Quels films peut-on voir sur la chaîne Rotana Classic ? Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin.
Rotana Classic a remplacé Rotana Zaman en 2012. Cette chaine fait partie du groupe Rotana basé en Arabie Saoudite et spécialisé dans le divertissement (télévision et musique) . Il appartient au prince Al-Walid ben Talal ben Abdelaziz Al Saoud. Comme son nom l’indique, Rotana Classic diffuse essentiellement les grands classiques du cinéma égyptien. Accessible en France.
Samedi 15 janvier à 18h30
Le Mariage Moderne de Salah Karim (Alzawaj a'ala altariqat alhaditha, 1968)
avec Soad Hosny (Noha), Hassan Youssef (Ahmed, le cousin de Noha), El Deif Ahmed (Atris), Samir Ghanem, (Samir), George Sedhom (Makhimar), Mohamed Reda (le père de Noha), Fatima Mostafa (la mère de Noha), Abdel Moneim Ibrahim (Kamal), Abbas Fares (le professeur Shafi), Hassan Mostafa (le cheikh Hassan), Alya Abdel Moneim (Aziza, la sœur de Noha), Atef Makram (un enfant), Inas Abdallah (la petite fille), Eskandar Menassa (Hussein, le mari de la mère d'Ahmed)
Scénario : Salah Karim
Musique : Saïd Salama, Mohamed Al Mogi, Fathy Qoura, Ali Ismail
Production : les films Shéhérazade
Le réalisateur Salah Karim est le premier mari de Soad Hosny.Comédie musicale. Noha et son cousin Ahmed sont étudiants dans la même école d’ingénieur. Cet été, ils ont décidé de passer leurs vacances dans un camp près de la mer avec un petit groupe de leurs condisciples. Un jour, Ahmed part à la pêche sur un petit canot à moteur. Il tombe en panne en pleine mer et doit rejoindre le rivage à la nage. Noha est terriblement inquiète. Quand enfin Ahmed reparaît, elle comprend combien il lui est cher. C’est ainsi qu’entre les deux cousins va se nouer une tendre idylle. Ils ont décidé de se marier après les vacances mais les parents de Noha ne l’entendent pas ainsi. Un autre prétendant a leur faveur…
Vendredi 14 janvier à 18h30
Les Hommes ne vivent qu'une fois de Simon Saleh (El Ensan Yaaesh Mara Wahda, 1981)
avec Adel Imam (Hani), Yousra (Amel), Hatem Zoulfakar (le fiancé d’Amel), Ahmed Abaza (le directeur de l’école), Shawki Shamekh (le frère d’Hani), Ali Al Sherif (le gardien de l’école), Zein El Ashmawy (docteur Tariq), Badr Nofal (le directeur de la nouvelle école d’Hani), Samia Sami (la mère d’Amel)
Scénario : Wahid Hamed
Musique : Gamal SalamahHani Ali Soltan est professeur d’histoire. Sa vie lui semble vide et sans intérêt. Il passe son temps libre à jouer tout son argent aux cartes. Mais un jour, Hani est contraint de muter dans une localité qu’il ne connaît pas, loin de ses amis. Dans le train qui l’emmène vers sa nouvelle affectation, il fait la connaissance d’Amel. Cette jeune femme est médecin et elle quitte Le Caire pour refaire sa vie après la mort accidentelle de son fiancé.
