jeudi 16 janvier 2020

A la télé : le film du jour (Rotana Classic du 16 au 31 janvier)

روتانا كلاسيك

Ma sélection personnelle parmi les films diffusés par la chaîne Rotana Classic. Les horaires donnés sont ceux de l'après-midi ou de la soirée (heure de Paris). La plupart des films sont ensuite rediffusés le lendemain matin. Je m'efforce de choisir des films qui n'ont pas encore fait l'objet d'une présentation sur ce blog sans nécessairement prendre en compte leurs qualités artistiques.


Vendredi 31 janvier à 16h30

Le Crime Comique de Nagdi Hafez (El Garima el Dahika - 1963)
avec Ahmed Mazhar, Soad Hosny, Mahmoud El Meleigy, Abdel Moneim Ibrahim, Stephan Rosti, Mimi Chakib, Mohamed Reda, Saïd Khalil, Omar Afifi, Abdel Ghani El Nagdi, Hussein Ismaïl, Thuraya Fakhry, Ahmed Loxer
Scénario : Abdel Aziz Salam
Musique : Youssef Shawki
Production : les Films de la Tour du Caire
appréciation : 3/5


Medhat est un réalisateur de télévision et il doit dans quelques jours épouser Layla. Il se rend dans le village où réside sa mère pour annoncer à celle-ci la bonne nouvelle. Après une fin de voyage mouvementée, il arrive enfin à destination. Son oncle et sa mère lui apprennent que l’assassin de son père est sorti de prison et qu’il voudra certainement se venger d’avoir été dénoncé par Medhat. La vieille femme et l’oncle incitent le réalisateur à tuer le meurtrier avant que celui-ci ne tente quoi que ce soit contre lui. Il refuse. De retour au Caire, il essaie de reporter son mariage mais la famille de sa fiancée ne veut rien savoir. Medhat et Layla se marient donc à la date prévue. La jeune femme s’installe dans la maison de son époux. Medhat sait que l’assassin de son père connaît son adresse. Délaissant son épouse, il passe toutes ses nuits dans le salon face à la porte d’entrée, un fusil entre les mains. Une nuit, un inconnu s’introduit dans la maison. Medhat tire aussitôt. L’homme s’effondre. Il est mort. Medhat enterre le corps dans son jardin. Avertis, des policiers se présentent au domicile du réalisateur… 
Ce film est une adaptation de la comédie The Gazebo réalisé par George Marshall en 1959 (d’après la pièce d’Alec Coppel) avec Glenn Ford et Debbie Reynolds.


Jeudi 30 janvier à 22h

La Vierge et les cheveux blancs d'Hussein Kamal (Al A'zraa wal Shaar Al Abyad, 1983)
avec Nabila Obeid, Mahmoud Abdel Aziz, Sherihan, Mariam Fakhr Eddine, Mamdouh Abdel Alim, Mahmoud El Qala'awy, Afaf Rashad, Mervat Kazem, Afaf Wagdi, Hamdy Youssef, Hanem Mohamed
d'après un roman d'Ihsan Abdul Quddus
Scénario : Kawthar Heikal
Musique : Tarek Sharara


Le premier mariage de Dawlat a été un échec en raison de son incapacité à avoir un enfant. Peu après son divorce, Dawlat fait la connaissance de Medhat, un jeune homme pauvre qui vit sur le toit d’un immeuble appartenant à sa mère. Ils sympathisent puis très vite l’amitié se transforme en amour. Ils se marient. Grâce à Dawlat, Medhat devient un homme d’affaires avisé. Pour que son bonheur soit complet, le couple adopte une petite fille. Les années passent. La petite fille devient une ravissante adolescente. La situation se complique quand elle tombe amoureuse de son père adoptif.


