dimanche 21 avril à 23h
Le Marché Noir de Kamel El Telmissany (Al-Souq Al-Sawdaa, 1945)
avec Imad Hamdi, Aqila Ratib, Zaki Rostom, Thoraya Helmy, Ferdoos Hassan, El Sayed Bedir, Abd El Fattah El Kossary, Abdel Hamid Zaki, Hassan Kamel, Aziza Mohamed, Abdel Moneim Ismaïl, Abdel Meguid Choukry, Salha Kasin, Nagma Hussein
Scénario : Kamel El Telmissany
Musique : Mohammad Hassan Al Shugai, Abdel Halim Noweira, Abdul Hamid Hosman, Bayram El Tunsi
Production : les Studios Misr
figure dans la liste des 100 films les plus importants de l'histoire du cinéma égyptien
Classique. Nous sommes au Caire durant la seconde guerre mondiale. Hamid et Nageh doivent se marier. Mais le bonheur semble définitivement s’éloigner des deux amoureux quand ils apprennent que le père de Nageh s’est lancé dans le marché noir. Hamid s’oppose au vieil homme…
Considéré comme l'un des premiers films politiques du cinéma égyptien. Il a été réalisé en 1943 mais à cause de la censure du roi Farouk et des Anglais, il ne sortira en salle que deux ans plus tard. Le film dénonce ceux qui profitent de la guerre pour spéculer sur les produits de première nécessité.
Samedi 20 avril à 23h
La Fin de l’Amour d’Hassan El Seifi (Nihayat Hobb, 1957)
avec Sabah (Sawsan), Chukry Sarhan (Ahmed), Magda (Fatma), Serag Mounir (le père de Sawsan), Ferdoos Mohamed (la mère de Fatma), Abdel Salam Al Nabulsi, Mahmoud El Meleigy, Abdel Moneim Basiony, Ibrahim Hechmat
Scénario : Mohamed Othman
Musique : Atiah Sharara
Production : Les Studios Misr et les Films Hassan El Seifi
La Fin de l’Amour d’Hassan El Seifi (Nihayat Hobb, 1957)
avec Sabah (Sawsan), Chukry Sarhan (Ahmed), Magda (Fatma), Serag Mounir (le père de Sawsan), Ferdoos Mohamed (la mère de Fatma), Abdel Salam Al Nabulsi, Mahmoud El Meleigy, Abdel Moneim Basiony, Ibrahim Hechmat
Scénario : Mohamed Othman
Musique : Atiah Sharara
Production : Les Studios Misr et les Films Hassan El Seifi
Drame sentimental. Fatma est très amoureuse de son voisin Ahmed et elle l’aide financièrement en lui versant une partie de son salaire. Même quand il est condamné à de la prison pour vol, elle continue à l’aimer. Après sa libération, c’est encore grâce à Fatma qu’Ahmed trouve un emploi dans l’usine où elle travaille. Mais le jeune homme fait la connaissance de Sawsan, la fille du patron et il en tombe amoureux…
Vendredi 19 avril à 18h
Le coeur a ses raisons d’Helmi Halim (al-'alb lu ahkam, 1956)
avec Abd El Fatah El Quossary, Zouzou Nabil, Zinat Sedki, Abdel Salam Al Nabulsi, Ahmed Ramzy, Faten Hamama, Shafik Nour El Din, Soleiman El Gendy, Stephan Rosti, Serag Mounir, Zeinab Sedky, Samia Ayoub, Samia Mohamed, Sayed El Arabi, Lotfy El Hakim, Mokhtar El Sayed
Scénario : El Sayed Bedeir, Hassan Tawfik, Ali El Zorkani
Production : Helmi Halim
appréciation : 2/5
Karima est une jeune orpheline pauvre qui étudie à la faculté de médecine. Elle aime Hamdi, l’un de ses condisciples qui appartient à la classe aisée. Il est en outre un footballeur de renom. Toutes les tentatives de la jeune femme pour entrer en relation avec lui échouent lamentablement. Elle se confie à une vieille amie qui tient une boulangerie. Celle-ci lui donne des conseils pour attirer l’attention de celui qu’elle aime. Karima les met en pratique aussitôt et ça marche ! Hamdi lui propose un rendez-vous. Mais très vite, l’étudiante comprend qu’elle a fait l’objet d’un pari entre l’élu de son coeur et ses camarades. Elle est désespérée et refuse désormais de lui adresser la parole. Progressivement, les sentiments du jeune homme changent.
Jeudi 18 avril à 19h30
Les Trois Fous d’Hassan El Seifi (El Maganeen el Talata, 1970)
avec Nagla Fathy, Zahrat Al Oula, Samir Ghanem, George Sedhom, El Deif Ahmed, Tawfik El Deken, Ibrahim Saafan, Kawthar Shafik, Seif Allah Mokhtar, Zakaria Mowafy, Abdel Ghani El Nagdi , Abdel Moneim Basiony, Hussein Ismael, Ahmed Nabil, Soheir Zaky, Mahmoud El Meleigy, Mohamed Abou HashishScénario : Ali Salem
Musique : Baligh Hamdy, Helmy Bakr, Fathy Qoura
Production : Hassan El Seifi
Comédie musicale. Le docteur Tawfiq est vétérinaire. Il a décidé de quitter son emploi au ministère de la santé pour se consacrer à des recherches personnelles dans le laboratoire qu’il a aménagé à son domicile. Il a construit une machine capable de prolonger l’existence des êtres vivants. Pour tester son invention, il fait des essais sur des animaux qu’il vole dans le quartier. Les activités de l’ancien vétérinaire ne plaisent pas beaucoup à sa femme Sonia et elle s’en plaint à sa sœur. Cette dernière demande à son fiancé qui est psychiatre d’intervenir. Dans le même temps, le directeur d’un magazine envoie un reporter enquêter sur le mystérieux docteur…
Mercredi 17 avril à 23h
Flirt de jeunes filles d'Anwar Wagdi (Ghazal Al-Banat, 1949)
avec Layla Mourad, Anwar Wagdi, Youssef Wahby, Naguib Al Rihani, Stephan Rosti, Ferdoos Mohamed, Soliman Naguib, Mahmoud El Meleigy, Abdel Wareth Asr, Saïd Abou Bakr, Abdel Hamid Zaki, Zinat Sedki, Abdel Meguid Choukry, Farid Shawki, Nabila El Sayed
Scénario : Anwar Wagdy
Dialogues : Naguib Al Rihani, Badie Khairy
Musique : Mohamed Abdel Wahab, Layla Mourad, Naguib Al Rihani
Production : Anwar Wagdi
figure dans la liste des quinze meilleurs films égyptiens de tous les temps
Himam, un modeste instituteur, vient d’être renvoyé de son école pour absence d’autorité. Son moral est au plus bas quand il est engagé par un homme richissime pour donner des leçons particulières d’arabe à sa fille, Layla. Cette dernière traite Himam comme un ami et parvient à lui redonner goût à la vie. L’homme tombe amoureux de la jeune fille mais il se garde bien de manifester ses sentiments.
Le film sortira après la mort de Naguib Al Rihani.
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