Jeudi 13 janvier à 16h
Mercredi 12 janvier à 22h
Illusions d’Amour de Salah Abou Seif (El Wesada Elkhalya, 1957)
avec Abdel Halim Hafez (Salah), Loubna Abdel Aziz (Samiha), Zahrat Al Oula (Douria), Ahmed Ramzy (Fayez), Omar El Hariri (le docteur Fouad), Abdel Moneim Ibrahim (Hassan), Abdel Wares Asr (le père de Salah), Kawthar Shafik (Sonia), Serag Mounir (le père de Douria), Rafia Al Shal (la mère de Salah)
D’après un roman d’Ishan Abdul Quddus
Scénario et dialogues : El Sayed Bedeir
Musique : Kamal El Tawil, Mamoun Al Shinnawi, Mounir Mourad, Mohamed Al Mogi, Ismaël El Habrouk
Production : Ramses NaguibComédie musicale. Alors qu’il arpente les rues du Caire avec ses deux meilleurs amis, Salah fait la connaissance de Samiha. Entre eux, c’est immédiatement le grand amour. Mais leur bonheur est de courte durée car Samiha doit épouser un médecin. L’étudiant pauvre ne peut rivaliser. Il essaie d’oublier celle qu’il aime en passant ses nuits à boire dans les cabarets. Il rencontre une jeune femme qui est éperdument amoureuse de lui mais cela ne suffit pas à lui redonner le goût de vivre. Une nuit, alors qu’il a bu plus que de raison, il a un malaise. Il est hospitalisé. Le médecin qui le soigne est le mari de Samiha…
Le Cœur des Vierges d’Hassan Al Imam (Qoloob El Azara, 1958)
avec Hussein Riad (Oncle Metwali), Shadia (Nehmat, la fille de l’oncle Metwali), Ahmed Allam (le Pacha), Kamal El Shennawi (Hussein, le fils aîné du Pacha), Kariman (Wafaa, la fille du Pacha), Ahmed Abaza (un paysan), Berlanti Abdel Hamid (Nadia, la maîtresse d’Hussein), Roshdy Abaza (Ahmed Sultan), Mohsen Hassanein (Abou Ibrahim), Ibrahim Fawzy (Al Haj Mahmoud), Nagwa Fouad (la danseuse), Amina Rizq (Mabrouka, la tante de Nehmat), Mohamed Reda (le procureur), Nazim Shaarawy (l’enquêteur)
Scénario : Mohhamed Mostafa Othman et Hassan Al Imam
Musique du générique : Piotr Ilitch Tchaïkovski, Le Lac des cygnes
Al Pacha est un propriétaire terrien qui vit à Mansourah avec sa fille, Wafaa. Celle-ci est amoureuse d’Ahmed Sultan mais leur mariage semble impossible : le garçon est le fils du principal rival politique du Pacha. Wafaa a un frère, Hussein, qui vit au Caire. Il mène une existence dissolue : il a une liaison avec une danseuse et il passe ses soirées au cabaret à boire de l’alcool. Il a pratiquement rompu avec sa famille et ne retourne jamais à Mansourah. Wafaa se rend régulièrement au moulin d’oncle Metwali où elle retrouve la fille de celui-ci, Nehmat qui est secrètement amoureuse de son frère aîné, Hussein . Le vieux meunier est malade des yeux et Al Pacha lui conseille de se rendre au Caire pour consulter un spécialiste. Il en profitera pour rendre visite à Hussein. Grâce à son intervention, le père et le fils finissent par se réconcilier. Hussein revient au domaine pour en prendre la direction puisqu’il a une formation d’ingénieur agronome. Nehmat et lui ne tardent pas à tomber amoureux l’un de l’autre mais la maîtresse que le jeune homme a laissée au Caire n’a pas l’intention de s’effacer. Il accepte de la voir une dernière fois pour lui signifier la fin de leur histoire. La danseuse tente de le séduire à nouveau mais en vain. Désespérée, elle avale des cachets et meurt sous les yeux d’Hussein…
Mardi 11 janvier à 18h30
Adieu mon amour d’Omar Gomai (Wadaan Ya Gharami, 1951)
Je n’ai que toi d’Henry Barakat (malish gherak, 1958)
Dimanche 9 janvier à 18h30
Nuits de Noces de Mostafa Hassan (Leilat al Dokhla, 1950)
Samedi 8 janvier à 18h30
Jeudi 6 janvier à 22h
Mardi 4 janvier à 18h30
La Maîtresse de Maison d’Ahmed Kamal Morsi (Sitt al Bayt, 1949)
L’une des premières apparitions à l’écran de Naïma Akef qui a à peine vingt ans. Dans ce film, le rôle principal féminin est tenu par Faten Hamama qui a tout juste dix-huit ans mais ce n’est déjà plus une débutante puisqu’elle a tourné son premier film en 1940.