Mercredi 29 janvier à 16h30

La Rebelle de Mahmoud Zulficar (Al Moutamaridah, 1963)
avec Sabah (Sawsan), Ahmed Mazhar (Sami), Fouad El Mohandes (Wadji, l’ami de Sami), Mahmoud Morsi (Kamel Sabri, l’acteur de théâtre), Nadia El Noqrachi (Nabilah, la secrétaire), Abdelkhaleq Saleh (le père de Sawsam), Aziza Helmy (la mère de Sami), Edmond Tuema (Costa), Samir Sabri, Hussein Ismaïl
Scénario : Diaa El Din Baybars


Sawsan est une jeune fille très riche qui croit que tout peut s'acheter, même les êtres humains. Son père est un chef d’entreprise qui lui passe tous ses caprices. Le seul qui lui résiste, c'est Sami, un artiste peintre. Il travaille pour le père de Sawsan. C’es lui qui est chargé de concevoir de nouveaux motifs pour les tissus imprimés que produit la société. Il a accepté ce travail pour pouvoir soigner sa mère très malade. Malgré l’intérêt que lui porte la riche héritière, il refuse d’aliéner sa liberté en devenant un jouet entre ses mains...


Mardi 28 février à 18h30

Nos plus beaux jours de Helmy Halim (Ayyamine el helwa, 1955)
avec Omar Sharif (Ahmed), Faten Hamama (Houda), Abdel Halim Hafez (Ali), Ahmed Ramzy (Ramzy), Zahrat Al Oula (Salwa, la cousine d’Ahmed), Zinat Sedky (Zenobia), Serag Mounir (Oncle d’Ahmed), Aziza Helmy (la folle), Saïd Khalil (le médecin), Ibrahim Hechmat (le chirurgien), Ahmed Saïd (docteur Shouqi Yassin), Fifi Sayed (la tante d’Houda)
Scénario et dialogues : Ali El Zorkani
Musique : Morsi Gamil Aziz, Kamal Al Tawil, Mohamed Al Mogi


Houda est une jeune fille qui vient de sortir de l’orphelinat. Elle a trouvé un emploi de garde-malade et elle loue une chambre dans une grande maison tenue par madame Zenobia. Elle a comme voisins, trois étudiants qui sont immédiatement conquis par sa beauté et sa gentillesse. Mais Houda tombe gravement malade et son état nécessite une opération chirurgicale qu’elle est incapable de payer. Les trois garçons vont tout entreprendre pour réunir la somme exigée par l’hôpital…    


Dimanche 26 février à 18h30

Je veux me marier d’Ahmed Badrakhan (Aiza atgawiz, 1952)
Nour Al Hoda, Farid Al Atrache, Soliman Naguib, Abdel Salam Al Nabolsi, Zinat Sedki, Serag Mounir, Saïd Abou Bakr, Leila al Jazairia, Sayed Suleiman, Abdel Nabi Mohamed, Mohamed Zayed, Abdel Ghani El Nagdi, Thuraya Fakhry, Abdel Hamid Zaki
Leila Al Jazairia (photo) est une danseuse algérienne née en 1927. Farid Al Atrache l’avait choisie pour remplacer Samia Gamal dont il venait de se séparer.
Histoire et dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Farid Al Atrache


Comédie musicale. Farhana quitte sa ville natale pour commencer une carrière de chanteuse au Caire. Elle a changé de nom et désormais elle se fait appeler Nour Al Ayin. Pour rassurer sa famille, il lui faut épouser au plus vite un homme fortuné. Elle rencontre un vieil industriel très riche qu’elle entreprend de séduire. Mais peu après, elle fait la connaissance du neveu de celui-ci, un neveu qui est aussi son seul héritier. Les deux hommes rivalisent d’attentions à son égard mais Nour finit par comprendre que ni l’un ni l’autre ne souhaite l’épouser avec un véritable contrat et en respectant toutes les conventions d’usage. Elle chasse l’oncle et le neveu de chez elle. Pour se venger, elle décide de se marier avec un homme pauvre. Le hasard fait bien les choses car le soir même, elle rencontre dans un jardin public un jeune inconnu qui chante divinement en s’accompagnant de son oud…