Lundi 3 janvier à 18h30
La Punition d'Henry Barakat (Al Ikab, 1948)
Dimanche 2 janvier à 18h30
Ismaïl Yassin dans la maison des fantômes de Fateen Abdel Wahab (Ismail Yassin fi bayt al-ashbah, 1951)
Samedi 1er janvier à 22h
Shams al-Zanati de Samir Seif (1991)
Adieu mon amour d’Omar Gomai (Wadaan Ya Gharami, 1951)
avec Faten Hamama (Fikrya), Imad Hamdy (Rashad), Abbas Fares, Zeinab Sedky (la mère de Rashad), Farid Shawki (Soleiman Effendi, le représentant de la compagnie d’assurance et le deuxième mari de la mère de Rashad), Thuraya Fakhry (la mère de Fikrya), Omar El-Hariri (Shawkat, le beau-frère de Fikrya), Sanaa Samih (une voisine, amie de Rashad), Zaki Ibrahim (Mansour Effendi, le père de Rashad), Aziza Helmy (la confidente), Mahmoud Reda (l’oncle de Fikrya), Shafik Nour El Din (Cheikh Al Hara Tawfiq), Abbas Fares (le vieil officier qui épouse Fikrya), Kitty (la danseuse qui danse sur In The Mood, le standard du musicien américain, Glenn Miller), Lola Abdo (la femme de ménage)
Scénario : Omar Gomai
Musique : Mahmoud Al Sharif et Fathy Qoura
Production : les studios MisrDrame. Rashad et Fikrya sont deux jeunes voisins qui sont tombés amoureux l’un de l’autre (Faten Hamama et Imad Hamdy qui jouent ces deux jeunes gens ont quand même vingt-deux ans de différence : lors du tournage, l’actrice a tout juste vingt ans mais l’acteur en a quarante-deux !). Ils projettent de se marier mais Rashad est appelé sous les drapeaux. Pour qu’il puisse rester près de celle qu’il aime et poursuivre ses études, il lui faut obtenir un report de son service militaire. Malheureusement son père meurt et sa mère devient la maîtresse d’un escroc qui dilapide tout l’argent de la famille. Rashad tente de protéger sa mère, mais son compagnon parvient à faire échouer la demande de sursis et le jeune homme doit rejoindre son régiment. Plus question de mariage entre Rashad et Fikrya. Les années passent. La jeune femme a fini par accepter d’épouser un vieil officier qu’elle n’aime pas. Elle vit dans l’opulence mais elle n’est pas heureuse. Un jour, elle aperçoit au volant de la voiture de son mari un nouveau chauffeur : c’est Rashad…
Lundi 10 janvier à 22h
Je n’ai que toi d’Henry Barakat (malish gherak, 1958)
avec Farid Al Atrache (Ahmed), Mariam Fakhr Eddine (Basimah), Amal Farid (une soeur de Basimah), Aleya Bassim (une soeur de Basimah), Rushdy Abaza (Fathy), Hassan Fayek (Fayzi Bey, le patron de Fathy et le père de Basimah), Omar El Hariri (le fiancé de l’une des soeurs de Basimah), Farouk Agrama (le fiancé de l’une des soeurs de Basimah), Mimi Chakib (la femme de Fayzi Bey), Suzi Khairy (la danseuse), Adly Kasseb (le médecin)
Histoire et dialogues : Badie' Khairy
Scénario : Henry Barakat et Youssef Issa
Un remake de la comédie musicale américaine Ô toi ma charmante (titre original : You Were Never Lovelier) réalisée par William A. Seiter 1942 avec Rita Hayworth et Fred Astaire.
Musique : Farid Al Atrache Comédie musicale. Ahmed est un chanteur qui a la passion des chevaux et des courses. C’est dans un haras qu’un jour, il retrouve son ami Fathy. Les deux camarades ne s’étaient pas vus depuis des années. Fathy travaille pour un riche chef d’entreprise et il propose à Ahmed qui est sans le sou de le rencontrer. Ce patron un peu fantasque a un souci : sa fille aînée, Basimah refuse de se marier et les jeunes sœurs de cette dernière sont furieuses car elles sont contraintes de demeurer célibataires tant que leur grande sœur le restera. Lors d’un mariage, la famille et les amis du chef d’entreprise ont l’occasion d’apprécier la sensibilité et la virtuosité du jeune chanteur. Ceci va donner une idée au père de Basimah : il va utiliser le talent poétique d’Ahmed pour amener sa fille aînée à envisager l’amour avec plus de bienveillance. Chaque jour, elle recevra une lettre enflammée d’un amoureux anonyme et c’est Ahmed qui sera chargé de l’écrire…
Nuits de Noces de Mostafa Hassan (Leilat al Dokhla, 1950)
avec Ismail Yassin (Blabio), Hassan Fayek (Naylun), Samiha Tawfik (Fakria), Magda (Houria), Abd El Fatah El Kosary (Maître Khartochi, le marchand d’armes), Aziza Badr (Oum Chamar, l’entremetteuse), Ragaa Mohamed (la belle-mère de Houria et de Fakria), Ragwat Mansour (Sousou, l’une des filles de maître Cartochi), Bahiga Roshdy (Tutu, l’une des filles de maître Cartochi), Hassan Kamel (le propriétaire du salon de coiffure), Abdel Halim Khattab (Shoukry), Abdel Moneim Ismaël (Selim), Abdel Hamid Zaki (le directeur du théâtre), Reyad El Kasabgy (un employé de Maître Khartochi)
Scénario : Ali El-Zorkani et Mostafa Hassan
Musique : Bibi Al Mansa, Youssef Saleh, Gamal Fekry, Mahmoud Nassar, Ahmed Sabra, Galil El Bendary
Production : les films Gabriel TelhamyComédie. Naylun et Blabio, deux amis qui travaillent dans le même salon de coiffure, rêvent de trouver l’âme sœur. Le célibat leur est devenu insupportable. Un jour, ils font la connaissance de deux sœurs, Houria et Fakria, aussi jolies l’une que l’autre. Les deux camarades chargent une entremetteuse d’arranger leur mariage. Mais celle-ci est en relation avec Maître Khartochi, un homme qui a aussi deux filles à marier. Leur physique ingrat a fait fuir tous les prétendants. L’entremetteuse va intriguer pour qu’elles prennent la place des fiancées des deux coiffeurs. Cet échange n’est pas pour déplaire à la belle-mère d’Houria et de Fakria qui souhaite que celles-ci épousent deux de ses cousins…
Samedi 8 janvier à 18h30
Le Secret du Bonnet Invisible de Niazi Mostafa (Ser Taqya el Ekhfa, 1959)
avec Tawfik El Deken (le bijoutier Amin), Berlanti Abdel Hamid (Lola, la maîtresse d’Amin), Abdel Moneim Ibrahim (Asfour), Mohamed Abdel Qodoos (le père d’Asfour), Ahmed Farahat (le frère d’Asfour), Zahrat Al Oula (Amal), Gamalat Zayed (la mère d’Asfour), Adli Kasseb (Salem, le rédacteur en chef), Samia Roshdi (la mère d’Amal)
Scénario : Abdel Hay Adib et Niazi Mostafa
Dialogues : El Sayed El Bedir
Musique : Mounir Mourad et Fathy Qora
Production : Khalil DiabComédie fantastique. Asfour est un reporter naïf et maladroit. Son incompétence notoire exaspère son rédacteur en chef. Il est amoureux d’une collègue, Amal. Malheureusement cette dernière doit épouser Amin, un cousin méchant et sournois, bijoutier de son état.
Asfour vit avec son petit frère Fasih et ses parents. Son père est un excentrique qui se consacre à l’alchimie. Il multiplie les expériences dans l’espoir de fabriquer un jour de l’or.
Amin ne supporte pas qu’Amal fréquente Asfour. Il menace son rival afin qu’il s’éloigne de la jeune femme. Le bijoutier a le soutien de la mère de celle-ci et rien ne pourra empêcher leur mariage. Asfour est désespéré.
Un soir, Fasih est resté seul dans le laboratoire de leur père et il entreprend de jouer au petit chimiste. Il provoque une explosion qui libère d’une jarre un génie. L’enfant s’évanouit puis l’être surnaturel prend feu, ne laissant de son passage qu’une fine poussière qui s’est déposée sur un bonnet appartenant à Asfour.