Samedi 25 février à 14h30

Antar porte son épée d’Ahmed Al Sabawi (Antar chayil sifouh, 1983)
avec Adel Imam (Antar), Noura (Mastoura), Ibrahim Abdel Razek (Ali Chandawili), Hatem Zulficar (Medhat), Mostafa Metwali (Sabre), Ahmad Bedir (Metwali, « ami » d’Antar), Eva (l’actrice Caroline), Myrna Loy (la vieille italienne de l’avion)
Scénario et dialogues : Rouf Helmy et Saad Shanab
Musique : Mohamed Ali Soliman


Comédie. Antar est un pauvre paysan qui vit avec sa femme, Mastoura. Cette dernière possède les quelques terres qu’ils cultivent. Ils ont bien du mal à joindre les deux bouts et Medhat, un riche propriétaire, souhaite acquérir leurs terres. Antar et sa femme ont toujours refusé de vendre mais il faut trouver d’autres sources de revenus. Un ami propose à Antar de s’envoler pour l’Italie avec un contrat de travail. Notre pauvre paysan accepte mais une fois à Rome, il découvre que le contrat signé était un faux. Il erre dans les rues de la capitale italienne et finit par tomber sur un réalisateur qui lui demande de jouer dans ses films. Il accepte. Il ne sait pas qu’il va devoir tourner dans des films pornographiques…


Vendredi 24 janvier à 16h30

La Beauté de l’Amour de Mahmoud Zulficar (Rawaat el-hob, 1968)
avec Naglaa Fathy (Heyam), Rushdy Abaza (Ahmed Ragab) , Yehia Chahine (l’écrivain Mahmoud Salem), Madiha Hamdy (Hoda, la soeur), Mahmoud El-Meleigy (l’oncle de Heyam), Imad Hamdi (le père de Heyam), Abdel Moneim Ibrahim (Hassan, le mari d’Hoda), Aleya Abdel Moneim (la femme de l’oncle), Nadia Seif El Nasr (la mère d’Heyam), Karima Al Sherif (Fawzia), Mokhtar El Sayed (le médecin)
Une histoire d’Hala Al Hafnawi
Scénario et dialogues : Abdel Halim Nasr
Musique : Fouad El Zahry


Drame. Après la mort de son père, Heyam trouve du réconfort auprès de son oncle qui l’a invitée à séjourner quelque temps chez lui. L’homme s’aperçoit qu’elle lit fréquemment les ouvrages de Mahmoud Salem. Sa nièce lui explique qu’elle apprécie tout particulièrement chez cet écrivain ses conceptions très progressistes sur la liberté individuelle. Son oncle lui apprend qu’il est l’avocat et l’ami de Mahmoud Salem et qu’il va l’inviter à dîner pour qu’elle puisse faire sa connaissance. Bien lui en a pris ! Entre l’écrivain et sa jeune lectrice, l’entente est immédiate. Ils se revoient souvent. L’homme d’âge mûr devient le mentor de la jeune femme, l’incitant à reprendre des études. C’est ainsi qu’Heyam finit par épouser Mahmoud Salem. Mais dès la nuit de noces, Heyam perd toutes ses illusions. Son mari se révèle brutal et égoïste. Sans aucune considération pour ses appréhensions, il se jette sur elle et la viole. Le traumatisme est considérable…


Mercredi 22 janvier à 16h30

Les Deux Frères de Hassan El Seifi (Al Shaqiqan, 1965)
avec Aziza Helmy (Aziza), Ahmad Ramzy (Fathi, le fils d’Aziza), Hassan Youssef (Mathloum, le fils d’Alia), Imad Hamdy (Abdel Samiah), Shweikar (Alia, la seconde épouse d’Abdel), Zahra El Ola (la fille dont sont amoureux les deux frères), George Sedhom, Samir Ghanem, Soheir Zaky,
Scénario et dialogues : Mahmoud Ismail