Peu après, on s’aperçoit que le bonnet a le pouvoir de rendre invisible celui qui le porte. Asfour comprend tout de suite le parti qu’il va pouvoir en tirer. Tout d’abord, tourmenter Amin et empêcher son mariage avec Amal…
Vendredi 7 janvier à 18h30
Tout cet Amour d’Hussein Kamal (Kol haza Al-Hobb, 1988)
Tout cet Amour d’Hussein Kamal (Kol haza Al-Hobb, 1988)
avec Nour El Sherif (Kamal Al Badr), Layla Olwi (Wafaa), Yahia Shahin (Nasef), Mohamed El Dafrawi (Hussein Zahran), Ehsan El Qalawy (la mère de Wafaa), Salwa Othman (Soheir), Rashwan Saïd (Achraf), Youssef Eid (Hassan), Fayeq Azab (le gardien de prison), Ahmad Abu Abiya (l’assistant de Nasef), Abdel Salaam El Dahshan (Mohsen), Awatif Tikla (la directrice de l’orphelinat), Sanaa Suliman (la femme d’Hussein), Fawzi Al Sharqawi (l’avocat de Nasef), Sharif Eddris (l’enfant)
Scénario : Wahid Hamed
Musique : Ammaar El Sheray
Production : Safwat Ghattas et Screen 2000
Nasef et Hussein sont deux vieux amis qui travaillent à Alexandrie comme hommes à tout faire. Leurs journées sont épuisantes et ils se ruinent la santé pour un salaire de misère. Ils décident de réagir. Ils créent leur propre entreprise de transport sur le port et leur petite affaire se développe très vite. Ils ont pu tous les deux fonder une famille. Hussein a épousé Shams Al Nahar, l’affriolante vendeuse de thé qui lui a donné un fils, Kamal Al Badr. Les années passent et la vie des deux amis s’écoulent paisiblement jusqu’au drame. Hussein surprend sa femme dans les bras de son amant. Il l’étrangle et il est condamné à quinze ans de prison. Il confie son fils à son vieil ami qui va l’élever comme ses propres enfants. Hussein meurt en détention mais grâce à Nasef, Kamal fait des études brillantes et il devient l’assistant de son père adoptif dans l’entreprise qui est devenue une société très importante. Kamal et Wafaa, la fille de Nasef, sont tombés amoureux l’un de l’autre. Contre toute attente, le père de la jeune femme s’oppose catégoriquement à leur union. Ils se marient sans son consentement et ont un enfant…
L'Evasion d'Atef El Tayyeb (Al Huroub, 1991)
avec Medhat El-Sherif; Ahmed Zaki (Montasser), Abdel Aziz Makhyoun (Major Salem Abdel Razek), Zouzou Nabil (la mère de Montasser), Hala Zedki (Sabah, la danseuse), Mahmoud El Bezawy (le frère aîné de Montasser), Nermin Kamal (la sœur de Montasser), Layla Sheir (la directrice de l’école), Mohamed Wafik (Colonel Fouad Al-Sharnoub), Abu Bakr Ezzat (le Général), Youssef Fawzy (Medhat, le directeur de la société), Samir Wahid (Farid Ezzat, l’agent de change), Aïda Fahmy (Zeinab, la cousine et la femme de Montasser), Salah Abdullah (le fabricant de faux papiers), Ezzat Al Machad (le rédacteur en chef du journal), Ahmed Adam (Aziz, le journaliste), Soheir Tawfiq (la femme de Medhat)
Scénario et dialogues : Mostafa Moharam
Inspiré du roman le Comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas
Musique : Modi Al Imam
Figure dans la liste des 100 films les plus importants du cinéma égyptien.Drame. Montasser travaille pour une société qui s’occupe d’envoyer des ouvriers égyptiens dans les pays du golfe. Ne supportant plus de voir ces travailleurs exploités et escroqués par son patron qui leur délivre des faux visas, il veut dénoncer ces pratiques frauduleuses à la police. Mais son chef est plus rapide que lui : il parvient à faire arrêter son employé pour détention de drogue. Montasser est condamné à deux ans de prison. Quand il est enfin libéré, il veut se venger. Il se rend chez son ancien patron et le tue dans son lit. Puis il se lance à la recherche de sa femme. Celle-ci a été manipulée par une entremetteuse qui l’a convaincue de partir en Turquie pour s’y prostituer. Il retrouve très vite cette mère maquerelle. Elle occupe une fonction fort honorable : directrice d’une école pour jeunes filles. La dame refuse de lui dire où se trouve sa femme. Alors Montasser tente de la faire avouer par la force. En tentant de résister, la directrice chute et sa tête vient frapper violemment l’accoudoir du canapé. Elle meurt sur le coup. Montasser doit fuir…
La Maîtresse de Maison d’Ahmed Kamal Morsi (Sitt al Bayt, 1949)
avec Faten Hamama (Elham), Imad Hamdy (Nabil), Zeinab Sedky (la mère de Nabil), Mona (Madiha, l’amie d’Elham), Thuraya Fakhry (la mère de Bashir), Mohamed Kamel (Bashir, le serviteur de Nabil), Hosna Suleiman (la servante d’Elham), Naima Akef (la danseuse), Mahmoud Shoukoko (le chanteur), Soad Mekawy (la chanteuse), Abdel Mona'em Saoudi (le docteur), Zaki Ibrahim (le directeur de la société)
Une histoire d'Abou Al Seoud Al Ebiary
Scénario : Henry Barakat et Ahmed Kamel Morsi
Musique : Morsi Gamil Aziz, Hiram Ghamarawy, Abdel Aziz Mahmoud, Hassan Al Imam, Izzat El Gahely, Mahmoud Shoukoko L’une des premières apparitions à l’écran de Naïma Akef qui a à peine vingt ans. Dans ce film, le rôle principal féminin est tenu par Faten Hamama qui a tout juste dix-huit ans mais ce n’est déjà plus une débutante puisqu’elle a tourné son premier film en 1940.
Nabil est un ingénieur qui vit avec sa mère très malade. Un jour, il demande à son médecin de lui envoyer une infirmière parce que sa mère se sent très fatiguée. C’est une jeune femme douce et charmante qui se présente. Elle s’appelle Elham. Au fil de ses visites, Nabil apprend qu’Elham est une jeune fille de bonne famille qui travaille bénévolement comme infirmière pour le Croissant Rouge. Les deux jeunes gens sympathisent et sortent régulièrement ensemble. L’amour s’en mêle et ils se marient. Elham s’installe peu après dans la maison de sa belle-mère. Avec cette dernière, les relations sont tendues. La vieille dame la considère comme une intruse qui veut prendre sa place. Elle essaie de convaincre son fils d’épouser une autre femme car elle croit qu’Elham est stérile. Celle-ci ne supporte plus le comportement de sa belle-mère : elle décide de quitter la maison. Dans sa précipitation, elle tombe dans l’escalier…
La Punition d'Henry Barakat (Al Ikab, 1948)
avec Faten Hamama (Ibtisam, la fille de Mohsen), Mahmoud El Meleigy (Mohsen, l’amant de Houria), Zouzou Madi (Houria), Ferdoos Mohamed (Roukaya, la bonne), Samia Fahmy (Doha, la fille de Roukaya), Zaki Ibrahim (le mari de Houria), Reyad El Kasabgy (le mari de Roukaya), Thuraya Fakhry (Oum Ali, la voisine de Roukaya), Kamal Al Shennawi (Amir, le fils de Houria)
Scénario : Henry Barakat
Dialogues : Badie' Khairy
Production : Assia DagherMélodrame. Lors d’une violente dispute, Mohsen tue le mari de sa maîtresse. Roukaya, la servante du couple, est condamnée à la place du meurtrier à cause du témoignage accablant de la veuve. Quelque temps après, cette dernière est à son tour condamnée pour avoir détourné l’héritage de son fils. C’est Mohsen lui-même qui l’a dénoncée. En prison, elle retrouve sa servante. Elle lui avoue tout puis meurt peu après. Pendant ce temps-là, Mohsen file le parfait amour avec une jeune fille de la meilleure société. Ils se marient et ont une petite fille. Leur bonheur est de courte durée : la jeune mère meurt prématurément. Après avoir passé vingt ans en prison, Roukaya est enfin libérée.