Abdel Samiah est marié depuis des années avec Aziza, une femme douce et attentionnée mais qui n’a jamais pu lui donner d’enfant. Dans le cadre de ses activités professionnelles, il fait la connaissance d’une jeune femme avec qui il sympathise. L’amitié se transforme en amour et ils décident de se marier. Neuf mois plus tard, Abdel Samiah devient enfin père. Peu après, sa première épouse dont il s’est définitivement séparé donne elle aussi naissance à un petit garçon. Les deux enfants grandissent séparément. Ils se retrouvent dans la même université sans savoir qu’ils sont frères. Ils pratiquent tous les deux la boxe et s’affrontent dans un combat…


Mardi 21 janvier à 22h 

Le Défenseur des Pauvres Gens de Niazi Mostafa (Fetewet Elnas Elghalaba, 1984)
avec Farid Shawki, Boussy, Samir Sabri, Salah El Saadani, Mona Ismail, Layla Fahmy, Ali El Sherif, Amal Ramzi, Hassan El Sobki, Hussein Ibrahim, Youssef Fawzy
Scénario : Niazi Mostafa et Ahmed Abdel Wahab 
Musique : Mohamed Ali Soliman


Comédie fantastique. Kamel tient une petite bouquinerie. Il adore vivre au milieu des livres et il serait parfaitement heureux si son propriétaire ne cessait de le persécuter : ce dernier veut l’expulser pour installer à la place de sa librairie une boutique de vêtements. Un jour, Kamel trouve dans un vieux livre un collier aux pouvoirs magiques (il rend invisible celui qui le porte.). Le vieux bouquiniste compte bien s’en servir pour venir en aide à tous ses voisins qui sont dans le besoin...


Dimanche 19 janvier à 18h30

L’Histoire de mon Amour d’Henry Barakat (Kesat Hoby, 1955) 
avec Farid Al Atrache, Iman, Serag Mounir, Abdel-Wareth Asar, Berlanti Abdel Hamid, Wedad Hamdy, Kawthar Shafik, Ehsan El Qalawy, Mary Ezz Eddin, Thuraya Fakhry, Nelly Mazlom, Ali Kamal
Scénario : Youssef Assi, Henry Barakat, Farid Al Atrache
Musique : Farid Al Atrache


Comédie musicale. Un chanteur célèbre tombe amoureux d’une jeune aristocrate qu’il rencontre dans une fête. Celle-ci est en fait amoureuse de lui depuis longtemps mais jamais elle n’avait osé se déclarer. Ils se fréquentent régulièrement et les parents de la jeune fille sont très heureux de cette relation. Mais le jour où l’artiste veut faire sa demande en mariage officielle il apprend que l’élue de son cœur est déjà fiancée au roi. Le chanteur est fou de chagrin. Il tombe malade…


Samedi 18 janvier à 22h

Saad l’orphelin d'Ashraf Fahmy (saad al-yatim, 1985)
avec Farid Shawki (Al Halbawy), Nagla Fathy (Sabah Badran), Ahmed Zaki (Saad), Mahmoud Morsy (Badran), Tewfik El Deken (Musa), Shwikar (la danseuse Hosni), Karima Mokhtar (Karama), Zizi Mustafa (Zoubah), Mohamed Wafik (Fadel Al Gammal), Sayed Sadek (Abu Kaf), Hosny Abdul Jalil, Dia El Merghany, Nermin Kamal
Scénario : Abdel Hay Adib
D’après une histoire de Yousry El Gendy
Musique : Sami Noseir


Drame. Les parents de Saad ont été tués par Badran, son oncle. Il a été confié à une femme qui l’élève comme son fils. Les années passent. Saad est devenu un jeune homme et il est tombé amoureux de Sabah. Il ne sait pas que cette jeune fille est en fait sa cousine et que son père est le meurtrier de ses parents. Badran ne reconnaît pas non plus son neveu dans cet ouvrier au teint halé et à la moustache noire. Le vieil homme ne veut que le bonheur de sa fille mais Al Halbawy, un chef de clan très puissant veut aussi épouser Sabah. Ce redoutable personnage n’a pas pour habitude de renoncer facilement à ce qu’il désire. Entre les différents protagonistes de ce drame, la guerre est inévitable…


Vendredi 17 janvier à 22h

Dahab d'Anwar Wagdi (1953)
avec Anwar Wagdi, Fayrouz, Ismaël Yassin, Serag Mounir, Magda, Zinat Sedki, Mimi Chakib, Mohamed Kamel, Mohamed Shawki, Aziza Helmy, Mahmoud Reda, Hermine, Mohamed Kamel, Ahmed Darwich, Abdel Ghany El Nagdi, Ali Abdel Al, Lotfy El Hakim
Scénario : Anwar Wagdi
Dialogues : Abou Al Seoud Al Ebiary
Musique : Izzat El Gahely, Ahmed Sabra, Mohamed El Bakkar, MounirMourad


Mélodrame musical. Dahab est le fruit des amours adultères de son père avec une servante. Pour échapper au courroux de sa femme, celui-ci décide de se débarrasser de la petite fille. Il ordonne à sa nièce Dahab de la jeter dans le fleuve. La jeune femme ne peut se résoudre à commettre un tel crime. Elle dépose l’enfant au coin d’une rue puis se cache pour s’assurer que quelqu’un aura assez de cœur pour le recueillir. C’est alors qu’apparaît un individu, pauvrement vétu mais cheminant gaiment au son d’un petit accordéon. Il s’appelle Alfonso et c’est un musicien au chômage qui gagne sa vie en chantant et en vendant des ballons à travers les rues de la ville. Au grand soulagement de Dahab, l’artiste emporte le nourrissson. Elle décide de le suivre. Alfonso va de refuge en refuge mais aucun n’accepte de prendre en charge l’enfant. Le musicien finit par tomber nez à nez avec Dahab. Il est tout de suite charmé par la beauté de la jeune femme. Il se présente et lui demande son nom. Elle le lui donne. Il lui propose alors le nourrisson mais, évidemment, elle ne peut accepter. Elle s’enfuit. Alfonso décide d’élever lui-même l’enfant. Il la prénomme Dahab en souvenir de cette belle inconnue rencontrée dans la rue…


Jeudi 16 janvier à 18h30

Lutte sur le Nil d'Atef Salem (Seraa fil Nil, 1959)
avec Hind Rostom, Rushdy Abaza, Omar Sharif, Ahmed El Haddad, Mohamed Kandil, Saïd Khalil, Hassan El Baroudi, Nazim Sharawi, Kamal Anwar, Abdel Moneim Ismaïl, Hussein Ismaïl, Mohsen Hassaneim
Scénario : Ali El Zorkani
Musique : Morsi Gamil Aziz, Fouad El Zahry, Mohamed Al Mogi
Production : Les Films Gamal Leithi
appréciation : 5/5


Drame. Muhasab (Omar Sharif) est un jeune homme qui réside en Haute Egypte. Son père aveugle lui confie une mission : remonter le Nil jusqu’au Caire à bord de la vieille felouk du village « La Fiancée du Nil », la revendre et, avec la somme obtenue complétée par les contributions des villageois, acheter une barge à moteur. Pour cette mission, il sera accompagné par un vieil ami de son père Mujahed (Rushdy Abaza) qui pilotera le bateau et veillera sur l’argent. 
« La Fiancée du Nil » lève l’ancre sous les acclamations de tous les habitants de la localité. Muhasab, Mujahed et les quatre membres d’équipage ne s’aperçoivent pas qu’ils sont suivis : Abu Safaan, un mauvais garçon du village, et ses complices sont bien décidés à tout faire pour récupérer l’argent. Ils mettent en place un stratagème : ils chargent une danseuse de leur connaissance (Hind Rostom) de s’introduire dans la felouk afin de séduire Muhasab et récupérer l’argent.




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