Dimanche 2 janvier à 18h30
Ismaïl Yassin dans la maison des fantômes de Fateen Abdel Wahab (Ismail Yassin fi bayt al-ashbah, 1951)
avec Ismaïl Yassin (Morsi Cœur de Lion, neveu du défunt), Kamal El Shennawi (Sharif, le fils de Mounira Hanem), Thoraya Helmy (Aziza, la fille de Hassan), Mimi Chakib (Mounira Hanem, la nièce du défunt), Gracia Kassin (Gamila Hanem, la cousine du défunt), Serag Mounir (Mourad Effendi), Abdel Fatah El Kosary (Hassan, le fils de Gamila Hanem), Ahmed El Beh (Jassar, le serviteur muet), Reyad El Kasabgy (un complice du notaire véreux), Mohsen Hassanein (un complice du notaire véreux), Zaki Mohamed Hassan (le gardien de zoo)
Scénario : Ali El-Zorkani et Fateen Abdel Wahab
Musique : Ibrahim Haggag
Production : les films Gabriel TelhamiLe Pacha Farid Omar Saltah vient de mourir. Mourad Effendi, son notaire, a convoqué tous ses héritiers dans son manoir planté au milieu des montagnes pour leur faire la lecture du testament. Ils apprennent qu’ils hériteront de la fortune du défunt à une seule condition : ils doivent passer un mois ensemble dans cette maison afin d’apprendre à se connaître. La plupart des héritiers ne sont guère enchantés car l’endroit est sinistre mais ils acceptent de se plier aux dernières volontés de leur parent richissime. Très vite, des phénomènes étranges se produisent dans la maison. La terreur submerge les résidents quand ils constatent qu’un gorille mangeur d’hommes rôde dans les parages et tente de pénétrer à l’intérieur du manoir. On charge le cousin Morsi, chasseur professionnel, de l’éliminer mais celui-ci ne se montre pas plus courageux que les autres. Pendant ce temps-là, une idylle s’ébauche entre Sherif et Aziza, les deux plus jeunes membres de la famille…
Samedi 1er janvier à 22h
Shams al-Zanati de Samir Seif (1991)
avec Adel Imam (Chams Al Zunati), Mahmoud Hemeida (le Marshall Boraie), Sawsan Badr (Hena), Mahmoud El Gendy (Salama Al-Tafshan), Mustafa Metwalli (Sayed Saberto), Abdullah Mahmoud (Awad Al Kalaf), Ahmed Maher (Abdo Qarnas), Ibrahim Nasr (Jeidi), Roshdy El Mahdy (Cheikh Atman), Ali Abdel Rahim (Sambo), Noha El Amroussy (Nana'a), Sayed Trabik (Dadour), Ahmed Samy Abdallah (le propriétaire de la forge), Gharib Mahmoud (le patron de la carrière)
Scénario : Magdy Hedaya
Adaptation du film américain Les Sept Mercenaires réalisé par John Sturges en 1960
Musique : Hani Shenouda
Production : Pop Art FilmPendant la seconde guerre mondiale, les bédouins d’une petite oasis sont régulièrement attaqués par une bande d’hommes armés dirigée par le Marshall Boraie. Ces criminels s’emparent de tous leurs vivres et exécutent ceux qui osent s’opposer à leur pillage. Le Cheikh Atman, le chef de l’oasis, décide de réagir et d’organiser la résistance : il se rend au Caire à dos de chameau pour acheter des armes. Dans la capitale, il retrouve Hena, une jeune veuve qui a quitté l’oasis pour tenir un petit commerce. Elle le met en relation avec Chams Al Zanati, un résistant qui lutte activement contre les occupants anglais. Par amour pour la jeune femme, celui-ci accepte d’aider Cheikh Atman à se débarrasser du Marshall Boraie et de ses complices. Il contacte cinq hommes qui furent ses compagnons à l'armée : Sayed Saberto, lanceur de poignards dans un cirque, Salama, marginal sans le sou, Jeidi, forgeron, Sambo, ouvrier dans une carrière et enfin Abdo Qarnas, souteneur et trafiquant de drogue. Un sixième personnage, Awad Al Kalaf, se joindra à eux et c'est donc à sept qu'ils prennent la route pour l’oasis, accompagnés du Cheikh et de Hena…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire